Voici combien vont gagner les dirigeants de Warner Bros avec le rachat par Netflix
Il n'y a pas que Netflix qui décroche le pactole en s'offrant Warner Bros. Les dirigeants du studio vont empocher de coquettes sommes si la transaction aboutit.


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C'est terminé pour deux usines à fakes. La plateforme YouTube a enfin pris des mesures radicales à l'encontre de Screen Culture et de KH Studio, deux chaînes qui cumulaient des milliards de vues. Comment ? En trompant les internautes et les médias avec de fausses bandes-annonces, créées par IA.

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La méga-constellation de satellites Starlink connaît parfois des défaillances. SpaceX vient d'en révéler une avec l'appareil Starlink 35956. L'engin, désormais incontrôlable, soulève inévitablement des questions légitimes de sécurité, mais SpaceX se veut rassurant.
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Pour la toute première fois de l'histoire de la conquête spatiale, une personne se déplaçant quotidiennement en fauteuil roulant s'apprête à franchir la ligne de Kármán. Mais il faudra patienter 48 heures de plus : initialement prévu jeudi, le vol a été reporté à ce samedi suite à une anomalie technique.

Vous pensez qu’un aspirateur robot, c’est “un rond qui tourne” ? En cette fin d’année 2025, ce cliché ne tient plus une minute. Les meilleurs modèles sont devenus des machines hybrides : aspiration sérieuse, lavage crédible, station qui s’occupe (presque) de tout… et logiciels qui font la pluie et le beau temps.
Le robot aspirateur n’est plus un gadget. C’est devenu un assistant ménager, presque un colocataire. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes : en France, près d’un foyer sur cinq en possède déjà un, selon les dernières données de GfK. Les ventes ont bondi de 35 % entre 2022 et 2024, avec une explosion du segment haut de gamme, dominé par des modèles à plus de 1000 €.

Prenons un exemple concret : Julie, 38 ans, vit à Toulouse, deux enfants, un chat et zéro minute à perdre. Elle pensait qu’un Roomba, c’était le top. Puis elle a découvert Roborock. Puis Dreame. Puis Ecovacs. Et là, c’est le drame : qui croire ? D’autant plus que le marché bouge à une vitesse folle. Le dernier événement en date concerne, bien entendu, iRobot (Roomba) qui vient de se placer sous protection du Chapter 11 aux États-Unis, avec un plan de reprise par son industriel (Picea Robotics). Si le leader historique des robots-aspirateur a fini par sombrer, où placer sa confiance ?
L’objectif de ce guide n’est pas de sacrer une marque “pour toujours”, mais de donner des repères simples : à quoi servent les innovations, pour qui elles ont un intérêt, et où sont les limites.
Si vous n’avez pas suivi, voici les deux vraies bascules récentes :
Ce n’est pas magique : ces nouveautés améliorent surtout les cas concrets (taches grasses, cuisines, seuils, meubles bas), mais elles peuvent aussi augmenter le prix et la complexité d’entretien.

En quelques années, Roborock est passé de « marque chinoise inconnue » à leader mondial incontesté. Lancée en 2014 en tant que spin-off de Xiaomi, Roborock s’est rapidement affranchie de l’image de sous-marque pour s’imposer comme la référence mondiale en proposant des machines capables de cartographier, aspirer, laver et s’auto-entretenir avec une précision quasi clinique. En France, Roborock est aujourd’hui leader en ligne sur les segments premium (700 € et plus), notamment via Amazon, Boulanger et les marketplaces high-tech.
Ce qui fait la patte Roborock, c’est une accumulation de détails qui comptent au quotidien : navigation LiDAR, évitement d’obstacles assisté par caméra/IA selon les gammes, lavage de plus en plus sérieux, et surtout des stations qui gèrent la poussière, l’eau et l’entretien automatique. Tout pour plus d’autonomie, en somme !
« C’est le seul truc qui bosse vraiment à la maison quand je suis pas là », plaisante Antoine, 42 ans, père de trois enfants et délégué syndical du ménage quotidien.
C’est le S8 Pro Ultra qui a cristallisé cette ambition : une bête de course dotée de deux brosses en caoutchouc, d’un système de lavage VibraRise 2.0 et d’une base capable de se vider, remplir et nettoyer toute seule. En 2025, Roborock récidive avec la série Q Revo MaxV, encore plus accessible, mais toujours bardée d’IA.
Autre évolution intéressante : la marque cherche à éviter le classique “robot qui mouille le tapis”. Sur le Qrevo Curv 2 Pro, les serpillières peuvent se détacher automatiquement quand le robot s’approche d’une zone textile, et la station va plus loin sur l’hygiène avec un lavage à l’eau chaude (jusqu’à 100°C annoncé) selon les configurations. C’est typiquement le genre de confort qui ne change pas tout… mais qui change beaucoup quand on a des tapis partout et qu’on lance le robot tous les jours.
Et pour 2026, Roborock tente aussi un pari plus ambitieux (et plus discutable, selon votre tolérance au gadget) : le Saros Z70, présenté comme le premier robot aspirateur “grand public” doté d’un bras mécanique repliable capable de déplacer de petits obstacles pour nettoyer dessous !

Créée en 1998 en Chine, Ecovacs a mis du temps à s’imposer en Europe, mais aujourd’hui, c’est clairement un poids lourd du ménage automatisé. Son mantra ? Rendre le robot “le plus autonome possible”. Sur le marché français, Ecovacs a percé par le web, via Amazon et Cdiscount, avant de s’installer chez Boulanger ou Darty. Elle cartonne auprès de ceux qui veulent un robot ultra-complet, mais pas prêt à claquer entre 1200 et 1500 €.
Leur série Deebot X ou T, c’est un festival d’innovations, comme les Deebot X2 Omni ou T20 Omni, lesquels combinent aspiration puissante, lavage oscillant, relevage automatique des serpillières, reconnaissance d’objets… et surtout, une base qui vide la poussière, lave la serpillière, la sèche… encore un peu et il vous prépare le café. Le design est aussi une force : Ecovacs a notamment cassé les codes avec le X2 Omni et son format carré affûté comme une console de jeu next-gen. C’est beau, c’est plat, et ça passe sous les meubles.
Pour 2026, le vrai virage Ecovacs, c’est surtout le lavage. La marque pousse le concept de rouleau auto-nettoyant (OZMO Roller) sur la gamme X8 : un rouleau qui se rince en continu pendant qu’il frotte, avec une logique simple en usage réel… éviter de “laver” votre sol avec une serpillière déjà grise au bout de cinq minutes. Ecovacs met en avant un rouleau à 200 tr/min, un système de rinçage via plusieurs buses, et un effort particulier sur le nettoyage des bords.
En parallèle, Ecovacs travaille aussi la compacité (la série T50, annoncée très basse — 81 mm sur certaines versions) et le haut de gamme continue avec des modèles comme le X11 Omnicyclone (lavage à l’eau chaude mis en avant, et un bac amovible sans sac !). Bonne nouvelle : il a été testé par nos soins !

Narwal est une marque plus jeune que les mastodontes du secteur, mais elle a déjà une identité très lisible : le lavage d’abord. Fondée en 2016 et basée à Shenzhen (Chine), la marque s’est construite sur une idée simple : si un robot doit vraiment vous faire gagner du temps, il doit arrêter de “passer un chiffon humide” et commencer à gérer l’eau, la saleté et l’hygiène comme un système complet.
Concrètement, Narwal mise beaucoup sur deux leviers. D’un côté, une approche “assistée” : le Freo Z10 Ultra met en avant un lavage piloté par l’IA, capable d’ajuster la température de l’eau entre 45°C et 75°C selon la situation. Dit autrement : il essaie de faire la différence entre un sol juste poussiéreux et une trace qui mérite un peu plus d’insistance. De l’autre, une obsession de la maintenance : Narwal pousse depuis plusieurs générations des stations et des systèmes qui cherchent à réduire les manipulations, y compris via des idées comme le compactage des déchets et de longues durées “sans vidange” sur certains modèles.
Fin 2025 et pour 2026, la marque pousse surtout une technologie facile à comprendre en usage réel : le Track Mop. Au lieu de deux patins rotatifs qui finissent par frotter avec une zone déjà sale, Narwal met en avant une sorte de bande/chenille de lavage avec gestion d’eau propre et d’eau sale, pensée pour mieux tenir la cadence sur une session longue et mieux traiter les bords et les coins. Le Flow, présenté au CES 2025, illustre bien cette direction.
Là où il faut rester lucide, c’est que “marque forte en lavage” ne veut pas dire “parfaite partout”. Plusieurs tests indépendants rappellent que les performances peuvent être plus variables côté aspiration et que l’expérience appli/logiciel peut parfois demander un peu de patience, selon les générations. En clair : Narwal est très intéressant si votre quotidien, c’est surtout carrelage/parquet + cuisine + traces, et moins si vous cherchez d’abord un robot “tapis-first” qui remplace un aspirateur traîneau sur moquette épaisse.

MOVA, c’est typiquement le genre de marque qui arrive “en douce” et qui finit par se retrouver dans les comparatifs sans avoir fait beaucoup de bruit. Le plus important à comprendre, c’est le contexte : MOVA gravite autour de Dreame (la presse anglo-saxonne la décrit comme une sous-marque, et Dreame communique directement sur des produits “Mova” dans son propre newsroom).
Sur le terrain, ça se traduit par une logique assez simple : reprendre des briques techniques déjà mûres (navigation, stations très automatisées, logique “premium”) et les proposer sous une marque plus “jeune”/plus agressive en prix.
En 2025, MOVA a surtout marqué des points sur deux axes concrets. D’abord, le haut de gamme “valeur” : le V50 Ultra Complete a été mesuré très haut dans des tests labo indépendants orientés performance/prix, avec un discours clair : “flagship, mais moins cher que les leaders habituels”.
Ensuite, la marque a pris le virage du roller mop avec le Z60 Ultra Roller Complete que nous avons eu dans nos labos, et qui est capable de gravir des margelles de plus de 4 cm !
Pour 2026, MOVA essaie aussi d’exister côté innovation “vitrine” : le MOVA MOBIUS 60 est listé comme CES Innovation Awards 2026 Honoree (catégorie Smart Home). On garde néanmoins en tête que MOVA reste une marque moins lisible que Roborock/Ecovacs (gammes qui se recoupent, repères moins établis), et beaucoup de specs/mesures sur leurs pages renvoient à des tests “Dreame Lab” — utile pour comprendre l’intention, mais à prendre comme des chiffres constructeur.

SwitchBot n’est pas un “pur acteur aspirateur-robot” comme Roborock ou Ecovacs. À la base, la marque s’est construite comme un écosystème de petits objets domotiques (capteurs, boutons, rideaux, etc.). Et ça se sent dans sa manière d’aborder le robot : moins “gros tank premium”, plus outil pratique, compact, connecté, qui s’intègre dans des scénarios maison.
Le produit qui a mis SwitchBot sur la carte côté robots, c’est le mini format : K10+ puis K10+ Pro. L’idée est très simple et très quotidienne : un robot plus petit passe mieux entre les pieds de chaise, se faufile sous des meubles bas, et gêne moins quand on vit “serré”. En contrepartie, on n’achète pas une force brute : sur le K10+, Les Numériques notait par exemple l’absence de caméra pour l’évitement d’obstacles (donc plus de vigilance sur les câbles et petits objets).
À l’autre extrémité, SwitchBot essaie aussi de jouer la cour des robots “qui lavent pour de vrai”, avec la gamme S. Au CES 2025, la marque a présenté le S20 Pro comme un successeur plus ambitieux (station plus automatisée, logique de nettoyage plus “mains libres”). Et sur le S20, des tests soulignent surtout un point : le lavage au rouleau, plus constant qu’un patin qui traîne, avec une station capable de gérer l’entretien (vidange poussière, eau, séchage) — mais aussi des limites d’usage (bruit de la station, encombrement, quelques bizarreries logicielles selon les retours).
Ce qui rend SwitchBot intéressant en 2026, c’est une robotique modulaire et très “smart home”, avec des projets comme le K20 Plus Pro (base mobile à laquelle on peut accrocher des modules), et une compatibilité Matter mise en avant sur certains robots compacts (pratique si vous vivez déjà dans Apple Home, Alexa ou Google Home).
En 2025, Rowenta figurait dans notre top. Il faut dire que c’est un cas à part : pas la marque la plus “tech”, mais une option rassurante pour ceux qui achètent en magasin et veulent un cadre clair. Elle bénéficie de la force du Groupe SEB (réseau, SAV, disponibilité) et met en avant un engagement fort sur la réparabilité, avec des pièces détachées annoncées disponibles pendant jusqu’à 15 ans sur de nombreux produits du groupe.
Dyson reste à part : peu de modèles, mais une vraie priorité à l’aspiration (ex. 360 Vis Nav) et un tarif clairement premium (souvent autour de 999 € sur le site officiel). Xiaomi et eufy jouent plutôt la carte du rapport équipement/prix : on trouve régulièrement d’excellentes affaires en ligne, mais la qualité de l’expérience (SAV, délais, pièces) dépend beaucoup du canal d’achat (marketplaces vs revendeurs établis).
Yeedi, lui, est un outsider “budget” lié à Ecovacs (la marque apparaît directement dans l’écosystème Ecovacs). Samsung est présent, mais de façon assez intermittente : quelques produits vitrines type Bespoke Jet Bot (montré à l’IFA 2025), sans dominer le marché français.
Neato : fermé en 2023, et cloud coupé en 2025, donc robot très limité.
Enfin iRobot : Chapter 11 en décembre 2025…
Si vous cherchez l’efficacité brute et que vous avez le budget, Roborock reste la valeur sûre. Pour un bon compromis, Ecovacs et Dreame font très bien le job. iRobot, c’est la carte fiabilité made in USA. Rowenta ? Seulement si vous aimez jouer local… et que vous êtes indulgent.
| Votre profil | Vos priorités | Marques à privilégier |
|---|---|---|
| Petit appart, meubles serrés | Compacité, silence, entretien léger | SwitchBot, (Xiaomi/eufy en alternative) |
| Famille + animaux | Poils, navigation, station solide | Roborock, MOVA |
| Sols durs + cuisine (taches) | Lavage crédible, hygiène du mop | Ecovacs, Narwal |
| “Je veux le plus autonome” | Station complète, automatisation | Roborock, Ecovacs, Narwal |
| Achat “durable / réparable” | SAV, pièces, réparabilité | Rowenta (logique différente du top tech) (Groupe SEB) |
Ce qu’il faut retenir : en 2026, un bon robot aspirateur, c’est plus qu’un gadget. C’est un assistant. Et comme tout assistant, mieux vaut bien le choisir. Parce que sinon, c’est encore vous qui finirez à quatre pattes avec l’aspirateur à la main…


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