Pour recréer les conditions énergétiques proches de celles qui régnaient au tout début de l'Univers, les physiciens s'équipent d'accélérateurs de particules de plus en plus puissants.
Le télescope spatial James Webb dévoile une époque où l'Univers, âgé de quelques centaines de millions d'années, brillait d'un éclat inattendu. Galaxies précoces, étoiles colossales, trous noirs surdimensionnés : les débuts du cosmos sont plus mouvementés qu'on ne le pensait.
En combinant l’astrométrie spatiale et l’imagerie extrême au sol, des astronomes ont réussi à capturer directement une planète géante et une naine brune jusque-là dissimulées dans l’éclat de leur étoile.
Depuis 30 ans, les astronomes cherchent à comprendre comment des planètes géantes ont pu s’installer sur des orbites aussi serrées. Une nouvelle approche permet enfin d’identifier celles qui ont migré en douceur, sans chaos gravitationnel.
Le télescope spatial James Webb a repéré un trou noir supermassif pas comme les autres : au lieu de rester bien sagement au centre d'une galaxie, il erre dans l'espace, seul. Autre mystère : il se déplace à une vitesse impressionnante.
Et si les biomolécules riches en soufre étaient apparues en même temps que la vie ? Une nouvelle étude réalisée par un consortium de chercheurs américains tente de répondre à ce paradoxe en démontrant que ces molécules génératrices d'acides aminés amorceraient l'émergence de la vie, remettant en cause l'origine biologique de ces molécules.
Notre Univers prendra-t-il fin un jour ? D’après les résultats d’une étude réalisée par un groupe de scientifiques, le Big Crunch, à savoir l’effondrement du cosmos, pourrait se produire dans quelques milliards d’années…