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Reçu aujourd’hui — 27 décembre 2025

Test souris HP 785M : la MX Master à la sauce HP

27 décembre 2025 à 11:01

HP Ultra-Fast Scroll Wireless Mouse 785M

HP vient chatouiller Logitech sur le segment des souris dédiées à la productivité avec le modèle 785M, qui semble s’inspirer en tous points de l’excellente MX Master 4. Pâle copie ou concurrente sérieuse ?
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Reçu hier — 26 décembre 2025

La nouvelle Alpine A390 est si géniale à conduire qu’elle va faire rager les puristes

26 décembre 2025 à 07:11

J'ai pris le volant de la nouvelle Alpine A390, la première familiale 100 % électrique de la marque sportive qui se veut aussi agile que la berlinette emblématique A110. Pari réussi ? La réponse risque de faire grogner les puristes.

Reçu — 25 décembre 2025

On a testé la Mercedes CLA électrique dans une version inédite conçue pour la Chine : voici notre avis

25 décembre 2025 à 12:00

Face à la montée inexorable des champions chinois de l'électrique premium-luxe, Mercedes-Benz se devait de réagir. C’est chose faite avec une stratégie de localisation inédite pour sa CLA 300L, une version allongée de sa CLA électrique exclusive au marché chinois.
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Test du Xiaomi Poco F8 Pro : un rapport qualité-prix agressif qui se paye même un téléobjectif

25 décembre 2025 à 11:01

Le Poco F8 Pro promet le meilleur des mondes : un écran OLED ultra lumineux, un Snapdragon haut de gamme et une batterie gigantesque, le tout à un prix plus doux que celui du F8 Ultra. Une recette réussie ? C’est ce que nous allons voir dans ce test.
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Reçu — 24 décembre 2025

Mon test complet et mon avis sur le PC portable Ninkear A15 Pro (16 pouces)

24 décembre 2025 à 13:00
PC portable Ninkear A15 Pro (16 pouces).

Après les reviews de plusieurs produits Ninkear, je m'attaque au PC portable Ninkear A15 Pro : écran 16 pouces 2.5K 120Hz, Ryzen 5 7430U, 16Go RAM + 1To SSD. Je l'ai utilisé comme PC principal pendant plusieurs semaines et je vous donne mon avis sans concessions après un test complet de l'appareil.

L’article Mon test complet et mon avis sur le PC portable Ninkear A15 Pro (16 pouces), rédigé par Alexandre Bonazzi, est apparu en premier sur NeozOne.

On a essayé la nouvelle Peugeot 308 électrique restylée, qui s’améliore sur un point en particulier

24 décembre 2025 à 13:09

Dévoilée en 2023, l’actuelle génération de la Peugeot e-308 passe enfin par la case restylage. La voiture électrique s’offre un style modernisé, mais surtout, elle corrige l’un de ses plus gros défauts. Nous en avons pris le volant, afin de savoir ce qu’elle vaut sur la route.
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Test du JMGO O2S Ultra : ultra courte focale compact ne veut pas dire peu lumineux, bien au contraire

24 décembre 2025 à 08:10

Vidéoprojecteur ultra-courte focale 4K, triple laser MALC 3.0, Dolby Vision, 3D, Google TV intégré et son Dynaudio compatible Dolby Atmos : le JMGO O2S Ultra promet une expérience cinéma dans un format étonnamment compact placé à seulement quelques centimètres du mur.​ Nous l’avons testé.
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Reçu — 23 décembre 2025

Test du SwitchBot AI Art Frame : le cadre photo numérique n’est pas mort, bien au contraire

23 décembre 2025 à 17:26

On se noie sous les écrans. Du réveil au coucher, c'est une avalanche de rétroéclairage, de notifications… qui nous grille la rétine. SwitchBot, d'habitude connu pour ses petits robots qui appuient sur des interrupteurs à notre place, prend un virage à 180 degrés. Leur promesse avec l'AI Art Frame ? Un écran qui ne ressemble pas à un écran. Pas de fil, pas de lumière, juste de l'encre électronique couleur pour transformer votre mur en galerie d'art dynamique. On l'a testé !
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Forfaits Sosh : ce qu’il faut savoir sur les offres internet et mobiles de l’opérateur low-cost d’Orange

23 décembre 2025 à 17:02

Sosh est la filiale low-cost d'Orange, elle permet de profiter du réseau de l'opérateur historique à un prix plus accessible et sans engagement. Cette année, Sosh a considérablement modernisé son offre avec notamment l'arrivée d'une box Wi-Fi 7 à bas coût comme ce que fait B&YOU, mais le reste est-il à la hauteur ?
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Clim et pompes à chaleur connectées : comment les piloter au smartphone pour faire des économies ? Guide et comparatif des modules

23 décembre 2025 à 13:52

Qu'il fasse chaud ou froid, interagir avec sa PAC de manière intelligente et l'intégrer dans un écosystème domotique permet non seulement de gagner en confort, mais également de faire des économies. Contrairement aux idées reçues, l'immense majorité des clims réversibles sont faciles à connecter au Wi-Fi, sans que cela ne vous coûte une fortune. Voici comment faire.
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Google Pixel Buds 2a : un son chaleureux, des limites pratiques

23 décembre 2025 à 08:30

Cinquante euros. C'est l'écart de prix entre les anciens Pixel Buds A et ces nouveaux Pixel Buds 2a affichés à 149 euros. Une augmentation de 50 % qui pose question dans un marché ultra-concurrentiel. Les Pixel Buds A-Series séduisaient grâce à leur tarif agressif et leurs bonnes prestations. La question se pose donc : que justifie une telle hausse de prix ?
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Reçu — 22 décembre 2025

J’ai testé le Vespera Pro de Vaonis, les meilleures images du ciel nocturne pour un télescope connecté ?

22 décembre 2025 à 18:00

Les télescopes connectés sont de plus en plus nombreux sur le marché, mais Vaonis propose quelque chose d'assez unique avec sa gamme Vespera : un résultat bien plus proche de l'astrophotographie classique que ses concurrents. La version Pro promet encore une meilleure qualité d'images et une meilleure autonomie, mais aussi un prix plus élevé. Verdict ?
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Test Ecovacs DEEBOT X11 OmniCyclone : que vaut la station sans sac ?

22 décembre 2025 à 16:53
Test Ecovacs Deebot X11

Entre stations XXL qui lavent à l’eau chaude, aspirent à plus de 20 000 Pa et promettent de « ne plus jamais sortir un balai », le marché des aspirateurs-robots haut de gamme s’emballe fin 2025. Avec le Deebot X11 OmniCyclone, Ecovacs dégaine un nouveau vaisseau amiral : station sans sac, puissance annoncée de 19 500 Pa et autonomie taillée pour les grandes surfaces.

En cette fin 2025, l’aspirateur-robot n’est plus un gadget des passionnés de domotique, mais un appareil ménager quasi banal… Dans le haut de gamme, la norme est désormais au combo aspirateur-laveur avec station tout-en-un : vidange automatique, lavage des modules de serpillière ou rouleaux à l’eau chaude, séchage à l’air chaud et gestion de l’eau propre / eau sale sans intervention ou presque.

Boîte ecovacs X11 omnicyclone
Attention quand vous le manipulez : il est lourd, plus de 15 kg !

Ecovacs, acteur historique du secteur, s’est imposé comme un spécialiste des robots de service domestiques : aspirateurs, nettoyeurs de vitres Winbot, robots-tondeuses Goat et, plus récemment, robots de piscine Ultramarine. Sur le segment des aspirateurs-robots, Ecovacs a clairement fait des séries X sa vitrine technologique, avec station tout-en-un, capteurs 3D, IA embarquée, assistant vocal maison YIKO, ou encore la technologie BLAST pour booster le flux d’air et la puissance d’aspiration sur certaines gammes.

Présenté à l’IFA de Berlin 2025, le Deebot X11 ; dans sa version OmniCyclone en Europe ; incarne cette nouvelle génération. Le nouveau fleuron Ecovacs a été pensé pour rivaliser avec les meilleurs robots du marché : station OmniCyclone sans sac avec séparation cyclonique PureCyclone, technologie PowerBoost pour enchaîner les cycles sur de très grandes surfaces (jusqu’à 1 000 m² annoncés), et une capacité à franchir des seuils plus complexes que la moyenne. Nous allons donc passer au crible le design, l’installation, l’application Ecovacs Home, la cartographie, l’efficacité d’aspiration et de lavage, ainsi que les coûts d’usage du Deebot X11 OmniCyclone, pour déterminer s’il mérite sa place parmi les références du marché fin 2025 !

Caractéristique TechniquesDeebot X11 OmniCyclone
Dimensions du robot351 × 353 × 98 mm
Dimensions de la station d’accueil380 × 493 × 465 mm
Capacité de franchissement d’obstacles4 cm
Déploiement de la brosse latérale15 mm
Hauteur d’élévation de la serpillière10 mm
Puissance d’aspiration19 500 Pa
Pression exercée sur le sol3 800 Pa
Type et capacité de la batterieLi-ion 6 400 mAh
Autonomie annoncée200 minutes
Temps de charge complète3 h 40
Capacité du bac à poussière du robot220 mL
Capacité du bac à poussière de la station1,6 L
Capacité du réservoir d’eau propre3,2 L
Capacité du réservoir d’eau usée2,7 L
Niveau sonore73 dB max (mesuré)
Compatibilité assistants vocauxAgent YIKO intégré + Alexa / Google Assistant / raccourcis Siri
Indice de réparabilité8,6 / 10
Durée de garantie2 ans
Prix indicatif1 299 €

Sur le papier, le Deebot X11 OmniCyclone coche clairement les cases du haut de gamme musclé. Sa puissance d’aspiration annoncée à 19 500 Pa, associée au module BLAST et au rouleau OZMO Roller 2.0, laisse espérer une vraie marge de manœuvre sur les sols difficiles, tapis compris. La grosse batterie de 6 400 mAh et la gestion PowerBoost promettent des cycles très longs, adaptés aux grandes surfaces. La station OmniCyclone sans sac, avec séparation cyclonique et double réservoir d’eau, vise enfin à réduire fortement les interventions de l’utilisateur sur la poussière comme sur le lavage.

Unboxing ecovacs X11 omnicyclone
Tout est très bien protégé, aucun souci de livraison !

À l’inverse, quelques points méritent clairement d’être surveillés au cours du test. Le petit bac à poussière de 220 ml dans le robot pourrait se révéler limitant dans les intérieurs très chargés en poils ou en poussière, et l’on jugera en pratique de la pertinence de la station cyclonique sans sac : efficacité de la séparation, bruit lors des vidanges, fréquence de nettoyage des filtres. La promesse d’un fonctionnement autour de 63 dB(A) devra aussi être confrontée à la réalité, surtout à pleine puissance. Enfin, l’autonomie réelle en mode puissant et la gestion des seuils élevés figureront parmi nos points d’attention.

Composants de la boîte : pas beaucoup d’accessoires…

Certes, pour un appareil de cette stature, le prix peut sembler attrayant. Mais contrairement au Mova Z60 Ultra Roller Complete, un de ses concurrents directs, les consommables fournis sont limités :

  • Deebot X11 OmniCyclone
  • station de chargement auto-nettoyante
  • rampe amovible
  • câble d’alimentation
  • socle d’auto-nettoyage
  • guide de démarrage rapide
  • deux flacons de solution nettoyante (en option)

Bien sûr, la brosse latérale, le rouleau serpillère, le filtre anti-bactériene et la brosse anti-enchevêtrement sont déjà installés sur l’appareil, mais aucune pièce de rechange n’est prévue ; il faudra en commander dans l’onglet « Accessoires » de l’e-boutique (cf section dédiée).

Composants de la boîte ecovacs X11 omnicyclone
Aucun consommable en remplacement… Dommage !

La solution lavante figure dans un autre pack pour 50 € supplémentaires. En ajoutant un set de consommables (brosses, rouleau et filtre), il faudra prévoir encore près de 65 € sur la facture finale.

Design : c’est validé !

Le Deebot X11 OmniCyclone affiche un design de vrai flagship : châssis rond et bas (9,8 cm), robe noire/gris foncé et plateau supérieur à effet métallique, avec un bouton central discret pour lancer ou mettre en pause le nettoyage. Sous le capot se cachent bac à poussière, interrupteur et reset Wi-Fi, dans une disposition très propre. La façade accueille le module AIVI 3D 3.0 pour la reconnaissance d’objets, épaulé par un LiDAR dToF pour la cartographie et une couronne de capteurs anti-chute et anti-collision.

ecovacs X11 omnicyclone vu sous le capot
On n’a presque plus de bouton : tout dans l’app !
ecovacs X11 omnicyclone vu de dessous
Le rouleau-serpillère devenu standard en 2025

Dessous, Ecovacs place une brosse principale ZeroTangle 3.0 pensée pour limiter les nœuds de cheveux, complétée par une brosse latérale unique pour ramener les poussières vers l’aspiration. Le rouleau de lavage OZMO Roller 2.0, en nylon haute densité, tourne à 200 tr/min et exerce une pression de 3 800 Pa sur le sol, tandis que la technologie TrueEdge 3.0 lui permet de s’étendre jusqu’à 1,5 cm vers les plinthes pour mieux nettoyer les bords.

ecovacs X11 omnicyclone station bacs
On distingue d’un coup d’œil le bac sale du bac propre !
ecovacs X11 omnicyclone station compartiment à détergent
Nous n’avons pas eu le détergent habilité…

La station OmniCyclone adopte un format large et bas, avec bac à poussière transparent en façade et réservoirs d’eau dissimulés sous un couvercle supérieur, pour un ensemble massif mais homogène dans un salon moderne.

Installation et connectivité (mise en place)

La mise en route du Deebot X11 OmniCyclone ne réserve pas de surprise : on installe la station OMNI contre un mur, sur un sol dur et plat, en gardant environ 5 cm de chaque côté et 80 cm devant pour que le robot puisse s’y aligner correctement. Ecovacs conseille aussi d’éviter le plein soleil et de privilégier un endroit où le signal Wi-Fi est bon ; si vous avez un miroir ou une plinthe très réfléchissante à proximité, mieux vaut masquer la zone basse pour éviter les perturbations.

Côté app, tout passe par ECOVACS HOME (iOS/Android) : création de compte, ajout du robot (QR code) et éventuelle mise à jour au premier démarrage. Pour l’appairage, le manuel recommande une connexion par Bluetooth (robot + smartphone) afin de détecter rapidement le Deebot à proximité, puis on finalise l’accès réseau.

appli ecovacs installation
L’application n’est pas la plus originale, mais elle est claire

Sur la partie réseau, le X11 demande un Wi-Fi 2,4 GHz (ou un routeur en mode mixte 2,4/5 GHz), avec prise en charge 802.11 b/g/n et IPv4. Comme souvent, il vaut mieux éviter les réseaux masqués et les configurations “exotiques” (VPN/proxy, authentification entreprise), et rester sur du WPA/WPA2 classique. Un petit indicateur sur le robot aide au diagnostic : clignotement lent (déconnecté), rapide (connexion en cours), fixe (connecté).

Cartographie : rapide ou détaillée

Comme toujours, on laisse le robot faire le tour de la maison en fermant les portes qui donnent sur des pièces à éviter, et en retirant un maximum d’obstacles (jouets, sacs, poufs, etc.). Il s’occupe de dresser une représentation 3D précise du logement avec un affichage direct dans l’application Ecovacs Home avec objets reconnus (lits, canapés, etc.). Il reconnaît d’office les tapis et les différents types de sols (carrelage, parquet, moquette). Après une première inspection, le robot est déjà utilisable, mais vous pouvez rééditer la carte à tout moment pour la rendre la plus fidèle possible à votre intérieur, avec :

  • étiquetage des pièces
  • limites virtuelles (linéaires ou rectangulaires)
  • division ou fusion de zones
  • disposition des meubles
  • déplacement des murs
  • changer le type de sol
  • ajouter ou retirer un tapis
  • ajouter une rampe
  • supprimer une zone
  • faire pivoter la carte

Sur la carte, vous pourrez suivre la progression du robot en temps réel. Celui-ci laisse le tracé de son passage lors du dernier cycle effectué, ce qui permet de savoir par où le faire passer pour son prochain travail.

appli ecovacs cartographie
La cartographie est un peu plus jolie que le reste.

D’autres icônes montrent les taches détectées, les fils et l’état du robot, qu’il soit en fonctionnement ou au repos (nettoyage, séchage ou veille). Enfin, vous pouvez enregistrer jusqu’à trois étages grâce à la sauvegarde multi-carte.

Une application archi-complète

Une fois la cartographie terminée, vous allez pouvoir commencer à jouer sérieusement et prévoir de belles séances de ménage.

appli ecovacs paramètres généraux
Pleiiiiin de paramètres à tester !

Comme les autres grands acteurs du secteur, l’interface est relativement intuitive, avec une arborescence assez claire, bien que très chargée, avec notamment :

  • le mode nettoyage par scénario
  • 3 modes de nettoyage (aspiration & serpillère)
  • 4 puissances d’aspiration
  • débit d’eau modulable
  • 3 vitesses de nettoyage
  • nombre de passages (1 ou 2/cycle)
  • la gestion des tapis
  • la gestion des parquets
  • le paramétrage de la station
  • un mode caméra
  • le suivi de nettoyage en temps réel
  • le journal des cycles de nettoyage
  • le suivi d’usure des composants
  • une commande vocale
  • un mode ne pas déranger
  • la détection de taches et de zones sales
  • la sensibilité des capteurs d’obstacles
  • changer la distance d’évitement
  • activer l’éclairage en cas de faible luminosité
  • réduire la distance le long des plinthes
  • désactiver la brosse latérale
  • le verrouillage enfant
  • faire sonner le robot pour le retrouver
  • la boutique et SAV (FAQ, chatbot, contact, etc.)

Pour nous, rien ne manque, et nous détaillerons certains points plus avant dans les sections dédiées.

Un système de navigation intelligent… et globalement efficace

Le Deebot X11 OmniCyclone s’appuie sur le système TrueMapping 3.0, une technologie propriétaire d’Ecovacs combinant lidar haute précision, caméras frontales assistées par intelligence artificielle et capteurs multiples. Sur le papier, le constructeur promet une navigation précise, capable de cartographier l’environnement en 3D, d’optimiser les trajectoires et d’éviter la majorité des obstacles du quotidien, tout en s’adaptant aux préférences de l’utilisateur via l’application.

Dans la pratique, ces promesses sont plutôt bien tenues. Le robot se déplace de manière méthodique, couvre efficacement les zones, et retourne automatiquement à sa station pour laver ses serpillères à intervalles réguliers, ce qui garantit un nettoyage plus propre dans les grandes surfaces. La couverture est très homogène, sans zones oubliées, et l’on peut choisir de le faire passer une ou deux fois au même endroit, de resserrer l’écartement des allers-retours, ou même de longer précisément les lames de plancher. En cas d’interruption, le robot reprend exactement là où il s’était arrêté.

ecovacs X11 omnicyclone le soir entre les meubles
Toujours la loupiote quand la luminosité faiblit !

Il passe sans difficulté les seuils d’environ 1 cm, ce qui lui permet de circuler librement entre les pièces, et retrouve sa base sans hésitation, même après plusieurs détours. Le robot ne tente jamais de s’engouffrer sous des meubles trop bas : sa hauteur minimale correspond à 10 cm environ.

ecovacs X11 omnicyclone sous un meuble
C’est ok, il n’y a pas de monstre sous l’armoire !

En outre, le X11 évite efficacement câbles, jouets et pieds de chaise, avec un comportement que l’on peut affiner dans l’application : il peut frôler les obstacles ou, au contraire, garder une distance de sécurité plus large. Lors de notre test, le seul véritable accroc est survenu lorsqu’il s’est emmêlé dans une chaussette, un classique encore difficile à anticiper pour l’IA ; il a fallu lui porter secours.

ecovacs X11 omnicyclone esquive un fil
Ninja Warrior version robot-aspirateur…
ecovacs X11 omnicyclone bloqué à cause de la chaussette
E-li-mi-né !

Du reste, il monte sans difficulté sur les tapis épais, revient régulièrement à sa station pour laver la serpillère, et retrouve toujours sa base sans hésitation. Quant à la vitesse, elle se situe dans une bonne moyenne : ni particulièrement rapide, ni frustrante. Bref, une navigation solide, paramétrable et rassurante.

Nota bene : nous avons remarqué néanmoins que les franges de tapis pouvaient passer sous les radars au risque de bloquer le robot…

Le gestionnaire de caméra : c’est au niveau

Le mode caméra du Deebot X11 (via le Video Manager dans l’app Ecovacs Home) transforme le robot en petite caméra mobile pour “jeter un œil” à la maison : on peut prendre une photo en direct et enregistrer une courte vidéo sans son (jusqu’à 15 secondes), lancer un mode appel (présenté comme un “appel vocal/vidéo” en temps réel), ou déclencher une patrouille sur des points prédéfinis avec, à chaque point, des photos dans quatre directions, avant retour à la station. Il est aussi possible de demander au robot d’aller à un endroit précis sur la carte (“arrival on command”).

ecovacs X11 omnicyclone gestionnaire vidéo
J’espionne actuellement la table basse.

On peut également utiliser un pilotage manuel type joystick dans ce mode, pratique pour le diriger comme une caméra roulante. On notera toutefois une latence entre la commande et la réaction du robot…

Nota Bene : si vous basculez sur Video Manager, vous passez en mode surveillance, et le cycle de nettoyage n’est plus actif.

Côté confidentialité, l’activation est volontaire (Ecovacs demande un appui long de 3 secondes sur Start lors de la première activation), mais comme tout appareil avec caméra, ça mérite des réflexes simples : mises à jour, mot de passe solide, Wi-Fi sécurisé (idéalement un réseau invité). Et si vous ne voulez aucun doute : n’activez pas le mode vidéo, coupez les permissions caméra/micro côté smartphone, et évitez de laisser une patrouille tourner quand vous êtes chez vous. Les captures figurent dans l’onglet « journal vidéo » de la section « journaux » de l’appli.

Nota Bene : Ecovacs mentionne la collecte de données techniques (identifiants d’appareil type IMEI/MEID, IP, version système) et de localisation via les logs. Le site/app s’appuie aussi sur des traceurs (cookies/beacons), avec des tiers cités comme Google Analytics et Bazaarvoice. Enfin, la politique évoque un hébergement aux États-Unis et des transferts possibles vers la Chine : c’est juridiquement encadrable, mais c’est un point à accepter pour un robot connecté.

Niveau sonore : c’est correct

Et même plutôt discret dans l’ensemble. Voici les valeurs que nous avons relevées sur les différents modes de nettoyage :

  • mode silencieux : 63 dB
  • aspiration standard : 68 dB
  • puissance Max : 70 dB
  • puissance Max + : 73 dB
  • vidage du bac : 83 dB

Même le vidage du bac, bien que relativement bruyant, est tout à fait tolérable, car il se fait souvent dans une pièce à l’écart (selon où vous avez placé la station) et ne dure que quelques secondes.

Test de nettoyage : des résultats à la hauteur des promesses

Sur le Deebot X11, les modes de nettoyage sont assez complets et surtout très paramétrables dans l’app Ecovacs Home : vous choisissez d’abord le type de cycle (aspiration seule, aspiration + lavage simultané, ou aspiration puis lavage), puis la puissance d’aspiration sur 4 niveaux (Silencieux / Standard / Max / Max+).

appli ecovacs X11 omnicyclone nettoyage
Touuuuujours plus de paraaaamètres !

Côté lavage, on peut ajuster finement le débit d’eau (de 1 à 50), définir le nombre de passages (1 ou 2) et même jouer sur la vitesse de nettoyage (trois profils : Standard / Intensif / Efficace) selon que vous privilégiez le temps ou la minutie.

Enfin, la station prévoit deux réservoirs dédiés à la solution de nettoyage (“classique” et “intense”) ; l’idée étant d’adapter le produit à l’usage, et de laisser le robot gérer la distribution via les réglages de station. Et si vous utilisez l’assistant vocal YIKO (et sa couche “Agent”), il peut aussi servir de guide pour recommander/ajuster ces paramètres au fil des situations.

Aspiration de bonnes performances avec des améliorations possibles

Pour objectiver l’aspiration du Deebot X11, on a utilisé 50 g d’un mélange grains de riz + café, avec une configuration volontairement “musclée” : Aspiration Max et nettoyage Intensif en x2 passages.

On précise que c’est en x2 !

Sur carrelage, le robot adopte un schéma de déplacement en bandes, de long en large, assez méthodique. Pendant le cycle, on observe qu’il éjecte quelques grains (typiquement quand il les accroche en bord de trajectoire ou lors d’un pivot), mais au bilan, il termine avec 95 % de réussite : la quasi-totalité du mélange est récupérée, et il reste surtout des résidus dispersés.

Sur tapis à poils courts, même configuration, même verdict : 95 % de réussite. On avait ajouté poils et cheveux, et sur ce point, le X11 s’en sort très bien : tout est aspiré, sans bourrage notable dans ce test.

Enfin, sur le nettoyage des angles, on descend à 85 % de réussite. Ce n’est pas catastrophique, mais c’est révélateur d’un classique : les coins restent un point faible pour beaucoup de robots ronds, même en puissance Max ; on récupère l’essentiel, mais il reste plus de matière “piégée” dans les zones très serrées.

Nota Bene : l’appli prévoit de relever la brosse latérale pour éviter la projection de grosses particules. Nous avons activé cette fonction sans grand succès… la brossette a la bonne idée de ralentir mais ne se soulève que très peu.

Le vidage automatique est activé par défaut (on peut aussi le faire « manuellement » depuis l’appli – ou « manuellement » stricto sensu, bref on peut décidément tout faire !) avec deux comportements : Standard (vidange “classique” en fin de cycle / après nettoyage) ou Haute fréquence (vidange plus régulière, utile si vous avez beaucoup de poils, de cheveux, ou si le bac se remplit vite).

La station permet aussi de régler la puissance d’aspiration du vidage : Standard pour vider plus efficacement, ou Silencieux pour réduire le bruit (avec parfois un vidage un peu moins “sec”, surtout si la poussière est très fine ou compacte).

Serpillère : proche de la perfection

Sur le Deebot X11, le lavage repose sur une serpillière pilotée par la station et une série de réglages qui déterminent à quel point le robot va être “méticuleux” (et à quel point il va interrompre son cycle pour s’entretenir). Dans l’application, on peut d’abord choisir la fréquence de lavage automatique de la serpillière : soit en mode intelligent, soit par pièce, soit à intervalles fixes (toutes les 10, 15 ou 25 minutes). En pratique, plus la fréquence est courte, plus le robot garde une serpillière “propre”, mais plus il fait d’allers-retours à la station.

ecovacs X11 omnicyclone rouleau serpillère coulissant
La serpillère coulissante sort régulièrement dans que le robot identifie un obstacle ou un angle.

La station gère aussi la distribution automatique de solution de nettoyage, avec deux niveaux : Normal ou Intensif (utile si vous alternez entretien léger et cuisine/entrée). Autre réglage important : le contrôle intelligent de la température, décliné en Éco, Standard ou En profondeur, de quoi arbitrer entre sobriété, efficacité et lavage plus énergique.

On trouve également un mode de nettoyage forcé sans eau (pratique quand on veut frotter sans humidifier davantage une zone déjà sensible), et enfin le paramétrage de la durée de séchage de la serpillière en station : 2 h, 3 h ou 4 h, selon votre tolérance au bruit et votre besoin d’hygiène (notamment si vous lancez des cycles fréquents).

Pour mettre le X11 en difficulté, on a utilisé 10 cl de marc de café mélangé à du sirop, un combo bien collant et très révélateur. Réglages : débit d’eau au maximum, 2 passages, mode intense, avec serpillière et aspiration en même temps.

Une jolie bande de propre, non ?

Bilan : le robot s’en sort correctement sur la zone centrale, mais il laisse environ 2 cm le long des plinthes. Et surtout, à la fin du premier cycle, le sol colle plus que sur la plupart de nos autres tests comparables ; signe qu’il a davantage “étalé” une partie du mélange avant de l’extraire complètement. En revanche, après un second cycle, le problème disparaît : ça ne colle plus, et la surface redevient nette.

Sur les taches humides, le X11 est à l’aise : il les engloutit assez facilement, sans nécessiter d’insister. Sur les taches sèches, il fait ce que font la majorité des robots : il les entame, mais sans miracles ; on reste autour de 30 % de récupération, ce qui est cohérent pour un robot laveur (le “décapage” reste un terrain où le manuel garde l’avantage).

Nota Bene : même avec un débit d’eau fort, le sol n’est jamais noyé ; la pellicule d’eau sèche en 2 ou 3 minutes.

Autonomie : on est large !

Sur le Deebot X11, l’autonomie ne se résume pas à “combien de minutes il tient” (plus de 3 heures sur le papier), mais à comment il gère ses cycles. En effet, la station permet de choisir une recharge PowerBoost (en Standard ou Adaptatif, selon que vous privilégiez la vitesse ou une recharge plus douce) et un mode Économie d’énergie qui lisse la consommation et évite de recharger “à fond” n’importe quand. Dans la pratique, ça change surtout une chose : on lance plus facilement le robot, parce qu’on sait qu’il ne va pas rester bloqué longtemps à quai.

À ce titre, une recharge complète tourne autour de 3h30. En nettoyage classique, il consomme environ 30% de batterie pour ~50 m² réellement nettoyés (dans un appartement de 75 m², avec des pièces et des obstacles). À réglages comparables, on peut viser 150–170 m² par charge en ordre de grandeur, évidemment variable selon la puissance d’aspiration, le nombre de passages, la fréquence des retours station et le lavage.

Ce que ça implique : les logements de 200 m² peuvent réellement exploiter son autonomie, soit en une grande session avec reprise après recharge, soit ; plus réaliste au quotidien ; en nettoyages ponctuels, pièce par pièce ou zone par zone. Et c’est là que le X11 est le plus agréable : on ne se bat pas avec la batterie, on oriente la routine (petit entretien régulier, ou gros cycle quand il faut), et le robot suit.

Entretien : le bac sans sac est validé mais…

Le Deebot X11 mise beaucoup sur sa station auto-nettoyante pour réduire l’entretien au strict minimum. Dans l’app, on peut déclencher un “nettoyage forcé sans eau” (utile pour décrasser ou faire tourner un cycle sans rajouter d’humidité), activer un contrôle intelligent de la température (pratique pour adapter le lavage/séchage selon l’usage), et choisir la durée de séchage à air chaud afin de limiter l’humidité résiduelle et les risques d’odeurs.

Dans la réalité, ça marche bien… jusqu’aux gros accidents. Après un passage sur des taches très chargées (type marc de café/sirops), l’auto-nettoyage ne suffit pas toujours : on a retrouvé pas mal de résidus sur la rampe et dans la station. Rien d’inquiétant, mais il faut accepter une règle simple : quand le robot “récupère du lourd”, la station demande un coup de main (rinçage/essuie rapide) pour rester propre et efficace.

ecovacs X11 omnicyclone station sale
Ca va être coton à nettoyer…
ecovacs X11 omnicyclone vu de dessous entretien
Les composants sont faciles à changer.

Côté poussière, le bac de la station offre une bonne contenance, mais on a noté une tendance aux moutons compacts (poussière + cheveux) qui s’agglomèrent. Résultat : au moment de vider, on se retrouve parfois obligé de mettre les doigts pour décrocher la masse, voire de retirer le filtre pour tout évacuer correctement.

ecovacs X11 omnicyclone bac à poussières
On retrouve le design des collecteurs d’aspirateurs-balais !

Point positif en revanche : pas d’odeur notable sur le bac d’eau sale dans notre usage, et l’app envoie des notifications régulières pour vidanger/remplir, ce qui évite les oublis.

Enfin, l’application propose un suivi très complet des consommables et composants (état, usure, rappels), et la plupart des éléments sont faciles à manipuler. Seule exception chez nous : le rouleau serpillère, moins intuitif à retirer au premier essai. Mais ici, quelques images (ci-dessus) vaudront mieux que des explications alambiquées !

Accessoires : tout ce qu’il faut sur l’e-boutique Ecovacs

Sur le site officiel d’ECOVACS, on trouve tout le nécessaire pour rafraîchir les pièces de votre robot avec, pour les plus importantes :

  • 2 L de liquide de nettoyage à 70,20 € (39 €/l’unité)
  • 5 flacons de solution nettoyante 110ml à 40,50€
  • 1 filtre éponge à 6,90 €
  • 1 kit de remplacement à 45 € (2 brosses latérales, 1 brosse principale et 3 filtres)
  • 2 brosses latérales à 11,90 €

our donner un ordre d’idée réaliste sur un appartement de 100 m², les coûts “consommables + produit” restent généralement contenus… mais ils dépendent surtout de votre rythme de lavage. En usage régulier, comptez environ 80 à 90 € par an : typiquement un kit de remplacement (brosse principale + brosses latérales + filtres) autour de 45 € sur l’année, et 1 litre de solution de nettoyage environ (soit ~35–40 € selon le format). Si vous l’utilisez de façon plus intensive (lavage fréquent, animaux, beaucoup de cheveux), la facture peut grimper vers 120 à 140 € par an, notamment parce que vous videz/renouvelez plus souvent et que les brosses latérales s’usent plus vite. À l’inverse, en entretien léger (quelques cycles par semaine), on retombe plutôt autour de 60–70 € par an.

Verdict : un challenger redoutable

À 1 299 €, le Deebot X11 OmniCyclone se place clairement dans le haut de gamme “station complète”, avec une proposition assez lisible : un robot très équipé, un lavage au rouleau performant sur le quotidien, et une station sans sac (cyclonique) pensée pour réduire les consommables. Sur nos mesures, l’aspiration est solide (jusqu’à 95 % sur carrelage et tapis à poils courts en config musclée), mais pas parfaite dans les angles (85 %), et le lavage impressionne sur les taches humides… tout en montrant ses limites sur les “mélanges collants” : il reste ~2 cm le long des plinthes et le premier passage peut laisser une sensation de sol qui colle, même si un second cycle règle le problème. Dit autrement : on est sur un robot très confortable au quotidien, mais qui ne gomme pas toutes les contraintes du monde réel.

ecovacs X11 omnicyclone vu de près

Face à la concurrence, le positionnement est assez clair. Roborock reste souvent la référence “expérience premium” (logiciel très poli, automatisations bien huilées, edge cases mieux maîtrisés selon les modèles), mais c’est aussi généralement plus cher à équipement comparable : si votre priorité, c’est la tranquillité totale et la finition logicielle, c’est la direction la plus sûre. Mova, à l’inverse, joue souvent le premium agressif : beaucoup de fonctions pour moins cher, parfois au prix d’une gamme moins lisible ou d’un suivi plus difficile à jauger.

L’Ecovacs X11, lui, est au milieu : plus “industriel” et établi qu’un outsider, avec une vraie originalité (la station sans sac) ; mais ce choix implique une contrepartie très concrète, que votre test montre bien : après de grosses saletés, l’auto-nettoyage ne suffit pas toujours et il faut remettre les mains dans la station (rampe, résidus). La marge d’amélioration est donc nette sur trois points : finir mieux les bords/plinthes, réduire les projections (brosse latérale) et rendre l’entretien réellement “mains libres” en évitant les moutons compacts à décrocher et en améliorant la facilité de retrait du rouleau.

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Chaos à la CISA : Conflit interne sur les tests de polygraphe ratés

22 décembre 2025 à 13:24

L’Agence américaine de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) fait face à des critiques, prise dans un drame de leadership chaotique qui ressemble plus à une sitcom qu’à une opération sérieuse de sécurité nationale. Les allégations entourant le directeur par intérim Madhu Gottumukkala dessinent un tableau de conflits internes et de décisions controversées qui […]

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Test – Robot lave vitres C1 Station de Dreame

21 décembre 2025 à 23:08

Que vaut le robot lave vitres C1 Station de Dreame ?

Dreame continue de nous surprendre avec des produits toujours aussi utiles. Aujourd’hui, on teste pour vous le C1 Station, un robot lave vitres qui risque bien d’alléger notre charge ménagère du quotidien ! Ce n’est pas notre premier test du genre puisque nous vous avions proposé le Tosima W2.

À l’heure où ses lignes sont écrites, vous le retrouverez en promotion au prix de 543 € sur Amazon. Place au test !

 

Unboxing

Sur la face avant, nous retrouverons le C1 Station de Dreame qui sera mis en scène en grand, avec un visuel qui montre clairement le robot lave-vitres et sa station, accompagné du nom du produit bien visible. À gauche, on retrouvera les principales fonctionnalités clés du C1 Station de Dreame à travers des pictogrammes simples et lisibles. Tandis que le côté droit sera dédié aux informations techniques et au contenu de la boîte, avec les éléments inclus et les données essentielles du produit. Pour finir à l’arrière, on retrouvera cette fois une présentation plus explicative du C1 Station, avec des visuels d’usage sur vitres et fenêtres mettant en avant son fonctionnement automatique et sécurisé.

C1 Station Dreame

 

Caractéristiques techniques

Caractéristique Détail technique
Nom complet Dreame Robot Laveur de Vitres C1 Station
Type d’appareil Robot lave-vitres autonome avec station d’accueil intelligente
Dimensions du robot 325 × 231 × 350 mm
Poids total (avec station) Environ 7,6 kg
Puissance d’aspiration 5 500 Pa
Autonomie Jusqu’à 180 minutes
Capacité de la batterie 7 800 mAh (intégrée dans la station)
Réservoir d’eau 80 ml
Surface de nettoyage maximale Environ 90 m² par session
Longueur du câble 5,5 m (cordon composite avec gestion automatique)
Niveau sonore Environ 63 dB
Technologie de nettoyage Double pulvérisation + chiffons microfibres
Navigation Guidage intelligent par IA avec trajectoires en « Z » et « N »
Modes de nettoyage 5 modes : complet, rapide, bords, intensif, manuel
Système de sécurité Corde de sécurité, détection de bords, verrouillage antichute
Technologie CornerClean™ Oui, pour atteindre efficacement les coins
Reprise automatique Oui, reprend là où il s’est arrêté après interruption
Compatibilité application Oui, via application Dreame Home
Type de vitres compatibles Lisses, sans encadrement, à simple ou double vitrage
Couleur / design Gris clair et blanc, design carré moderne

C1 Station Dreame

Fonctionnalités

  • Aspiration puissante jusqu’à 5 500 Pa pour assurer une bonne adhérence à la vitre.

  • Technologie « CornerClean™ » avec brosses conçues pour atteindre les coins et assurer jusqu’à ~90 % de couverture aux angles.

  • Navigation assistée par IA : planification des trajectoires en « Z » ou « N », détection des bords et adaptation à la surface.

  • Sécurité renforcée : ventouse d’adhérence (~800 N), corde de sécurité, cordon composite pouvant supporter jusqu’à 140 kg, verrouillage antichute.

  • Station multifonctionnelle : batterie 7 800 mAh permettant jusqu’à ~180 minutes d’autonomie (~90 m²), câble composite de 5,5 m, fonction de recharge pendant utilisation.

  • Nettoyage humide amélioré : réservoir d’eau (~80 ml), technologie à double jet de pulvérisation, chiffon microfibre pour éviter gouttes et dépôts.

  • Gestion automatique du câble : libération et rétraction automatiques, pour éviter enchevêtrement et chute.

  • Mode reprise automatique en cas d’interruption : le robot reprend là où il s’est arrêté.

  • Cinq modes de nettoyage disponibles (via appli et via boutons sur la station) : nettoyage complet, nettoyage rapide, nettoyage uniquement des bords, etc.

  • Compatibilité via application mobile pour pilotage, suivi, choix de mode.

 

Contenu

  • Le robot lave-vitres lui-même

  • La station d’accueil / base multifonction (accu + rangement accessoires)

  • Le câble d’alimentation (longueur ~1,8 m selon certaines sources)

  • Une corde de sécurité + attache/clamp de sécurité pour fixation sur structure fixe (pour éviter chute)

  • Des chiffons en microfibre pour les patins de nettoyage (au moins deux)

  • Des brosses ou patins coins/angles

  • Un manuel d’instructions / guide de l’utilisateur

C1 Station Dreame

 

Test & Application

Nettoyer ses vitres, c’est probablement l’une des corvées les plus ingrates du quotidien. Entre les traces qui reviennent toujours, surtout celles des petits doigts des enfants, la poussière qui colle et l’équilibre précaire sur un escabeau, il y a de quoi rêver d’une solution miracle. Et justement, Dreame — marque déjà bien connue pour ses aspirateurs robots — semble vouloir s’attaquer à ce problème avec son robot laveur de vitres Dreame C1 Station. Un produit ambitieux, qui promet de redonner leur éclat à vos surfaces vitrées sans effort. Promesse tenue ? C’est ce qu’on va voir.

C1 Station Dreame C1 Station Dreame

Dès le déballage, on sent que Dreame n’a pas fait les choses à moitié. Le C1 Station respire la qualité, avec un design carré, compact, et des finitions soignées typiques de la marque. La vraie nouveauté ici, c’est cette fameuse station : une boîte intelligente qui sert à la fois de base de charge, de réserve d’énergie et de point d’ancrage. Contrairement à de nombreux modèles filaires, le C1 fonctionne avec une batterie intégrée à la station de 7800 mAh, capable d’assurer environ trois heures d’autonomie. Et ça change clairement tout : plus besoin de traîner un câble jusqu’à la prise la plus proche, on déploie le robot, on le colle à la vitre, et il s’occupe du reste.

Techniquement, le Dreame C1 Station impressionne. Son système d’aspiration de 5500 Pa lui permet de se maintenir solidement contre la vitre, même verticale, sans jamais donner l’impression de pouvoir tomber. C’est d’ailleurs l’un de ses gros points forts : on se sent en confiance dès la première utilisation. Il embarque un petit réservoir d’eau (environ 80 ml) qui lui permet d’humidifier la surface au fur et à mesure de son passage, et ses patins en microfibre frottent avec une précision redoutable. Le format carré, plus rare que les ronds, permet en plus d’atteindre les coins, souvent laissés de côté par les concurrents.

C1 Station Dreame C1 Station Dreame

Sur le terrain, le résultat est franchement convaincant — à condition que vos vitres ne soient pas dans un état catastrophique. Sur des baies vitrées entretenues régulièrement, le Dreame C1 Station laisse une surface propre, sans trace visible, et sans effort. Ma véranda avait clairement besoin d’un coup de propre, et j’ai donc utilisé le mode intensif deux fois, dedans et dehors. Sur des vitres très encrassées (poussière accumulée, traces grasses, sel marin, etc.), le robot s’en sort honorablement mais nécessite parfois un second passage, voire un petit coup de chiffon manuel. En clair, il n’est pas magique, mais il est diablement efficace sur de l’entretien courant, et c’est cela qu’on vise.

Le pilotage se fait via l’application Dreame, claire et intuitive, mais le robot peut aussi fonctionner seul. On le positionne, il analyse la surface et se déplace de manière méthodique, avec des trajectoires en zigzag pour ne rien oublier. Et quand il a terminé, il revient à son point de départ, prêt à être décroché. Un détail qu’on apprécie quand on a plusieurs mètres carrés de vitrages à traiter.

C1 Station Dreame

En revanche, il ne faut pas s’attendre à une expérience totalement autonome. Il faut encore humidifier les chiffons, positionner le robot, lancer le mode de nettoyage, et parfois l’assister légèrement pour certaines zones. Ce n’est pas un appareil qu’on pose et qu’on oublie, mais plutôt un assistant efficace qui réduit drastiquement le temps et l’effort. Dreame ne promet pas une disparition totale de la corvée, mais il l’allège clairement.

Côté usage, le Dreame C1 Station s’adresse avant tout à ceux qui ont de grandes surfaces vitrées : baies, vérandas, fenêtres en hauteur, façades exposées. Dans ce contexte, il est redoutable. Si en revanche vous vivez dans un appartement avec trois fenêtres standards, son intérêt devient relatif, surtout compte tenu de son prix, autour de 600 € hors promotion. Il faut le voir comme un investissement pratique pour qui entretient régulièrement de grandes surfaces, pas comme un gadget ponctuel.

C1 Station Dreame

En termes de bruit, il reste dans la moyenne — disons comparable à un aspirateur en mode modéré —, donc pas idéal à lancer le soir quand les enfants dorment. En revanche, la sécurité est impeccable : le système d’aspiration combiné à la corde de sécurité élimine quasiment tout risque de chute. Dreame a clairement pensé à la tranquillité d’esprit de l’utilisateur.

C1 Station Dreame C1 Station Dreame

Au quotidien, le Dreame C1 Station change la donne. On n’a plus besoin de frotter ni de grimper sur une échelle pour atteindre les vitres les plus hautes. On gagne du temps, on gagne du confort, et surtout, on garde une maison plus lumineuse, plus longtemps. Ce n’est pas un robot parfait — il demande encore un peu de participation et ne remplacera jamais totalement le nettoyage manuel —, mais il se rapproche de cette idée d’entretien intelligent et semi-automatique qui devient la signature de Dreame.

Conclusion 

Pour conclure, le Dreame C1 Station est un produit abouti, élégant et terriblement pratique pour ceux qui en ont l’usage. Il brille sur les grandes baies vitrées, peine un peu sur les vitres très sales, mais vous aidera grandement pour un entretien plus fréquent. Je dirais que c’est l’un des meilleurs robots laveurs du moment, à la fois robuste, bien pensé et rassurant. Pas un gadget de plus, mais un vrai compagnon d’entretien domestique — un peu cher, certes, mais qui justifie son prix si vous passez trop souvent le week-end avec une raclette à la main. De mon côté avec la véranda, c’est clairement un must-have.

Bref, le Dreame C1 Station, c’est la fin des vitres ternes et des bras fatigués.

Test – Robot lave vitres C1 Station de Dreame a lire sur Vonguru.

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