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Reçu aujourd’hui — 30 avril 2025Shaarlist

L'astuce de Crésus

30 avril 2025 à 21:26

Pour beaucoup, la lecture de ce livre, est comme se mettre dans la peau de Neo quand Morpheus lui propose le choix de la pilule rouge ou de la pilule bleue.
Soi tu reste confortablement dans tes croyances et tu reposes ce livre.
Soi tu continues la lecture et tu pars à l'aventure.
Bien !
Partons explorer cette matrice qu'est la monnaie.
N'oublie pas, je ne t'offre que la vérité, rien de plus.

Voici quelques vérités pour commencer:

  • Le mot éco-nomie signifie les règles de la maison(née).
  • Non, le crédit n'est pas un prêt ! C'est une création monétaire.
  • Connais-tu le bâton de comptage ? Un moyen de comptabilité officiel en France jusqu'en ... 2016 !
  • Quelle est la véritable fonction de l'impôt ?
    Il s'agit d'imposer quelques chose, mais imposer quoi ?
    L'utilisation de la monnaie bien entendu.
    C'est ceci que j'appelle: l'astuce de Crésus.

À l'image d'une pièce de monnaie, cet ouvrage comporte deux facettes. Dans ce premier livre, voici le côté pile, le côté factuel.
Voici la chronologie de 6000 ans d'histoire de la monnaie et des systèmes économiques.
Ainsi ce livre pose les bases factuelles nécessaires pour discuter de monnaie sur des bases communes.


Permalien

Et donc

30 avril 2025 à 14:52
Et donc il n'y aura pas de minute de silence au sénat pour le Musulman tué de 12 coups de couteau parce que c'est réservé (sic) à "la disparition de sénateurs ou de graves évènement". Comme par exemple le meurtre de Louise, 11 ans, blanche, dans un parc en Essonne.
Donc on prend note : Pour le gouvernement français, tuer un musulman c'est pas grave.


https://piaille.fr/@ceciestmontpouet/114427677033357868
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Répression au Venezuela : «Certains cherchent encore leurs proches après des mois de détention» – Libération

30 avril 2025 à 10:53
> Dans un rapport publié ce mercredi 30 avril, l’ONG raconte une «répression brutale» et des «abus généralisés» contre des dirigeants de l’opposition, des manifestants ou de simples passants. Martina Rapido Ragozzino, chercheuse auprès de la division Amériques de Human Rights Watch, décrit un «climat de peur» qui persiste dans le pays, neuf mois après l’élection.
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Diplomatie américaine : «La priorité de Trump n’est ni la Russie ni la Chine mais les “wokes”» – Libération

30 avril 2025 à 10:51
Elle termine tout de même par une comparaison avec l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie...

> Selon Maud Quessard, directrice du domaine Euratlantique à l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), cette diplomatie en apparence erratique est pourtant bien construite et mûrement réfléchie.

> Comment qualifier la politique étrangère de ce deuxième mandat Trump ?

> Elle s’inscrit, comme ce qui se fait en politique intérieure, dans une dérive autoritaire de l’Etat américain. Et surtout, elle est marquée par une tendance de fond : c’est une idéologie nationaliste et ultrareligieuse qui détermine désormais l’agenda de politique étrangère américaine. Ce n’est donc pas l’imprévisibilité du président Trump mais le projet des personnes qui l’entourent. Et ce ne sont pas Pete Hegseth [secrétaire à la Défense, ndlr] ou Marco Rubio [secrétaire d’Etat] qui sont à la manœuvre, mais davantage l’entourage de J.D. Vance et de l’ensemble des courants nationalistes conservateurs et ultrareligieux.

[...]

> Donald Trump, c’est l’homme de paille de l’agenda politique déterminé par les nationalistes américains et la droite religieuse, avec J.D. Vance à la jonction de ces courants.

[...]

> Ils n’ont plus de projet, de grande stratégie à l’international. Ils n’ont comme projet que ce qui sert les intérêts nationaux et qui nous a d’abord étonnés : sécuriser les voies maritimes au Sud comme au Nord, avec le canal de Panama, le Groenland ou l’Arctique. Selon eux, c’est comme ça qu’on reste un pays puissant, en contrôlant des points stratégiques, des routes commerciales. On est de retour à une politique étrangère qui est héritée du XIXe siècle avec des sphères d’influences.

> Ce qui est plus perturbant, c’est qu’on ne comprend pas pourquoi Donald Trump adopte une politique de pression maximale aussi forte en utilisant les instruments commerciaux, ce qui paraît totalement contre-productif. Sur ce sujet, on peut effectivement craindre beaucoup d’amateurisme. Les conseillers économiques de Trump sont les plus mauvais, les plus contestés du paysage des experts de l’économie américaine. Donc tout n’est pas complètement cohérent. Mais le projet idéologique, il est quand même là. Et si vous regardez l’histoire des régimes autoritaires, que ce soit l’Italie fasciste ou l’Allemagne nazie, ils n’ont pas commencé avec des prix Nobel, des chercheurs émérites, ou des diplomates de carrière. Ils prennent d’abord des hommes de main.
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Répression au Venezuela : «Certains cherchent encore leurs proches après des mois de détention» – Libération

30 avril 2025 à 10:53
> Dans un rapport publié ce mercredi 30 avril, l’ONG raconte une «répression brutale» et des «abus généralisés» contre des dirigeants de l’opposition, des manifestants ou de simples passants. Martina Rapido Ragozzino, chercheuse auprès de la division Amériques de Human Rights Watch, décrit un «climat de peur» qui persiste dans le pays, neuf mois après l’élection.
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Diplomatie américaine : «La priorité de Trump n’est ni la Russie ni la Chine mais les “wokes”» – Libération

30 avril 2025 à 10:51
Elle termine tout de même par une comparaison avec l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie...

> Selon Maud Quessard, directrice du domaine Euratlantique à l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), cette diplomatie en apparence erratique est pourtant bien construite et mûrement réfléchie.

> Comment qualifier la politique étrangère de ce deuxième mandat Trump ?

> Elle s’inscrit, comme ce qui se fait en politique intérieure, dans une dérive autoritaire de l’Etat américain. Et surtout, elle est marquée par une tendance de fond : c’est une idéologie nationaliste et ultrareligieuse qui détermine désormais l’agenda de politique étrangère américaine. Ce n’est donc pas l’imprévisibilité du président Trump mais le projet des personnes qui l’entourent. Et ce ne sont pas Pete Hegseth [secrétaire à la Défense, ndlr] ou Marco Rubio [secrétaire d’Etat] qui sont à la manœuvre, mais davantage l’entourage de J.D. Vance et de l’ensemble des courants nationalistes conservateurs et ultrareligieux.

[...]

> Donald Trump, c’est l’homme de paille de l’agenda politique déterminé par les nationalistes américains et la droite religieuse, avec J.D. Vance à la jonction de ces courants.

[...]

> Ils n’ont plus de projet, de grande stratégie à l’international. Ils n’ont comme projet que ce qui sert les intérêts nationaux et qui nous a d’abord étonnés : sécuriser les voies maritimes au Sud comme au Nord, avec le canal de Panama, le Groenland ou l’Arctique. Selon eux, c’est comme ça qu’on reste un pays puissant, en contrôlant des points stratégiques, des routes commerciales. On est de retour à une politique étrangère qui est héritée du XIXe siècle avec des sphères d’influences.

> Ce qui est plus perturbant, c’est qu’on ne comprend pas pourquoi Donald Trump adopte une politique de pression maximale aussi forte en utilisant les instruments commerciaux, ce qui paraît totalement contre-productif. Sur ce sujet, on peut effectivement craindre beaucoup d’amateurisme. Les conseillers économiques de Trump sont les plus mauvais, les plus contestés du paysage des experts de l’économie américaine. Donc tout n’est pas complètement cohérent. Mais le projet idéologique, il est quand même là. Et si vous regardez l’histoire des régimes autoritaires, que ce soit l’Italie fasciste ou l’Allemagne nazie, ils n’ont pas commencé avec des prix Nobel, des chercheurs émérites, ou des diplomates de carrière. Ils prennent d’abord des hommes de main.
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Smartphones and Tablets - European Commission

30 avril 2025 à 08:56
À partir de juin 2025, de nouvelles règles vont entrer en vigeur en Europe concernant les appareils électroniques. En particulier pour les téléphones portables. En plus d'un label "énergie" comme sur la plupart des appareils électroménagers, il y aura les obligations suivantes :
- Batteries suffisamment durables pour supporter au moins 800 cycles de charge et de décharge tout en conservant au moins 80 % de leur capacité initiale.
- Obligations pour les producteurs de rendre les pièces détachées critiques disponibles pendant 7 ans après la fin des ventes du modèle.
- Disponibilité des mises à jour du système d'exploitation au moins 5 ans à partir de la date de la fin de la mise sur le marché d'un modèle.
- Accès non discriminatoire pour les réparateurs professionnels à tout logiciel ou microprogramme nécessaire pour le remplacement.
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