The Witcher 4 : le sexisme subi par Ciri sera un des thèmes du jeu
Ciri ne sera pas épargnée dans The Witcher 4, non seulement en raison de son statut de sorceleuse, mais aussi en tant que femme.
L'auteur des livres The Witcher n'avait encore jamais précisément daté la naissance de Geralt. Le dernier tome permet d'apprendre qu'il est né en 1211, ce qui veut dire qu'il aurait plus de 60 ans dans le jeu vidéo The Witcher 3: Wild Hunt.
C’est à nouveau cette période de l’année : l’heure de Steam Replay. Semblable à Xbox Year in Review et PlayStation Wrap-Up, Steam Replay 2024 revient sur vos statistiques de jeu pour toute l’année, vous montrant à quoi vous avez joué, combien de temps vous y avez joué et les exploits que vous avez accomplis. le […]
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L’univers de The Witcher s’apprête à connaître un virage très important. Il faut savoir que durant les Game Awards 2024, CD Projekt Red a dévoilé que Ciri serait la protagoniste de The Witcher 4, marquant le début d’une toute nouvelle trilogie ! Cette décision est loin d’être improvisée et elle résulte d’une réflexion approfondie menée ... Lire plus
L'article The Witcher 4 : voici pourquoi le fait de mettre en avant Ciri au lieu de Geralt n’était pas une si mauvaise idée ! est apparu en premier sur Fredzone.CD Projekt Red a enfin présenté une première bande-annonce sur The Witcher 4, avec comme protagoniste centrale Ciri, qu'on croisait déjà dans The Witcher 3: The Wild Hunt. On ignore si Geralt de Riv sera de retour d'une façon ou d'une autre dans le jeu vidéo.
Après avoir récemment mis en ligne la mise à jour 2.2 de CyberPunk 2077, CD Projekt Red dévoile à présent la première bande annonce de The Witcher 4.
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Sous GNU/Linux, par défaut les fichiers/dossiers qui commencent par un . sont cachés par défaut, les navigateurs de fichier utilisent en général le raccourci clavier CTRL+H pour afficher/masquer les dits fichiers/dossiers. Cela implique de renommer le fichier/dossier. Il existe une autre façon de faire.
Ça peux servir, ça ne fonctionne pas dans un terminal par contre.
Fun fact, le fait de cacher un fichier/dossier en le préfixant par un . est un bug. It's not a bug, it's a feature :-)
22 décembre 2017
L'Echo Spot est un excellent réveil de chevet avec Alexa intégrée, mais si vous êtes un peu inquiet à l'idée d'une caméra pointée directement sur votre lit, voici comment la désactiver complètement.
Il existe plusieurs façons de désactiver la caméra de l'Echo Spot. La méthode la plus rapide et la plus simple consiste à appuyer sur le bouton de mise en sourdine situé sur le dessus de l'appareil, entre les deux boutons de volume....
La version plus récente supprime la caméra...
Est-ce que d'avoir une caméra pointée sur son lit supprime l'envie d'acheter un tel réveil ??
https://www.techradar.com/home/smart-speakers/amazon-echo-spot-2024-review
Le Nether est une dimension infernale remplie de lave, de feu et de créatures dangereuses. On y accède via des portails en obsidienne.
Le Nether est huit fois plus petit que le monde normal, on y voyage 8 fois plus rapidement. La distance parcourue dans le Nether est donc multipliée par 8, faisant du Nether une zone de voyage rapide qui permet de parcourir une grande distance alors qu'un laps de temps réduit s'est écoulé dans le monde normal.
=> Ceci me fait penser au modèle cosmologique Janus de Jean-Pierre Petit qui a deux face de l'espace temps dans lequel la vitesse de la lumière n'est pas la même. On peut ainsi se déplacer plus vite dans un espace.
Le portail peut être un trou noir.
Rencontrez des IA qui se sentent vivantes. Discutez avec n'importe qui, n'importe où, n'importe quand. Découvrez la puissance des chatbots super intelligents qui vous entendent, vous comprennent et se souviennent de vous.
La police suisse va utiliser la reconnaissance faciale: va-t-elle trop loin?
Le projet s'appelle «Afis 2026». Il permettra à l'Office fédéral de la police de faire des recherches en utilisant la technologie de reconnaissance faciale. Une experte met en garde contre «une atteinte aux droits fondamentaux».
Avec les moyens technologiques actuels, ces images de caméra de surveillance ne permettent pas à elles seules de faire avancer l'enquête. En effet, la photo ne peut pas être comparée à la base de données nationale de la police. Aujourd'hui, on ne peut y rechercher que des noms ou des empreintes digitales. Le logiciel ne propose en revanche pas de reconnaissance faciale.
Mais cela devrait changer prochainement. Le Conseil fédéral a approuvé un crédit de 25 millions de francs pour renouveler l'un des principaux systèmes de la police fédérale (Fedpol), prénommé «Système automatisé d'identification des empreintes digitales» (Afis). Le terme officiel est pourtant trompeur, car la base de données ne contient pas seulement les empreintes digitales, mais également un million d'images faciales de quelque 400 000 personnes.
Il s'agit des photos de tous les suspects qui ont récemment fait l'objet d'une identification judiciaire dans le cadre d'une procédure pénale. Ils apparaissent de face et de côté. Parfois, une troisième photo peut également être prise.
Pour les criminels, les photos sont conservées jusqu'à 30 ans. La base de données de la police contient également les photos de tous les demandeurs d'asile enregistrés, consultables pendant deux ans.
Avec le projet Afis 2026, Fedpol acquiert maintenant un logiciel qui lui permet de faire des recherches dans cette base de données en utilisant la technologie de reconnaissance faciale.
Les CFF accusés d'espionner les Suisses pour gagner de l'argent
Dans une vidéo Youtube, Fedpol explique comment la recherche devrait se dérouler à l'avenir dans le cas fictif du braquage (décrit en début d'article). La photo de la caméra de surveillance sera comparée par le logiciel avec la base de données Afis. Le système indiquera ensuite plusieurs résultats positifs. Une équipe d'experts de la police examinera alors la liste des suspects potentiels pour retrouver le bandit recherché.
Toujours selon Fedpol, d'autres crimes pourraient également être résolus par ce système comme le terrorisme, l'enlèvement ou l'abus de cartes de crédit.
La crainte d'une surveillance à outrance
D'un côté, Fedpol vante l'importance de la technologie pour la traque des criminels de demain. De l'autre, l'autorité policière souligne qu'elle n'utilisera ce potentiel technologique que de manière très limitée. En effet, le scandale provoqué par une prétendue technologie de reconnaissance faciale dans les gares CFF a mis en évidence les craintes liées à une surveillance à outrance, comme en Chine par exemple.
Les spécialistes des relations publiques de Fedpol tentent désormais de jouer avec les mots. Dans un communiqué de presse, ils affirment ainsi qu'ils n'introduisent pas de reconnaissance faciale, mais seulement une comparaison des visages.
Cela signifie que les photos ne sont comparées qu'avec la base de données de la police Afis, mais pas avec d'autres sources, par exemple la base de données des cartes d'identité et des passeports, les réseaux sociaux ou encore la surveillance en direct, comme les caméras en fonctionnement dans les aéroports ou aux postes frontières.
La comparaison des visages fonctionne également avec une technologie de reconnaissance faciale. Le visage est mesuré et représenté sous forme de grille de points de données. Il est donc faux d'affirmer qu'il ne s'agit pas de reconnaissance faciale. La vérité est qu'une comparaison de visages est une forme d'application de la reconnaissance faciale.
Revoir les bases légales
De plus, Fedpol affirme dans son communiqué que les systèmes de reconnaissance faciale sont de toute façon «interdits par la loi» en Suisse, ce qui n'est pas correct. Il n'y a pas réellement d'interdiction. Mais il manque les bases légales pour une utilisation plus large que celle prévue.
Interrogé à ce sujet, un porte-parole de Fedpol a reconnu que la formulation choisie n'était pas correcte. L'erreur de langage du service de communication révèlerait-elle la nervosité des autorités sur le sujet? Il y aurait de quoi. Car les bases légales du projet existent peut-être, mais elles sont minces. Il n'existe à ce sujet qu'une ordonnance du Conseil fédéral datant de 2013, ne donnant pas de directives claires.
Une «atteinte aux droits fondamentaux»
Monika Simmler est professeur de droit pénal à l'Université de Saint-Gall (HSG) et spécialisée dans la reconnaissance faciale. Elle considère les comparaisons faciales prévues comme étant une atteinte grave aux droits fondamentaux, puisque des données personnelles particulièrement sensibles seront traitées. Elle affirme:
«Une autorisation générale au niveau de l'ordonnance n'est pas suffisante pour cela. Les bases légales sont trop générales»
La professeure de droit demande une réglementation au niveau de la loi, notamment pour des raisons de politique démocratique. Les limites du système de reconnaissance faciale prévu devraient alors être clarifiées dans le cadre d'un débat politique et ne pourraient plus être simplement fixées par le Conseil fédéral seul.
La spécialiste salue toutefois aussi la communication de la Confédération. Car jusqu'à présent, il n'était pas clair si les cantons qui utilisaient déjà la technologie de reconnaissance faciale avaient légalement le droit de le faire. Cette question doit désormais être clarifiée.
«D'un point de vue juridique, il est réjouissant que le Conseil fédéral affirme clairement que tous les autres types d'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale par l'Etat n'ont pas de base légale et sont donc illégaux.»
Monika Simmler, professeur de droit pénal à l'Université de Saint-Gall et spécialisée dans la reconnaissance faciale
Cela coupe l'herbe sous le pied des polices cantonales qui l'utilisent déjà aujourd'hui, car l'utilisation n'est autorisée que par Fedpol.
D'autres pays vont beaucoup plus loin
Avec l'acquisition de logiciels, la Suisse introduit quelque chose que les pays voisins font déjà depuis longtemps. En Allemagne, en Autriche et en France, des systèmes similaires sont déjà en place.
Mais il y a aussi des pays démocratiques qui vont beaucoup plus loin. En Angleterre, des caméras sont utilisées pour effectuer une reconnaissance faciale en direct. Aux Etats-Unis, la police de nombreux Etats est autorisée à utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour comparer également les photos des suspects avec la base de données des permis de conduire et des cartes d'identité. Plus de 64 millions d'Américains sont concernés.
En revanche, s'il existe en Suisse une photo de surveillance de l'auteur d'un crime, la police s’estime chanceuse. De plus, elle ne peut progresser que si la personne recherchée est déjà connue de la police. Elle n'a pas le droit, comme le FBI, d'accéder à la base de données des documents d'identité contenant les photos d'identité des 8,7 millions d'habitants.
«Il faudrait pouvoir fouiller les réseaux»
La Conseillère nationale PLR en charge de la sécurité, Maja Riniker affirme:
«Personnellement, je pense que la police devrait pouvoir utiliser plus souvent la reconnaissance faciale. Les enquêteurs devraient également pouvoir fouiller les médias sociaux. Ceux qui ne sont pas d'accord ne doivent simplement pas télécharger de photos d'eux.»
Maja Riniker, Conseillère nationale PLR en charge de la sécurité
Dans les cas les plus graves, elle serait également favorable à ce que la police puisse utiliser, pour une durée limitée, des caméras de vidéosurveillance à reconnaissance faciale sur les lieux publics dans le cadre d'une recherche.
Cependant, elle part du principe que ces demandes ne sont actuellement pas susceptibles de réunir une majorité. «J'ai l'impression que la société est devenue plus critique envers l'Etat depuis les mesures du Covid-19», dit-elle. Le oui de justesse à la loi antiterroriste PMT a également montré que des mesures plus ambitieuses n'ont actuellement que peu de chances d'aboutir.
Des progrès technologiques
Avec les progrès technologiques, cela pourrait toutefois changer à l'avenir. Il y a dix ans, moins de 80% des photos de bonne qualité étaient correctement reconnues lors d'une comparaison faciale. Cela a suscité des critiques. En effet, dans les procédures pénales, une personne serait alors soupçonnée à tort dans un cas sur cinq. Aujourd'hui, le taux de réussite est de plus de 99%.
La reconnaissance des visages à la peau noire reste toutefois un problème. Ceux-ci sont identifiés de manière moins fiable que les visages de couleur blanche. En effet, plus la peau est foncée, plus le logiciel a de difficultés. Cela est principalement dû au fait qu'un ton de peau très foncé a le même effet qu'une photo sous-exposée: les contours sont moins reconnaissables. Les programmes doivent également être améliorés sur ce point.
Pour Fedpol, l'amélioration de cette technologie justifie son introduction prévue.