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Reçu hier — 25 novembre 2025

Des gouttes nasales ouvrent une piste prometteuse contre le glioblastome

25 novembre 2025 à 17:00

La recherche médicale explore aujourd’hui une voie inattendue : administrer des traitements anticancéreux par les fosses nasales. Des scientifiques américains ont récemment mis au point des gouttes capables de voyager le long des nerfs olfactifs pour atteindre le système nerveux central. Les premiers essais menés sur des souris ont montré que la thérapie rejoignait sa ... Lire plus

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Reçu — 21 novembre 2025

Biopic de Michael Jackson 2026 : Date de sortie, casting et détails clés révélés

21 novembre 2025 à 02:00

Tout amateur de musique, peu importe son genre préféré, a probablement au moins un morceau du Roi de la Pop, Michael Jackson, dans sa playlist. Ses contributions remarquables à l’industrie musicale ont laissé un héritage qui résonne encore aujourd’hui. Avec l’annonce d’un prochain biopic sur sa vie, c’est un moment excitant pour les fans. Voici […]

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Reçu — 17 novembre 2025

Docker Manager - Pour gérer vos conteneurs depuis votre smartphone

Par :Korben
17 novembre 2025 à 10:09

Vous vous souvenez de la dernière fois où vous avez dû redémarrer un container Docker en urgence depuis votre téléphone, planqué dans les chiottes du resto un jour de St Valentin ?

Le minuscule clavier, la connexion SSH qui rame, les commandes qu’on tape mal parce que l’autocorrect veut absolument transformer “docker ps” en “docker pas”, l’écran trop petit pour lire les logs… Bref, la grosse merde !!

Heureusement, Docker Manager débarque pour transformer ce cauchemar en expérience qui fait plaisir aux yeux. C’est une app Android qui gère vos containers Docker à distance, et c’est tellement bien foutu que vous allez enfin arrêter d’ouvrir votre laptop n’importe où juste pour faire un simple restart.

C’est vrai que faire du SSH depuis un smartphone, ça a toujours été possible. Y’a même plein d’apps terminal mobiles, de clients fait pour ça, même des bidouilles pour se connecter à vos serveurs. Mais “possible” et “agréable”, c’est pas vraiment la même chose.

Grâce à Docker Manager ce sera donc possible ET agréable ! Vous gérez déjà Docker, vous connaissez déjà les commandes, vous savez ce que vous faites mais au lieu de vous faire taper des commandes dans un terminal de 5 pouces, l’app vous offre une interface utilisateur carrée avec des boutons, des statistiques en temps réel, des logs lisibles, et même un shell interactif quand vous en avez vraiment besoin !

Vous connectez donc vos serveurs via SSH (mot de passe ou clé, comme d’hab), et hop, vous aurez accès à tout. Start/stop/restart de containers, inspection des images, gestion des volumes et des networks, stats CPU/RAM en direct… Tout ce que vous feriez normalement en SSH, mais sans vous arracher les yeux sur un terminal mobile.

Autre truc sympa, l’app supporte plusieurs serveurs, donc vous pouvez switch entre votre VPS perso, votre homelab, et votre serveur de prod en deux tapotages ^^. Elle gère aussi les VPN comme Tailscale, donc si vos serveurs sont derrière un réseau privé, pas de problème. Elle propose même des thèmes light/dark, parce que oui, même en pleine nuit à 3h du matin quand un container plante, vous avez le droit à votre petit confort visuel.

L’app supporte aussi Podman. Vous configurez juste votre CLI Docker custom, et ça marche ! Et en plus, c’est open source ! Vous pouvez même faire du cleanup système pour virer les images et containers qui traînent histoire de faire un peu de ménage.

L’app est dispo sur le Play Store et sur GitHub pour ceux qui veulent build depuis les sources ou juste regarder le code. Testez, vous verrez, ça change la vie.

Merci à Friendly_0day pour le partage !

Reçu — 10 novembre 2025

Dead Domain Discovery DNS - Une veille mortuaire pour les domaines

Par :Korben
10 novembre 2025 à 07:57

Vous naviguez sur le web en mode pépouze comme tous les jours… Et comme tous les jours, votre navigateur charge des scripts, des CSS, des cookies, des images, parfois des iframes. Et malheureusement, certains de ces trucs viennent de domaines qui n’existent plus. Vous ne vous en rendez pas compte et votre navigateur non plus. Mais Dead Domain Discovery DNS le sait, lui. Et il va vous le dire.

Dead Domain Discovery DNS , c’est un outil créé par Lauritz Holtmann , un chercheur en sécurité allemand et c’est un DNS forwarder UDP super léger codé en Python qui écoute sur le port 53 de votre ordinateur et note tous les domaines qui ne répondent plus. Ce n’est donc pas un scanner actif mais plutôt un observateur passif qui regarde passer les requêtes DNS et repère les morts.

Vous configurez Dead Domain Discovery comme votre serveur DNS primaire comme ça, toutes vos requêtes DNS passent par lui. Il forward ensuite ça vers un resolver upstream, genre Google DNS ou Cloudflare. Si un domaine ne résout pas, il réessaye sur un resolver secondaire mais si le secondaire échoue aussi, il marque alors le domaine comme “potentiellement mort” puis toutes les 15 secondes, il vous envoie un message contenant les nouveaux domaines HS découverts.

Les notifications partent sur Telegram, par email, ou via un webhook selon ce que vous voulez. Rassurez-vous, y’aura pas de fausse alerte à répétition puisqu’un domaine notifié une fois ne l’est plus pendant un certain temps.

L’intérêt pour les chercheurs en sécurité, c’est que les domaines morts sont une surface d’attaque intéressante. Un domaine expire, quelqu’un d’autre le réenregistre mais comme les enregistrements DNS qui pointaient vers l’ancien propriétaire existent toujours, ça ouvre des portes pour mettre en place des sous-domaines, des CNAME, charger des scripts externes autorisés…etc car tout continue de pointer vers le domaine mort. Ça permet de contrôler une partie du trafic autorisé.

Cette attaque est connue et s’appelle le subdomain takeover ou domain hijacking. Par exemple en 2024, l’attaque Sitting Ducks a mis plus d’un million de domaines à risque , exploitée par des cybercriminels russes. Et début 2025, des domaines expirés ont permis de contrôler plus de 4000 backdoors sur des systèmes gouvernementaux, académiques et privés. La campagne SubdoMailing a même utilisé plus de 8000 domaines légitimes pour envoyer des emails de phishing, en exploitant leur réputation pour contourner les filtres anti-spam. Donc autant vous dire que c’est un vrai problème…

Dead Domain Discovery vous aide donc à trouver ces domaines avant qu’un attaquant ne le fasse. Ensuite, si le domaine est réenregistrable, vous avez 2 options. Soit vous le réenregistrez vous-même pour sécuriser votre infrastructure, soit vous signalez le problème au propriétaire du site qui référence ce domaine HS.

L’infra recommandée par Lauritz pour faire tourner Dead Domain Discovery est un Raspberry Pi configuré comme DNS primaire de votre réseau. Faible conso, c’est toujours allumé, et ça permet de tout surveiller en continu. Mais vous pouvez aussi le déployer sur un VPS si vous voulez monitorer un réseau distant.

Notez que les notifications Telegram nécessitent un bot API token et un chat ID. L’email passe par du SMTP classique et les webhooks acceptent des headers personnalisés, ce qui est pratique si vous voulez intégrer ça dans votre système de monitoring existant.

L’outil dispose aussi d’une extension Chrome qui fais la même chose et scanne les pages web pour iframes, scripts et autres styles externes, puis vérifie si leurs domaines résolvent. Même auteur, même principe, mais côté navigateur. L’extension utilise l’API Google DNS pour vérifier les domaines et ne communique aucune donnée à son auteur. Vous scannez, vous voyez les morts au combat, et ensuite, vous pouvez agir.

Bref, vous l’aurez compris, Dead Domain Discovery ne vous protègera pas directement mais vous dira juste quels cadavres traînent dans votre réseau.

À vous ensuite de les enterrer comme il se doit.

Reçu — 27 octobre 2025

Deep Eye - Le scanner de vulns multi-IA

Par :Korben
27 octobre 2025 à 10:47

Ce serait cool si on pouvait réunir les Avengers des LLMs pour les faire bosser ensemble sur de la recherche de faille de sécurité ? OpenAI, Anthropic, X.AI et Meta ensemble contre les forces du mal, c’est maintenant possible avec Deep Eye , un super scanner de vulnérabilités qui transforme les quatre IA rivales en équipe de pentesteurs. Vous allez voir, c’est assez génial !

Deep Eye, c’est donc un outil Python open source qui scanne les sites web et les API pour trouver des vulnérabilités. SQL injection, XSS, command injection, SSRF, path traversal, authentication bypass, au total y’a plus de 45 méthodes d’attaque automatisées. Vous lui indiquez une URL, et il teste tout en switchant entre les services d’IA selon le contexte.

Dans le contexte d’un pentest légitime, Deep Eye a même trouvé comment parler aux IA pour qu’elles acceptent de pondre du code un peu sensible. Et ça tombe bien car chaque IA a ses forces et ses faiblesses. GPT-4 par exemple excelle sur les payloads créatifs et les contournements de filtres. Claude lui est plus méthodique, et capable de mieux analyser le contexte et de génèrer des attaques adaptées au framework détecté. LLAMA en local quand à lui est rapide et ne coûte rien en appels API. Et Grok ? Bah il a le mérite d’être dispo même s’il est loin d’être le meilleur.

Deep Eye en tout cas est capable des les utiliser toutes selon la situation. Pour l’installer, ça se passe en 3 commandes :

Vous installez ça comme ceci :

git clone https://github.com/zakirkun/deep-eye.git
cd deep-eye

Puis sous Windows :

cd scripts
./install.ps1

Ou sous macOS / Linux :

chmod +x scripts/install.sh
cd scripts
./install.sh

Ensuite, vous n’avez plus qu’à configurer vos clés API dans config/config.yaml puis à le lancer comme ceci avec Python :

python deep_eye.py -u https://example.com

Et c’est parti pour le scan ! Il commencera par de la reconnaissance passive, énumèrera les DNS, découvrira les sous-domaines, testera les fameuses 45 méthodes d’attaque, génèrera les payloads avec les IA, et vous sortira un rapport incroyable (ou pas) en PDF, HTML ou JSON.

Bien sûr, Deep Eye est conçu pour des tests de sécurité autorisés uniquement donc utilisez le uniquement sur vos propres systèmes, ou sur des systèmes pour lesquels vous avez une autorisation d’agir écrite car vous le savez, scanner un site sans permission, c’est illégal !!!

Bref, ça ne remplace pas encore de vrais pentesters mais ça peut permettre de faire un peu d’analyse en amont histoire de voir où on met les pieds.

Merci à lorenper pour la découverte 🙏

Reçu — 13 octobre 2025

Nativemind - IA 100% locale dans votre navigateur web

Par :Korben
13 octobre 2025 à 08:40

Vous payez 20 balles par mois pour que ChatGPT vous dise “bonjour” ? Vous attendez 5 secondes qu’une réponse revienne du cloud d’Anthropic ? Vous avez l’impression de louer votre intelligence artificielle comme vous louiez vos MP3 sur iTunes à la grande époque ?

Et bien j’ai une excellente nouvelle qui va vous plaire !! Il existe une extension de navigateur qui fait tourner de l’IA en local, sur votre machine, sans envoyer un seul octet dans le cloud. Ça s’appelle NativeMind et c’est du 100% local.

Vous installez l’extension sur Chrome, Firefox, Brave ou Edge, vous installez Ollama ou vous utilisez WebLLM directement dans le navigateur. Ensuite, vous téléchargez un modèle (DeepSeek, Qwen, Llama, ce que vous voulez) et c’est tout. Vous avez maintenant votre IA personnelle qui tourne sur votre laptop sans rien demander à personne, et accessible directement sur votre navigateur.

Le projet est open-source sous licence AGPL v3.0 et NativeMind supporte deux backends : Ollama, qui est recommandé si vous voulez de vraies performances et un contrôle total sur vos modèles ou WebLLM si vous voulez juste tester sans installer quoi que ce soit, directement dans le navigateur via WebAssembly.

Ollama c’est donc clairement la meilleure option. Vous lancez le serveur en local, il expose une API, et NativeMind s’y connecte. Vous pouvez faire tourner DeepSeek, qui est gratuit et open-source, et avoir des performances comparables à GPT-4, sans payer un centime de plus !

Vous pouvez ensuite lui demander de résumer n’importe quelle page web, de traduire un texte en gardant la mise en page intacte, d’analyser un PDF ou une image et même d’écrire pour vous !! Il est également capable de faire des tâches multi-étapes comme un agent le ferait.

Bref, tout ce que fait ChatGPT, mais sans que vos prompts partent sur les serveurs de Sam Altman.

Alors c’est moins immédiat que ChatGPT, je vous l’accorde et faut installer des trucs, mais une fois que c’est en place, vous êtes tranquille et surtout y’a pas de limite en terme de tokens ou de forfait… Puis vos données ne s’échappent pas.

Voilà, donc si vous voulez utiliser un peu d’IA pour comprendre des trucs sur des pages web, reformuler des mails que vous envoyez, générer des tweets à partir d’un contenu…etc, Nativemind est fait pour vous ! C’est largement suffisant pour des besoins d’IA classiques.

Rendez-vous sur le dépôt Github pour plus d’infos et sur le site officiel pour télécharger les extensions.

Reçu — 5 octobre 2025

Ikoula : we host with care

Par :Cédric
11 mai 2021 à 17:41
En ces temps d'embellies sanitaire et météorologique, j'ai trouvé que c'était le bon moment pour prendre un peu de hauteur vis à vis de la production et revenir à mes premiers amours autour de nouvelles solutions cloud (au hasard, allez faire un tour ici, , ou encore par là par exemple ... attention c'est vieux ^^). Aujourd'hui, je vous propose de découvrir, si vous ne les connaissez pas déjà, les p'tits gars d'Ikoula, entreprise Française spécialisé dans les solutions de hosting/cloud, oserais-je dire "à taille humaine", mais rentrons tout de suite dans le vif du sujet ...
Reçu — 30 juillet 2025
Reçu — 22 juillet 2025
Reçu — 10 juillet 2025
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