Malgré un cessez-le-feu, la tension reste palpable entre les différents acteurs du conflit Iran-Israël. Les autorités américaines en ont bien conscience et tirent la sonnette d'alarme : une vague de cyberattaques iraniennes pourrait frapper des infrastructures américaines dans les jours ou semaines à venir.

“Suite à un léger souci technique lié à la déflagration d’un missile sur notre bâtiment, nous vous proposons la rediffusion des pendaisons de prisonniers politiques de l’an dernier”. C’est le message laconique qui s’affiche sur l’écran pour les malheureux téléspectateurs qui devront ronger leur frein en attendant le retour des programmes d’exécutions en direct. “ Je suis dégoûté, j’ai déjà vu trois fois ces vidéos de pendaisons, ça ne me fait plus grand-chose ” a expliqué Abdul, responsable local des Gardiens de la révolution par intérim après la destruction de son QG.

Même son de cloche pour Yamin, responsable police des mœurs, qui espère retrouver son programme préféré très vite entre deux prêches sur le Grand Satan, la destruction de l’Occident et l’annihilation d’Israël. “ J’espère quand même que les archives n’ont pas trop souffert, je serai tellement triste de savoir que les vidéos des pendaisons massives des prisonniers de 1988 ont été détruites ” a-t-il expliqué tout en tabassant plusieurs manifestants.

Le régime iranien a par ailleurs annoncé l’arrestation des concepteurs du bâtiment qui abritait la télévision d’État, pointant du doigt le manque de conformité des locaux avec l’attaque de missile balistique et annonçant qu’ils seront les prochains à êtres exécutés dès que le service de télédiffusion sera rétabli.

Crédit : Kinga Krzeminska/GettyImage

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À l’issue d’une opération militaire “d’une précision exemplaire” selon Tsahal, les daurades ont été déroutées avant d’être interceptées. Selon l’armée israélienne, le banc de poissons auraient présenté un comportement suspect et auraient refusé d’obéir à ses ordres et de sortir de l’eau sur le champ.

“Leur façon de se déplacer nous autorise à penser qu’elles ont suivi un entraînement militaire avec le Hamas et qu’elles s’apprêtaient à attaquer violemment notre pays”, explique le porte-parole de la marine. Placées en garde à vue dans un bocal sous haute surveillance, les 14 daurades ont été interrogées sur leurs intentions mais se seraient montrées peu coopératives avec les autorités.

Plusieurs chefs d’État se sont dits scandalisés par la situation, à commencer par Emmanuel Macron. Le Président de la République a en effet condamné l’arrestation illégale des poissons : “Les daurades ont tout notre soutien et la France est prête à les accueillir, le citron et les petites pommes de terre sont déjà prêts”.

De son côté, Israël a promis une tolérance zéro avec les individus suspects identifiés aux abords de ses côtes. Huit dauphins seraient actuellement en garde à vue, suspectés d’être des espions du Hamas.

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