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L'auteur LE PLUS RICHE au monde N'ÉCRIT PAS ses livres - YouTube

12 juin 2024 à 09:55
Mouarf. L'auteur le plus riche du monde (pas été vérifié, mais elle annonce 800 millions de dollars tout de même) n'écrit pas ses livres. Disons qu'il a amélioré le système d'Alexandre Dumas : il envoie un synopsis de 60-80 pages à son pool de "co"-auteurs, qui font ensuite le roman en suivant le canevas du patron. Malin.
Je viens d'aller jeter un œil sur Babelio, ses livres ont des notes plutôt correctes : il choisit bien ses collaborateurs.

Alors ? Littérature ou pas littérature ? Publicitaire, homme d'affaires ou escroc façon Jeff Koons ?
(Permalink)

La "dark romance", le genre qui casse les codes - YouTube

12 juin 2024 à 09:41
La "dark romance" : fonction cathartique ou glamourisation du viol ?
L'autre point intéressant de cette courte (3 minutes) vidéo, c'est comment ce genre renverse la chaine de l'édition : ces romans sont habituellement écrit (plus ou moins) à compte d'auteur sur des sites comme Wattpad, où les éditeurs vont faire leur marché pour choisir ce qui fonctionne (7 millions de lecteurs pour Captive...), avant de l'éditer en ebook, et ensuite seulement, si l'ebook s'est bien vendu, en livre papier, encore perçu par eux comme une sorte de consécration (ça se comprend : c'est ce qui coûte le plus cher à produire)
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L'auteur LE PLUS RICHE au monde N'ÉCRIT PAS ses livres - YouTube

Mouarf. L'auteur le plus riche du monde (pas été vérifié, mais elle annonce 800 millions de dollars tout de même) n'écrit pas ses livres. Disons qu'il a amélioré le système d'Alexandre Dumas : il envoie un synopsis de 60-80 pages à son pool de "co"-auteurs, qui font ensuite le roman en suivant le canevas du patron. Malin.
Je viens d'aller jeter un œil sur Babelio, ses livres ont des notes plutôt correctes : il choisit bien ses collaborateurs.

Alors ? Littérature ou pas littérature ? Publicitaire, homme d'affaires ou escroc façon Jeff Koons ?
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La "dark romance", le genre qui casse les codes - YouTube

La "dark romance" : fonction cathartique ou glamourisation du viol ?
L'autre point intéressant de cette courte (3 minutes) vidéo, c'est comment ce genre renverse la chaine de l'édition : ces romans sont habituellement écrit (plus ou moins) à compte d'auteur sur des sites comme Wattpad, où les éditeurs vont faire leur marché pour choisir ce qui fonctionne (7 millions de lecteurs pour Captive...), avant de l'éditer en ebook, et ensuite seulement, si l'ebook s'est bien vendu, en livre papier, encore perçu par eux comme une sorte de consécration (ça se comprend : c'est ce qui coûte le plus cher à produire)
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Un auteur en Musculation (Delavier) attaque en Justice un debunker scientifique (Geek n Fit)

7 juin 2024 à 20:01

Apparemment M. Frédéric Delavier n'aime pas trop l'approche "No Bullshit" de M. Ghaïs Guelaïa.

Celui-ci est diplômé et porte le titre d'éducateur sportif, il est en effet référencé sur le portail officiel du Ministère des Sports : https://eapspublic.sports.gouv.fr/CarteProRecherche/RechercherEducateurCartePro

Or Fred Delavier ne peut pas en dire autant : il est introuvable sur ce registre national, quelle est sa légitimité à écrire des livres sur le sujet ?
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Ébrécher l'oubli

Par : Ali Chibani
7 juin 2024 à 13:48
Le 25 septembre 2002, Le Joola, qui allait du sud du Sénégal à Dakar, a sombré. Il avait embarqué trop de passagers. Ce fut le naufrage le plus meurtrier de l'histoire de la marine civile (1 863 morts). Kinne — un personnage créé par le grand écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop — a péri dans ce (...) / , , , - 2024/06

Créez facilement des livres électroniques avec mdBook

Par : Korben
7 juin 2024 à 07:00

Vous rêvez de créer votre propre livre électronique ou une bonne grosse documentation technique mais vous ne savez pas par où commencer ?

Ne cherchez plus, mdBook est là pour vous !

Il s’agit d’un outil codé en Rust, qui a l’aide de quelques commandes simples, vous permettra d’initialiser la structure de votre ouvrage, de rédiger votre contenu en Markdown, de personnaliser le rendu et de le mettre en ligne. Voici un exemple de ce que ça peut donner comme rendu.

Pour démarrer votre aventure avec mdBook, rien de plus simple. Installez l’outil en suivant les instructions sur le site officiel, puis lancez la commande suivante dans un terminal :

mdbook init mon-premier-livre

Et voilà, le squelette de votre chef-d’œuvre est prêt et vous n’avez plus qu’à rédiger !

mdBook regorge de fonctionnalités pour mettre en forme votre contenu. Vous pouvez organiser vos chapitres dans le fichier SUMMARY.md, ajouter une page d’introduction dans README.md, créer votre propre template, et même inclure des images et autres ressources. Et une fois votre prose finalisée, vous pourrez donner vie à votre livre à l’aide de la commande :

mdbook serve

Celui-ci va alors générer une version web interactive accessible via un serveur web, avec une navigation et moteur de recherche intégré, de vos écrits. Et la commande

mdbook build

… vous permettra de générer une version HTML de votre bouquin.

Je trouve ça très satisfaisant de passer par le markdown pour la rédaction et la mise en forme. Je le faisais pour des prez style Powerpoint mais full markdown à l’époque où je faisais des confs, et c’était un vrai gain de temps.

Mais le véritable atout de mdBook, c’est sa capacité à automatiser la publication de votre livre. Grâce à l’intégration continue, chaque modification que vous apportez peut être instantanément mise en ligne. Comme ça, fini les mises à jour manuelles bien reloues !

Bref, vous l’aurez compris, mdBook est un excellent outil pour les auteurs qui aiment partager leur travail avec leur communauté. Ah, j’allais oublier ! Si vous avez besoin d’inspiration, n’hésitez pas à explorer la documentation officielle de mdBook. Vous y trouverez des astuces, des exemples et même des témoignages d’auteurs conquis.

Tremblements du temps

3 juin 2024 à 13:07
On ne peut pas vraiment dire que l'Américain Jack Finney est un inconnu en France. Son roman, The Body Snatchers (1955), a un titre célèbre, mais cette célébrité est due principalement aux films qu'en ont tirés Don Siegel (L'Invasion des profanateurs de sépultures, 1956), Philip Kaufman (L'Invasion des (...) / , , - 2024/06

The 21 best science fiction books of all time – according to New Scientist writers | New Scientist

3 juin 2024 à 08:16

Je vois souvent passer des listes d'oeuvres de science-fiction recommandées par différents journaux. Et c'est souvent décevant (autrement dit, je m'y reconnais rarement). Mais comme celle-ci contient le cycle de La Culture (c'est exceptionnellement bon, et souvent recommandé) ET la saga Vorkosigan (c'est tout aussi exceptionnel, mais bien trop souvent snobbé), je la trouve intéressante.


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Fierté de classe

2 juin 2024 à 15:54
À l'occasion du centenaire de sa naissance, en 1924, une biographie du romancier et critique d'art Michel Ragon met en évidence les caractéristiques de son parcours d'autodidacte et souligne ce qu'il a pu avoir de singulier et de rude dans le monde culturel français. L'absence de légitimité (...) / , , , - 2024/06

Le succès, et après ?

Le hasard des calendriers éditoriaux a récemment rapproché deux univers que tout oppose : celui des poètes de la Rome républicaine, dont Pierre Vesperini fait entendre les lointains échos, et celui de l'Internationale lettriste, dont Jean-Louis Rançon ramène à la vie une figure mystérieuse entre (...) / , , - 2024/06

La science-fiction propose enfin des futurs désirables

26 mai 2024 à 06:38

La SF permet d'ouvrir le champ des possibles, de se questionner, de réfléchir sur des hypothétiques futurs "cohérents", voire "crédibles".

Extrait : « À quand une Red team au ministère de la Santé ou de l’Écologie, s’interroge Ugo Bellagamba. Les politiques ont encore du mal à saisir l’intérêt de la SF pour ouvrir les possibles. »


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« Et si Félicité portait malheur ? »

22 mai 2024 à 09:54
C'est hyper-pointu, j'ai lu en diagonale et encore pas tout, c'est le genre de truc pour les Bac+12 en littérature comparée, mais je suis content de vivre dans un monde où ce genre de chose existe : c'est une étude visant à examiner le personnage de Félicité (Un cœur simple - Flaubert) en tant que "porte malheur" ou messager/annonciateur de la mort. Et ça se tient.
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« Et si Félicité portait malheur ? »

C'est hyper-pointu, j'ai lu en diagonale et encore pas tout, c'est le genre de truc pour les Bac+12 en littérature comparée, mais je suis content de vivre dans un monde où ce genre de chose existe : c'est une étude visant à examiner le personnage de Félicité (Un cœur simple - Flaubert) en tant que "porte malheur" ou messager/annonciateur de la mort. Et ça se tient.
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