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Reçu aujourd’hui — 17 mars 2025

​Avec Projects Plus, Zoho met l’IA au cœur de la gestion de projets

17 mars 2025 à 13:00

Adieu les tableaux de suivi rigides, les outils lourds et complexes, les dérapages incontrôlés et les délais irréalistes ! Zoho Projects Plus bouscule la gestion de projet en intégrant l’IA pour automatiser l’analyse des données, affiner les prévisions et fluidifier la collaboration Les outils numériques de gestion de projets ont connu une évolution significative au […]

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Horoscope du 17 mars 2025

Bélier : Constipation à prévoir. Notre conseil : écoutez Ben Mazué.

Taureau : Vous ferez 45 heures sup cette semaine parce que votre entreprise a décidé de prendre exemple sur le modèle japonais.

Gémeaux : Vous recevrez la visite de vous-même, venu du futur pour vous prévenir que vous faites n’importe quoi de votre vie. Vous ne prendrez pas ces avertissements au sérieux et continuerez à scroller sur Instagram.

Cancer : Vous serez sous le coup d’une OQTF pour avoir mis des chaussettes dépareillées. Les règles se sont durcies.

Lion : Vous trouverez par terre une poupée vaudou à votre effigie. Vous pourrez vous faire mal quand vous le souhaitez !

Vierge : Les gens qui ont jeté des boules puantes au concert d’Enrico Macias en jetteront aussi chez vous (pour vous apprendre la vie).

Balance : Un proche vous demandera « un petit coup de main » pour son déménagement. Vous serez assez idiot(e) pour accepter et vous aurez des douleurs lombaires. Bien fait !

Scorpion : Vous utiliserez du talc et du lait hydratant pour avoir des fesses douces toute la semaine. Vous vous ferez pas mal d’ennemis.

Furet : Vous recevrez la lettre d’un admirateur secret (Richard Anconina).

Sagittaire : Vous inventerez un jeu à boire qui consiste à regarder seul le film AVATAR et boire une gorgée à chaque fois que vous voyez un personnage bleu à l’écran.

Capricorne :  Sous l’influence de Neptune, vous écrirez des lettres de menaces à Jimmy Mohammed. Et ça lui fera beaucoup de peine. Nous ne sommes pas fiers de vous.

Verseau : Vous tenterez de séparer deux bandes rivales armées jusqu’aux dents avec des phrases comme : « La violence n’a jamais rien réglé les gars ! » ou encore « Cool Raoul ! ». Attention.

Poissons : Si c’est la semaine de votre anniversaire, vous recevrez un abonnement d’un an à CNews premium, qui permet de suivre Pascal Praud en temps réel, 24h/24.

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Des traces de bon sens retrouvées dans les emballages réemployables utilisés par un client qui achetait en vrac

Une étude menée sur différents types d’emballages réemployables menée par l’université de Chicago démontre la présence de substances proches du bon sens dans chaque échantillon. Des résultats qui viennent corroborer le message délivré par l’association qui œuvre pour encourager l’achat en vrac et l’utilisation de contenants réemployables. « Tout le monde est gagnant avec ce mode de consommation puisque vous réduisez à la fois vos déchets, votre gaspillage alimentaire et vous réalisez des économies » explique un porte-parole de l’association, précisant que le bon sens découvert reste 100% bio. 

Les résultats de l’étude viennent battre en brèche l’étude d’un autre université qui prônait l’utilisation d’un lance flamme pour le nettoyage des emballages réemployables. Encore mieux, les porte-paroles de l’initiative Vrac & Réemploi, juste l’essentiel affirment avoir obtenu des résultats similaires à une étude antérieure menée sur la vaisselle réemployable . « Une analyse au microscope nous a prouvé la présence des mêmes traces de bon sens que celles présentes sur des assiettes ou des verres réemployés dans la restauration » déclare un membre de l’association.

Du côté des consommateurs, l’étude est accueillie favorablement. « J’étais déjà convaincu des bienfaits des emballages réemployables, mais dorénavant je vais enfin pouvoir enfin arrêter de jeter et de racheter tous les jours de la vaisselle en porcelaine » s’exclame une cliente ravie après la lecture de cette étude.

Alors, pour en savoir plus, nous vous recommandons de vous rendre sur le site de Vrac & Réemploi, juste l’essentiel. Chaque petit geste compte pour la planète ! 

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Cybersécurité et IA : solution miracle ou cheval de Troie moderne ? Elies Bacha, Synetis

17 mars 2025 à 09:07

Cybersécurité et IA : un jeu d’échecs grandeur nature. Chaque avancée d’utilisation de l’IA en matière défensive s’accompagne d’une sorte de contre-offensive des cyberattaquants qui en exploitent le potentiel à des fins malveillantes tout en profitant des failles des algorithmes et des systèmes pour retourner les modèles à leur profit. Rapide aperçu des capacités défensives […]

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Des collégiens se retrouvent coincés avec une schizophrène de 26 ans pendant 2h

Ce mardi vers 8 h 30, 24 enfants du collège Jean-Pierre Jean-Jean à Annecy ont vécu deux heures éprouvantes, retenus dans une salle de classe dès le début de la matinée par Madame B., une femme vivant avec une schizophrénie. Sous son regard, les élèves ont été contraints de se diriger dans “le labo”, une pièce qui sent le renfermé, équipée de vieilles paillasses, de tabourets hauts et d’ustensiles scientifiques datant de 1996. L’angoisse est palpable. 

Madame B. décide immédiatement de désigner un cobaye parmi les élèves. Une vague de panique parcourt alors les rangs. L’une des élèves témoigne : “Quand c’est tombé sur moi, je voulais pas, j’étais super stressée.”Les jeunes ont tous leur regard tourné vers leur camarade, quand, soudain, la femme saisit de l’hydroxyde de sodium devant la collégienne, puis lui tend un erlenmeyer rempli de bleu de méthylène. “Maintenant tu vas mélanger ça et on parle de la formule chimique après”, lui aurait-elle dit.

C’est à cet instant qu’un des garçons commet l’impensable en interpellant subitement la femme : “Madame, c’est quoi la formule chimique d’un prout ?” La classe se retient. Sans qu’il en ait le choix, il est envoyé illico au tableau. Un élève décrit la scène : “Elle a dit que, puisque Théo s’intéressait à la formule chimique des prouts, il allait devoir l’écrire devant tout le monde.” Les yeux des autres rivés sur lui, il doit noter la formule de l’azote, de l’hydrogène, de l’oxygène, du dioxyde de carbone et du méthane. Des éléments déjà appris en cours. Mais, paniqué et tremblotant, Théo a du mal à s’en souvenir. Il hésite, efface, recommence. Montrant de l’indulgence et de la bienveillance à son égard, la femme finit par l’aider. 

Ce n’est qu’au bout de deux heures que les collégiens ont pu être délivrés sains et saufs grâce à la sonnerie signalant l’heure de la récréation. Madame B.est appréciée de ses élèves et sait les surprendre. D’après les résultats d’analyse ADN, il s’agirait bien d’Anastasia B., professeure de physique-chimie. “Anastasia, c’est vraiment une prof que les élèves aiment, elle essaie de rendre ses cours le plus ludique possible”, affirme la CPE du collège. Un témoignage qui coïncide fortuitement avec de nombreux autres provenant de parents d’élèves. Cela ferait même deux ans que Anastasia pratique dans l’établissement scolaire. Des agissements ordinaires pour une enseignante.

Ce qu’on ne vous montre pas dans les faits divers, c’est la vie ordinaire des personnes vivant avec une schizophrénie. Car, oui, on peut s’en rétablir grâce à un diagnostic et des soins adaptés. 

C’est le cas de Anastasia B., enseignante et diagnostiquée depuis quelques années : “Le diagnostic, ça a vraiment été un soulagement. Le fait d’avoir posé des mots, on se dit ok c’est pas juste moi qui l’invente, c’est reconnu. C’est un processus qui n’est tellement pas représenté dans les médias, les réseaux sociaux… Se sentir mal dans sa peau c’est pas juste un truc d’adolescent, il peut vraiment y avoir une cause sous-jacente à ce mal-être et il est bon d’aller explorer en toute bienveillance. Ce qui m’énerve le plus c’est qu’on associe les personnes avec un trouble du spectre de la schizophrénie à des gens dangereux. On n’est pas dangereux, surtout pas si on est stabilisés et suivis. Donc c’est important de déstigmatiser. Les gens, je ne leur jette pas la pierre, ils sont juste les victimes des informations qu’ils ingurgitent à longueur de journée. Il faut s’éduquer, mais l’éducation vient aussi par la prise de parole des premiers concernés. On peut carrément vivre une vie stable, une vie ordinaire, une vie comme tout le monde, on peut accomplir ses rêves, on peut faire de grandes choses. La maladie est peut-être un petit frein, mais c’est pas une fin”.

Les clichés sont la principale barrière pour accéder tôt à un diagnostic et aux soins, et ainsi avoir la possibilité de vivre une vie ordinaire. Rendez-vous sur les lesfaitsordinaires.com pour mieux vous informer.

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Un sexagénaire se fait offrir de la cervelle par un schizophrène de 26 ans

À Villiers-Charlemagne, en Pays de la Loire, Christian M. a l’habitude de faire ses courses le samedi. Profitant pleinement de sa retraite, il aime sortir faire ses achats aux heures de forte fréquentation et partager ainsi des moments conviviaux avec le reste de la population d’actifs désabusés. Mais samedi dernier, les choses ne se sont pas déroulées comme à son habitude. 

Sur le chemin du retour, alors que son chariot de courses est plein, Christian est pris de panique. “Tout à coup, je me rends compte que j’ai oublié le principal : mon steak. Fallait vraiment que je me grouille avant que la boucherie ferme”, révèle-t-il. Il fait brusquement demi-tour et décide de se diriger vers la boucherie du centre-ville. C’est là que tout bascule. 

“Il était très tard, y avait personne. Je n’ai pas l’habitude de voir ça, moi. Ça m’a fait tout bizarre ! Pas de file d’attente jusque sur le trottoir. Mais je ne me démonte pas, j’entre.” Christian est immédiatement accueilli par la bouchère, qui lui lance un sourire amical de derrière son comptoir et lui fait signe d’approcher. 

Alors qu’il s’empresse de choisir son morceau de viande, Christian sent qu’il se passe quelque chose dans l’arrière-boutique. “Des bruits de lames de couteaux qui s’entrechoquent, puis d’un coup, plus rien. La porte s’ouvre, j’entends des voix, puis des pas se rapprocher de moi… et là, je croise son regard. Je l’ai tout de suite reconnu.” 

Christian se retrouve nez-à-nez avec celui qu’on surnomme le “schizophrène” dans le quartier et qui se trouvait dans l’arrière-boutique. Mains rougies, tablier tâché de sang, ce dernier lui tend sa main dans laquelle bouge une cervelle qu’il venait de découper. C’est le choc. 

“J’ai vraiment eu peur qu’il ne vienne pas me voir ! J’aime bien ce jeune. À chaque fois que je passe à la boucherie, il veut me faire goûter une spécialité.” Encore ému, Christian avoue s’être laissé tenter par la cervelle d’agneau tendue par le jeune homme. Il affirme qu’il n’aurait jamais osé y goûter autrement. “Avec un petit beurre noisette et des câpres, ce sera parfait. Vous m’en direz des nouvelles !”, aurait clamé avec entrain l’employé. 

Touché et déstabilisé par ce geste, Christian se retrouve avec son steak et cette cervelle offerte. Il est ramené à la réalité par la bouchère qui, comme à son habitude, lui lance un sonore : “Et avec ceci ?”, auquel Christian se voit obligé de répondre : “Ce sera tout merci.”

Le jeune qui vit avec une schizophrénie l’aurait alors suivi jusqu’à la porte pour le saluer chaleureusement. Plusieurs témoins ont confirmé l’identité de ce dernier, bien connu des clients. Il s’agit de Jason B., apprenti charcutier de 26 ans, qui travaille dans la boucherie du centre-ville. “Il aime bien chouchouter nos clients. Ma foi, il y arrive même avec de la cervelle”, déclare la bouchère. Jason B. finit par empoigner la scie à os et les couteaux de dépeçage pour aller les laver avant la fermeture. Des agissements ordinaires pour un apprenti charcutier. 

Ce qu’on ne vous montre pas dans les faits divers, c’est la vie ordinaire des personnes vivant avec une schizophrénie. Car, oui, on peut s’en rétablir grâce à un diagnostic et des soins adaptés. 

C’est le cas de Jason B., apprenti charcutier et diagnostiqué à 11 ans : “Le diagnostic, ça peut être une délivrance. Moi j’ai toujours pensé : “Je sais que j’ai quelque chose et je veux être soigné”. Faut pas en avoir peur si t’es bien suivi. Souvent, on attend que la personne pète un câble. Il faut diagnostiquer la maladie plus tôt. Il faut aider avant d’hospitaliser. Un schizophrène est beaucoup plus dangereux pour lui-même que pour les autres, et ça personne le sait. Dans les médias, on va jamais dire “un schizophrène a sauvé quelqu’un” ou “un jeune schizophrène a eu son bac avec mention très bien”. Et pourtant ça arrive souvent. Moi je connais des schizophrènes qui ont décroché un travail super bien payé, qui ont fait de super études, mais on n’en parle pas. Faut voir les schizophrènes comme des personnes qui ont quelque chose en plus et peuvent avoir une vie classique.” 

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Reçu hier — 16 mars 2025

Votre téléphone peut bloquer les démarcheurs… mais personne ne vous l'a dit !

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Terres rares en Ukraine : quand les minerais deviennent un levier diplomatique

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Liège : un schizophrène s’introduit dans l’appartement d’une femme avec une scie

C’est en pleine journée qu’un homme identifié schizophrène s’est introduit par non-effraction dans l’appartement d’une femme à Liège, en Belgique. La victime, qui se trouvait dans son salon au moment des faits, n’a pas été surprise par la présence de l’individu chez elle. 

“J’étais en train de manger des frites en bonne Belge quand l’interphone a sonné. C’était lui.” Le gardien de l’immeuble affirme en effet avoir vu passer vers 15 h 30 “un homme costaud, bonnet sur la tête, avec une scie sous le bras”. Il rapporte que l’homme lui aurait lancé un intrigant “Bien le bonjour”. D’autres témoignages concordants ont permis de déterminer le profil de cet homme apparemment poli, à la voix rauque et à la silhouette imposante. 

Une fois dans l’appartement, il s’est vraisemblablement identifié. “Il m’a dit s’appeler Jean-Philippe. Je lui ai répondu : “Ah c’est dommage, à un mot près, vous seriez roi des Belges. Philippe. Le roi des Belges. Mais je crois que j’ai un humour qui ne casse pas de briques”, témoigne la femme encore confuse. Alors qu’elle tentait d’expliquer toute l’importance de son futur rangement qui servira de placard à gaufres liégeoises, Jean-Philippe s’empare de sa scie et, de manière préméditée, commence à découper du placo. Près de deux heures plus tard, il l’avait achevé. 

“C’est génial, maintenant j’ai de la place pour ranger mon stock de… nonante gaufres”, déclare-t-elle, finissant par avouer qu’elle n’est pas Belge, mais Toulousaine. Soudain, le téléphone de Jean-Philippe sonne. Ce dernier s’empresse alors de ramasser ses affaires et de saluer poliment la femme. Un voisin confirme avoir entendu l’homme prononcer “Bonne fin de journée” vers 17 h 30. 

Des marques de satisfaction sont encore visibles sur le visage de la femme souriante. Une enquête n’est pas en cours, puisque Jean-Philippe, qui opère normalement sur d’autres chantiers de maçonnerie, a revendiqué les faits : face à sa cliente désemparée, il a fabriqué un placard d’angle sur mesure, avant de rentrer chez lui. Des agissements ordinaires pour un maçon. 

Ce qu’on ne vous montre pas dans les faits divers, c’est la vie ordinaire des personnes vivant avec une schizophrénie. Car, oui, on peut se rétablir grâce à un diagnostic et des soins adaptés. 

C’est le cas de Jean-Philippe G., maçon et diagnostiqué en 2010 : “C’est pas aux personnes qui vivent avec une schizophrénie de s’excuser. On les stigmatise beaucoup dans les médias. Les gens se disent qu’ils sont dangereux, ils se font du cinéma. On est très loin d’être des assassins. Ceux qui vont bien, ils vivent une vie tranquille. La schizophrénie, ce n’est pas une maladie rare, elle est même assez courante. Dans le diagnostic, il y a un côté rassurant, car on vous dit comment vous battre et on vous donne enfin les outils pour. Sans ça, c’est comme si vous tapiez dans le vide. J’aimerais dire aux personnes concernées : n’ayez pas honte de ce qui vous arrive, ce n’est pas votre faute. N’empêche, il faut se battre, essayer de parler positivement de la maladie qui n’est pas pire qu’une autre, mais elle a une mauvaise image.” 

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Des morceaux d’un compositeur disparu retrouvés au domicile d’un schizophrène

Lors d’une soirée tout à fait banale, Sofia M. a soulevé une affaire qui a secoué plus d’un habitant de Lausanne, en Suisse, et a mis la ville en émoi. Ce soir-là, n’ayant rien de prévu, Sofia est envahie par la crainte de devoir répondre “Rien” à la question : “T’as fait quoi samedi soir ?” Une honte inavouable s’empare d’elle, à tel point que, le cœur battant, elle décide de suivre son ami à l’apéro auquel il se rend. 

Sur place, malgré l’ambiance fort sympathique, Sofia a très vite le pressentiment que quelque chose se trame chez cet hôte inconnu, un certain Jules B. Elle ne sait pas que Jules vit avec une schizophrénie. 

Soudain, pendant la soirée, en plein milieu d’un inévitable “J’irai où tu iras” entonné par les convives, Jules s’éclipse. De longues minutes passent. Des bruits sourds se font entendre auxquels personne ne prête attention. Intriguée et “pas fan fan de Céline Dion”, Sofia se lance discrètement à sa poursuite. “Dans le couloir, je vois une porte entrouverte. Je me rapproche, je glisse un œil et, là, je vois sur le sol plein de morceaux d’un compositeur connu. Je sursaute.” 

Sans le vouloir, Sofia se fait remarquer à cause d’un très discret raclement de gorge. Jules s’approche de la porte et l’ouvre subitement, un instrument à la main. Sofia découvre alors le reste de la chambre et aperçoit d’autres morceaux du même compositeur, éparpillés dans la pièce. “Il y en avait partout. Par terre, sous le lit et empilés sur des étagères. Je n’aurais jamais pensé tomber sur cette scène”, témoigne-t-elle courageusement. 

“Je ne savais pas que Jules aimait les morceaux de Jimi Hendrix ! Ni qu’il jouait avec mon pote ! Ni que des gens pouvaient fuir Céline Dion comme moi à ce moment-là.” Face à elle, Jules lui aurait confirmé les faits en la regardant droit dans les yeux. 

Le trentenaire, originaire du canton du Jura, s’est installé à Lausanne il y a quelques années. Lui et son groupe de musique ont fait danser les foules. Sa fascination pour Jimi Hendrix, disparu en 1970, ne l’a jamais quitté. Sa femme témoigne : “Ça fait longtemps qu’il cultive un goût pour cet artiste.” Un voisin – qui préfère rester anonyme – affirme entendre très souvent des sons entraînants provenant de chez Jules, ce qui n’a jamais semé la zizanie dans l’immeuble. Il faut dire que Jules répète la plupart du temps en studio avec son groupe. Des agissements ordinaires pour un musicien. 

Ce qu’on ne vous montre pas dans les faits divers, c’est la vie ordinaire des personnes vivant avec une schizophrénie. Car, oui, on peut se rétablir grâce à un diagnostic et des soins adaptés. 

C’est le cas de Jules B., musicien et diagnostiqué à l’âge de 18 ans : “Quand j’ai reçu le diagnostic de ma schizophrénie, j’avais tellement de symptômes que je m’en rendais juste pas compte. C’est une maladie, un tsunami, c’est ravageur faut pas se mentir, c’est foudroyant mais vraiment, c’est pour le meilleur. C’est un vrai parcours de connaissance de soi qui est salvateur. Aujourd’hui j’ai une vie de papa avec une femme fantastique, dans un endroit où je vis bien, j’ai des hobbies, je fais de la musique. J’aime bien ma vie, j’aurais jamais imaginé d’autres happy end que ça. La schizophrénie, j’en parle positivement parce que j’ai eu un bon parcours de rétablissement. J’encourage les jeunes et les gens à essayer de prendre le meilleur et de se laisser guider, de sentir leur instinct. La santé d’une personne ne doit pas dépendre de l’image que les médias en donnent.” Les clichés sont la principale barrière pour accéder tôt à un diagnostic et aux soins, et ainsi avoir la possibilité de vivre une vie ordinaire. Rendez-vous sur les lesfaitsordinaires.com pour mieux vous informer.

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InfoNews Hebdo 2025#11 avec eXo Platform 7.0, FlashBlade//EXA, des vulnérabilités VMware, l’ANSSI

14 mars 2025 à 16:00

Comme chaque semaine, retrouvez InfoNews Hebdo avec au sommaire une nouvelle version majeure de la plateforme de collaboration open source eXo, le lancement d’un serveur IA compact et refroidi par eau chez Lenovo, la solution de stockage ultra-performante FlashBlade//EXA de Pure Storage pour l’IA, des vulnérabilités critiques sur VMware ESXi, l’acquisition de Moveworks par ServiceNow, […]

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Il se met au rugby pour donner un sens à son alcoolisme

C’est la belle histoire de ce début d’année. Romain, 28 ans, ne cache pas son bonheur d’avoir enfin trouvé le cadre idéal pour laisser libre cours à son addiction à l’alcool, lui qui affirme avoir longtemps cherché une activité en accord avec les valeurs de l’alcoolisme qu’il défend.

Romain affirme avoir toujours eu l’habitude de se poser des questions existentielles autour de son alcoolisme. « J’avais surtout l’impression de me sentir inutile, que mon alcoolisme n’apportait rien, ni à moi-même, ni aux autres »,explique-t-il entre deux gorgées de sangria. « J’ai toujours admiré les gens qui arrivent à donner un supplément d’âme à leur addiction », lâche-t-il en évoquant l’exemple de son meilleur ami cocaïnomane et restaurateur ou de son père, adepte du cannabis et professeur d’arts plastiques.

Des questionnements et finalement une révélation, suite à une rencontre avec un éducateur sportif en poste dans le club de sa ville. « Aujourd’hui, j’ai trouvé ma place. Je sais pour qui je bois et je sais pourquoi je bois », s’exalte celui qui occupe désormais fièrement le poste de bénévole à la buvette de son club de cœur. « Le rugby m’offre le cadre qui me manquait. Avec lui, j’ai trouvé une vraie raison d’ouvrir une bière au réveil ou de m’endormir sur le parking d’une discothèque. »

Suite à sa rencontre avec le monde du rugby, Romain dit vouloir transmettre son expérience en ouvrant un bar sur le thème du développement personnel à proximité du stade de son équipe favorite.

Photo : Photo de Patrick Case

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« Bleu est une société française, on ne peut plus française… » Jean Coumaros, Bleu

14 mars 2025 à 13:00

Entre ambitions de souveraineté numérique et dépendance aux technologies Microsoft, le projet Bleu tente de se frayer un chemin dans l’univers du cloud de confiance français. Son Président Jean Coumaros, est notre invité de la semaine. Initiative controversée lancée par Orange, Capgemini, et Microsoft pour répondre aux besoins spécifiques des organisations françaises en matière de […]

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Insensible à la douleur physique mais il craint la phrase « On doit parler »

“J’ai senti mon cœur, mon corps se briser en mille morceaux”, a raconté Nathan, 32 ans, encore sous le choc. Le jeune homme, qui a une capacité unique de résistance à toutes les douleurs physiques, n’a pas réussi à encaisser le choc quand sa compagne s’est assise en face de lui afin de régler de petites contrariétés quotidiennes dans leur relation matrimoniale. “Je peux supporter un arrachage d’ongle ou une opération à cœur ouvert, mais dès qu’elle a dit qu’il fallait qu’on parle, je me suis senti partir”, a-t-il ajouté.

“Je ne l’avais jamais vu comme ça”, a témoigné sa compagne. Il a toujours résisté à tout. Un jour, il a même marché sur une brique en plastique de construction et il n’a absolument rien senti”, s’est-elle souvenue. Mais cette fois, il s’est effondré devant moi. Il était en pleurs, il sanglotait, il demandait qu’on l’achève, de mettre fin à sa souffrance”, s’est-elle alarmée. “En fait, je voulais juste lui demander de vider la machine à laver et d’étendre le linge.”

Désormais, le jeune homme vit dans la peur et la terreur qu’une telle situation se reproduise ou que ses ennemis ne découvrent son point faible. “Tout ceci peut recommencer à tout moment. Je dois me préparer psychologiquement à cette douleur”, a-t-il conclu en s’installant sur un tapis de clous de fakir pendant 12 heures.

Si vous ne voulez pas finir comme Nathan, submergé par une douleur insupportable à la simple mention d’un “on doit parler”, allez voir Novocaine au cinéma dès le 26 mars

Jack Quaid est la tête d’affiche de ce film d’action signé Dan Berk et Robert Olsen, où il enchaîne les scènes les plus folles : main brûlée, passages à tabac, coups de couteau… et toujours debout ! 

Dans Novocaine, il incarne Nathan Caine, un introverti atteint d’une particularité hors du commun : l’insensibilité congénitale à la douleur. Un « super-pouvoir » bien utile quand sa petite amie est prise en otage lors d’un braquage… Rendez-vous au cinéma. 

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