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Education: Flu Vaccine Risk Statement - Physicians for Informed Consent

4 novembre 2024 à 14:14
Vaccin contre la grippe 🚨🚨🚨 : Les chiffres alarmants qui remettent tout en question

Alors que le vaccin contre la grippe est promu comme une protection essentielle chaque année, de nouvelles révélations suscitent de sérieuses inquiétudes sur son efficacité et sa sécurité. Un document récent met en lumière des statistiques et études troublantes, dévoilant une perspective inquiétante sur ce vaccin si répandu. Voici les faits.

1. Risque accru de maladies respiratoires après la vaccination

Les données montrent une augmentation de 65 % des maladies respiratoires non grippales chez les personnes vaccinées contre la grippe, incluant des infections causées par les rhinovirus, les entérovirus et même des coronavirus. Ce chiffre est alarmant pour ceux qui se font vacciner en espérant réduire leur risque de tomber malade, mais qui semblent devenir plus vulnérables à d’autres infections respiratoires .

2. Les hôpitaux toujours surchargés malgré la vaccination

Une étude de l’Institut National de la Santé (NIH) montre aucune baisse des hospitalisations chez les populations vaccinées, ce qui remet en cause l’idée que le vaccin contre la grippe allège la pression sur les hôpitaux. Une analyse massive de 170 millions de cas de soins médicaux a constaté aucune différence significative de taux d’hospitalisation entre les vaccinés et les non-vaccinés, remettant en question l’efficacité du vaccin pour réduire la charge des services de santé .

3. Échec à prévenir la transmission dans les foyers

Une étude financée par le CDC a révélé que les personnes vaccinées ne limitaient pas la transmission de la grippe au sein des foyers. En effet, une fois la grippe introduite dans un foyer, les personnes vaccinées étaient tout aussi susceptibles de la transmettre que les non-vaccinés, ce qui questionne l’impact du vaccin pour réduire la propagation communautaire et protéger les populations vulnérables .

4. Un taux d’échec élevé dans la prévention de la grippe

Peut-être le fait le plus inquiétant : les données du propre réseau de suivi de l’efficacité vaccinale contre la grippe (VE) des CDC indiquent un taux d’échec moyen de 65 % au cours des dernières saisons grippales. Cela signifie que plus de la moitié des personnes vaccinées pourraient malgré tout contracter la grippe, une réalité troublante pour ceux qui se font vacciner chaque année dans l’espoir d’obtenir une immunité .

5. Mandats vaccinales : où est la science ?

Une revue réalisée par la Cochrane Library, une institution de recherche renommée, critique l’écart entre les données scientifiques et les politiques publiques de vaccination contre la grippe. L’analyse suggère que les obligations vaccinales pourraient ne pas être fondées sur des preuves concluantes, appelant à une réévaluation urgente des politiques qui poussent à la vaccination massive chaque année .

6. Risques pour les enfants : un risque d’hospitalisation multiplié par trois

Une étude menée par la clinique Mayo sur le vaccin trivalent inactivé contre la grippe (TIV) a révélé que les enfants vaccinés avaient trois fois plus de chances d’être hospitalisés en raison de complications liées à la grippe. Cette découverte soulève de sérieuses questions sur la pertinence du vaccin contre la grippe pour les enfants .

Face à ces faits troublants, il est peut-être temps pour chacun de réévaluer les risques et les avantages de la vaccination contre la grippe. Avec les données actuelles, une question demeure : les politiques actuelles de vaccination sont-elles vraiment basées sur la science, ou existe-t-il un décalage entre les discours de santé publique et les résultats réels ?

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Sourrce : https://physiciansforinformedconsent.org/flu-vaccine/

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L'obsession malsaine pour les graphismes détruit le jeu vidéo | Débat & Opinion - YouTube - Les liens de Knah Tsaeb

4 novembre 2024 à 12:39
Je ne suis pas entièrement d'accord, mais je soutiens cette analyse.

Ce qui fait un bon jeu, c'est le gameplay ; le graphisme, ça devrait ne venir que dans un deuxième temps, si on a le budget pour ça. Ce qui explique au passage le "revival" actuel des jeux aux graphisme "façon PS1" : ça coûte beaucoup moins cher à produire et, quand on est une petite équipe, ça permet de placer le pognon là où il est nécessaire.

Là où j'achoppe un peu sur le titre de cette vidéo (que je n'ai pas encore regardée en entier), c'est qu'il effectue un raccourci en trompe l’œil : ce ne sont pas les graphismes qui tuent le jeu vidéo, c'est le capitalisme : d'un point de vue financier d'une part, il y a cette crise actuelle -potentiellement fatale à terme- où les talents sont virés pour faire plaisir aux actionnaires et d'autre part, si on reste factuellement dans le domaine des jeux, c'est le phénomène des licences. Et c'est un peu la même chose, à vrai dire.
Je veux dire par là que si un jeu marche, il risque fort de se passer 2 choses :
- il aura une suite, qu'elle soit diégétiquement nécessaire ou pas ;
- il pourra éventuellement donner naissance à une licence, càd qu'on va faire d'autres jeux dans le même univers, et c'est de plus en plus souvent problématique.

Que Nintendo nous abreuve de *Mario* depuis 40 ans, ce n'est pas vraiment un problème : dans l'ensemble, les jeux sont très bons. Regardons plutôt de l'autre côté, en prenant une licence qui me tient à cœur : *Life is strange* (2015). *Life is strange* était un bon jeu. Les autres jeux de la licence, moins. Pas franchement mauvais, juste moins biens. Le monde n'aurait pas été un plus mauvais endroit sans *Before the storm*, *True colors* et consorts. A partir du moment où un jeu "marche", l'éditeur va vouloir à tout pris "appliquer la recette" sur les suivants. Et c'est rarement bien. Déjà parce qu'on ne sait pas toujours pourquoi un jeu "marche". Certains ont d'excellents retours critiques et ne se vendent pas. D'autres ont un accueil critique mitigé, voire glacial, et sont des succès commerciaux. A votre avis, dans lequel de ces cas de figure fera t-on une suite ? Et est-ce qu'on prendra le risque d'innover ? Clairement pas. A ce stade, on ne se pose pas la question des graphismes. On se pose juste la question de la rentabilité.

Je me fends de quelques exemples :
- *Fortnite* : genre cartoon, extrêmement rentable. (Encore faut-il s'interroger sur le "pourquoi", mais là n'est pas le sujet du jour)
- *GTA 6* : on peut avancer sans trop prendre de risque que ce sera un carton **très** rentable.
- Les *Call of*, *FIFA*, *NBA 2K*... annuels : photoréalistes, très rentables
- *Concord* : copie de *Fortnite*. 400 millions de coûts de développement. 25 000 copies vendues. Catastrophe industrielle.
- *The Planet Crafter* : pas très joli. Joli succès populaire ET critique. Je l'imagine rentable.

MAIS tout dépend de ce qu'on entend par "rentable". Pour les DEUX développeurs derrière *The Planet Crafter*, "rentable" ça doit vouloir dire quelque chose du genre "payer mes factures" ; pour Sony ou Microsoft, rentable ça veut dire "conforme aux attentes des actionnaires". Et ce n'est PAS DU TOUT la même chose. Bien des jeux pour lesquels Sony, Microsoft ou Ubisoft annoncent qu'il n'y aura pas de suite sont **rentables**, mais n'ont pas atteint l'objectif de ventes. Et quand on fait une suite, l'objectif de ventes du n°2 est généralement sans commune mesure avec les ventes du précédent. Du coup, on garde la même "recette", on n'innove pas, on ne prend pas de risque, et on espère que les cons, euh, les joueurs continueront à acheter. Ça marche très, très bien pour les FIFA-Callof-NBA2K, parce que ce sont des produits de niche. Ça ne marche clairement pas pour les *Life is strange* ou autres jeux A ou AA. Ça a marché pour les *Assassin's creed*, avant que la vache à lait se rebelle.

Comprenons-nous bien : quand je parle de jeux vidéo, je parle de jeux console (PS-XBOX-Switch) et PC. Et l'ensemble de ces jeux SONT un produit de niche.
Ce qui domine le marché, ce sont les jeux mobiles. Call of, c'est une niche dans la niche. Les jeux narratifs comme *Life is strange*, c'est un petit recoin obscur.
Les jeux mobiles, il y en a des supers beaux, des supers bien foutus etc. Mais clairement, ce ne sont pas les graphismes du dernier *Spiderman* sur PS5. Ils sont faciles à acheter (le store de ton mobile, Android ou Apple), ne coûtent pas trop cher (moins cher qu'un jeu PC AAA ou qu'un jeu console à 70 boules en tout cas), vite installés/désinstallés et offrent une grande diversité. Si le jeu PC/console veut se maintenir, il se doit d’offrir lui aussi cette même diversité, cette même accessibilité. Oui, les indés le font. Mais pour combien de temps ? Ils sont en train de se prendre de plein fouet les conséquences de la purge évoquée au début de ce texte.

Bref, redisons-le : c'est le capitalisme qui est en train de tuer les jeux vidéo.




Lien direct vers la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=UCQYKwAnFXQ

[1]: https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?4gh0zA
(Permalink)
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