En octobre 2025, les deux comètes C/2025 R2 (SWAN) et C/2025 A6 (Lemmon) devraient être visibles dans le ciel français, particulièrement avec des jumelles.

La formation des stalagmites dépend d'un facteur bien précis : le nombre de Damköler. C'est ce qu'a démontré une étude parue dans la revue PNAS ce 16 octobre 2025. Et, si cette recherche résout un modèle mathématique vieux de 60 ans, elle permet aussi d'affiner la compréhension des données paléoclimatiques stockées dans les stalagmites.

Une étude parue dans la revue PNAS ce 16 octobre 2025 a démontré que la formation des stalagmites dépendait d'un facteur bien précis : le nombre de Damköler. Et, si, cette recherche résout un modèle mathématique vieux de 60 ans, elle permet aussi d'affiner la compréhension des données paléoclimatiques stockées dans les stalagmites.

Le 1er octobre 2025, une étude a réussi à proposer un modèle bouleversant les croyances supposées acquises des astronomes : l'abondance des éléments dans l'atmosphère du Soleil n'est pas constante, mais varie dans le temps. Ce nouveau modèle permet d'expliquer l'existence des pluies solaires.

Dans une étude parue dans Nature, des chercheurs montrent comment ils ont rendu les spermatozoïdes visibles aux rayons X. La promesse ? Des traitements plus ciblés, notamment pour des pathologies féminines comme le cancer de l'utérus, ainsi que des avancées dans la compréhension de l'infertilité.

Des paléontologues de l'Australian Museum Research Institute viennent de publier une étude dans la revue Gondwana Research sur une roche, rouge vif, du site de McGraths Flat. Elle est connue pour conserver exceptionnellement bien les fossiles à travers le temps.

Neptune, 8ᵉ et dernière planète de notre Système solaire, reste l'une des planètes la moins explorée. Surnommée « géante des glaces » à cause de sa composition, Neptune a été découverte en 1846 par un astronome français. Pourtant, à ce jour, elle n'a été survolée que par une seule sonde : Voyager 2.