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Annoncé au CES 2025 et déjà distingué à l’IFA, le WYBOT S3, l’évolution du S2 est sur les starting-blocks : cartographie de piscine en 3D, vidange et recharge automatiques, pour tenir un mois sans intervention humaine ! Comment tout cela est-il envisageable pour 2026 ?
Parmi les spécialistes du bassin, WYBOT s’est taillé une réputation d’ingénieur obstiné : près de vingt ans à peaufiner des robots qui simplifient la corvée piscine. Après la vague des modèles sans fil — dont le S2 / S2 Solar, apprécié pour son rapport efficacité/prix et sa recharge assistée par le soleil — la marque vise plus haut. Place au WYBOT S3, pensé non pas comme “un robot de plus”, mais comme un système complet : cartographie 3D du bassin, vision IA pour cibler les zones sales, retour au quai, vidange automatique vers un bac à terre et recharge (avec assistance solaire).
Clairement, la marque n’y va pas de main morte pour débouler avec les gros sabots de l’ambition, puisqu’elle veut tendre vers un mois sans intervention entre deux vidanges de station, avec suivi en temps réel depuis le smartphone. En somme, WYBOT veut passer de l’autonomie de nettoyage à l’autonomie d’entretien. Voici les détails connus à ce jour.
jusqu’à 30 jours / 8 cycles avant de vider le bac de la station (selon salissures/usage)
Recharge solaire (gain)
jusqu’à ~1 h 30 d’autonomie par jour sous ensoleillement optimal
Débit
non communiqué
Prix annoncé (Europe)
< 2 500 €
Distinctions
Berlin Design Award 2025 (Silver Winner) et IFA Innovation Award Honoree 2025
Wybot S3 : déjà une nouvelle dimension ?
Jusqu’ici, les robots de piscine ont surtout gagné en liberté de mouvement : sans fil, plus endurants, parfois aidés par le solaire. Mais l’intendance restait la même : panier à vider, cycles à relancer, charge à surveiller. Le WYBOT S3 se positionne comme la rupture attendue par rapport à un S2/S2 Solar très convaincant mais encore “manuel” sur ces étapes.
L’idée n’est plus seulement de mieux nettoyer, mais de prendre en charge la routine : retour à quai, gestion des déchets à terre, suivi de ce qui a été fait et de ce qu’il reste à faire. Une logique de service au bord du bassin qui explique son positionnement plus premium et ses récompenses de salon.
Navigation : du hasard à l’intention
Sur une génération précédente, y compris très réussie (S2/S2 Solar), la trajectoire restait souvent une affaire d’heuristiques : on couvre, on recouvre, et l’on finit par tout faire. Le S3 change de logique. Il construit une carte 3D du bassin (capteurs inertiels + sonar) et planifie ses passages en fonction de cette carte, avec des ajustements à la volée quand l’environnement s’encombre. L’idée n’est plus d’additionner les allers-retours, mais de réduire le superflu pour concentrer le temps utile là où ça compte.
Autre bascule : la vision assistée par IA. Plutôt que de traiter chaque mètre carré comme s’il était identique, le S3 priorise les “hotspots” — zones plus chargées en débris — puis revient compléter la couverture. Ce parti pris “intelligent d’abord, systématique ensuite” est particulièrement intéressant sur des formes irrégulières ou des bassins avec recoins. À cela s’ajoute le suivi en temps réel : une visibilité qui manquait aux robots plus “muets” entre deux cycles. Sur le papier, la navigation passe ainsi du probable au pertinent — ce sera l’un des points à vérifier en test terrain.
Nota bene — Aiper s’y met aussi. Avec le Scuba V3, la marque promet un ciblage des zones les plus sales (vision + dToF, Dirt Hunting/AI Patrol). Le WYBOT S3 poursuit la même idée via cartographie 3D + IA. Reste à voir lequel maîtrise le mieux cet arbitrage en conditions réelles.
La station, cœur du système
Jusqu’ici, même les bons robots “sans fil” laissaient l’utilisateur gérer l’après-coup : sortir l’appareil, ouvrir le panier, rincer, remettre. Le WYBOT S3 déplace cette corvée à quai. En fin de cycle, il s’amarre tout seul, transfère les débris de son panier (≈ 3 L) vers un bac externe (≈ 10 L), puis enchaîne sur la recharge automatique — la station pouvant assister la charge au solaire quand l’ensoleillement s’y prête. Pour en avoir testé tout l’été, le projet nous semble quasiment irréaliste !
En effet, ce choix devrait changer complètement le rythme d’usage : on ne manipule plus le robot entre deux nettoyages, on gère un point fixe au bord du bassin, à une cadence (très !) espacée : jusqu’à un mois selon la charge de saletés et la programmation.
En outre, par rapport à la génération S2/S2 Solar, l’intégration se veut plus aboutie : le solaire ne sert plus seulement à prolonger l’autonomie, il s’inscrit dans un workflow d’entretien où la station devient un véritable hub.
Resteront à vérifier sur le terrain la régularité du transfert (feuilles lourdes, débris détrempés) et comment les mailles fines du panier seront entretenues sans passer un coup de jet d’eau à moyenne pression après chaque cycle.
Le S3 ne travaille plus en coulisses : il remonte sa progression en temps réel via le cloud, avec carte live, états et historique des cycles. Utile pour savoir ce qui a été fait… et ce qu’il reste à faire, sans attendre la fin du programme.
Autre atout : un contrôle ciblé depuis le smartphone. On désigne une zone, on ajuste une routine, et le robot s’adapte — une logique plus “service” que simple télécommande. En toile de fond, le WYBOT Intelligent Cleaning Management System orchestre les plannings automatiques et des mises à jour OTA apportent correctifs et nouveautés au fil du temps.
Énergie & autonomie : la promesse audacieuse du solaire !
Ici, l’endurance passe par le duo charge DC + assistance solaire intégrée à la station. En clair : la base assure la recharge classique quand c’est nécessaire et, les jours ensoleillés, grappille de l’énergie au fil de la journée pour prolonger les sessions suivantes — sans câbles à manipuler entre deux cycles. En conditions optimales, WYBOT annonce jusqu’à ~1 h 30 d’autonomie gagnée par jour grâce au panneau, la charge secteur prenant le relais quand la météo se gâte.
La promesse “jusqu’à un mois sans intervention” relève davantage de l’autonomie d’usage que de la seule batterie : elle dépendra de la taille du bassin, de la charge en débris, de la fréquence programmée et de l’ensoleillement réel. L’intérêt est clair néanmoins : lisser l’énergie au quotidien pour maintenir un rythme d’entretien régulier sans imposer de gestes supplémentaires.
Verdict Provisoire : attendez les tests !
Le WYBOT S3 ne cherche pas à battre des records de “force brute” : il déplace la barre ailleurs, sur la suppression des frictions. Associé à sa station, le robot bénéficie d’un workflow d’entretien qui enchaîne collecte, transfert à quai et recharge (assistée par le solaire), puis planification, avec en prime un suivi en temps réel et un ciblage précis. Sur le papier, c’est le premier package vraiment “mains libres” du marché.
Nous attendons la suite avec intérêt (et un brin de circonspection), notamment concernant l’ingénierie du transfert face aux débris lourds et gorgés d’eau (glands, feuilles détrempées) et l’efficacité du panneau solaire très dépendant de la latitude, de l’ombre et des saisons. Enfin, sans chiffres étalonnés — débit, finesse de filtration, vitesse — il reste délicat d’évaluer la veine d’aspiration pure au-delà de l’intention.
Et vous, que pensez-vous de cette évolution vers des piscines totalement autonomes ? Un rêve de confort ou une dépendance de plus à la technologie ? Partagez vos réflexions, vos expériences ou vos doutes en commentaire. Et si vous avez repéré une précision manquante ou une correction à apporter, dites-le-nous.
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