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Reçu aujourd’hui — 12 mai 2025

La qualité de l'air progresse et les ZFE régressent

L'INFO DU JOUR - Le "Roquelaure" qui s'ouvre ce 12 mai au ministère de la transition écologique débute par une bonne nouvelle : les émissions de dioxyde d'azote sont en baisse dans les villes françaises de 31 % depuis 7 ans. Une chute que les opposants aux ZFE devraient exploiter.

Reçu avant avant-hier

Normes CAFE : l'assouplissement est voté à Bruxelles

Ce 8 mai, les députés européens ont approuvé, à une forte majorité, le texte proposé en procédure d'urgence et qui modifie l'application des normes antipollution. Le couperet, et les amendes pour non-respect des 81 g en moyenne ne tomberont pas à la fin de cette année, mais en 2027.

Personne n’en parle : des fuites massives de ce gaz dangereux précipitent le monde vers le chaos !

Les émissions de méthane liées aux énergies fossiles sont alarmantes. En 2024, elles ont atteint un niveau proche des records historiques, selon l'Agence internationale de l'énergie. Malgré l’urgence climatique, les mesures de réduction peinent à se concrétiser, alors que 70 % de ces émissions...

Long‐Term Temperature Impacts of the Hunga Volcanic Eruption in the Stratosphere and Above - Randel - 2024 - Geophysical Research Letters - Wiley Online Library

3 mars 2025 à 09:46

Les changements de la température moyenne globale de la haute atmosphère liés à l'éruption volcanique Hunga (janvier 2022) sont analysés sur la base de mesures satellitaires et comparés à des simulations de modèles chimie-climat.

Les résultats montrent un refroidissement stratosphérique de -0,5 à -1,0 K dans la moyenne et la haute stratosphère entre 2022 et le milieu de 2023, suivi d'un refroidissement plus important (-1,0 à -2,0 K) dans la mésosphère après le milieu de 2023.

Les schémas de refroidissement suivent les anomalies de vapeur d'eau (H2O) se propageant vers le haut à partir de Hunga, et un comportement similaire est constaté entre les observations et les simulations de modèles.

Alors que le refroidissement stratosphérique est principalement dû au refroidissement radiatif dû à l'augmentation de H2O, les changements de température mésosphérique résultent des pertes d'ozone dans la mésosphère, qui sont à leur tour entraînées par les radicaux HOx provenant de l'H2O de Hunga. Les comparaisons avec les données climatiques pluridécennales montrent que les effets du Hunga sur les températures stratosphériques sont d'une ampleur similaire, mais de signe opposé, aux effets sur les températures des grandes éruptions volcaniques El Chichón (1982) et Pinatubo (1991).


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