Depuis un demi-siècle, plusieurs théories prévoient l'existence de trous noirs minuscules, qui se seraient formés dans l'Univers primordial. Ces objets hypothétiques se retrouvent au cœur d'une autre quête : celle de la matière noire.

Les débris spatiaux pullulent au-dessus de nos têtes et sont nombreux à menacer les satellites. Des mesures prises depuis des décennies aident à limiter leur prolifération, mais il en reste toujours plusieurs extrêmement dangereux pour l'environnement de l'orbite basse.

Différentes sondes européennes envoyées dans l'espace vont se tourner vers un visiteur interstellaire. Ce 3 octobre 2025, alors que la comète 3I/ATLAS s'approche de Mars, les vaisseaux envoyés dans cette région pourront avoir la chance de la voir d'un peu plus près.

Les États-Unis entrent dans un nouveau « shutdown », séquence lors de laquelle des centaines de milliers de fonctionnaires se retrouvent à l'arrêt. Dans ce contexte, l'agence spatiale américaine (Nasa) est aussi touchée.

Un astéroïde est passé à moins de 300 km de la surface de la Terre le 1er octobre. Un événement rare et d'autant plus inquiétant qu'il n'a pu être repéré que quelques heures avant son arrivée.

Les théories cosmologiques évoquent l'existence d'une étoile qui se nourrirait de matière noire. Surnommé « étoile noire », cet astre hypothétique pourrait être tout de même repéré grâce aux technologies actuelles, et notamment au télescope spatial James Webb.

Des analyses du fond de l'océan Pacifique révèlent la présence d'une substance étrange. Il pourrait s'agir de débris issus d'une étoile, qui aurait éclaté en supernova il y a 10 millions d'années. Elle serait entrée en contact avec l'atmosphère terrestre.