Catherine S. est ce que l’on appelle une consommatrice prudente. Toujours alerte sur les questions de santé publique, cette assistante d’assistante de direction a toujours mis sa santé et celle de sa famille au centre de ses préoccupations. Alors, quand l’idée audacieuse lui vient de manger une Pink Lady pour son dessert, Catherine applique mécaniquement un rituel bien rodé. « Si vous saviez toutes les saloperies qu’on retrouve sur les pommes, vous aussi vous feriez comme moi » explique-t-elle en ouvrant le robinet de sa cuisine pour y nettoyer les pesticides présents sur son fruit avec un mélange de microplastiques, de polluants éternels et de métaux lourds.
Un geste rassurant encouragé par le CNRS. « Les perturbateurs endocriniens et les atomes de plomb naturellement présents dans l’eau du robinet sont les ennemis naturels du Roundup et de l’acétamipride naturellement présents sur nos légumes » explique Barnabé Melck, directeur du pôle recherche, en nous montrant une image prise au microscope d’une molécule de glyphosate dévorée violemment par huit molécules voraces de bisphénol.
Depuis qu’elle a adopté ce réflexe tout simple, Catherine avoue se sentir soulagée et prête à affronter la journée avec sérénité et énergie. « C’est rassurant de savoir que le cancer que je vais attraper dans 10 ans sera 100% sain » explique-t-elle, apaisée, avant de retirer un par un les morceaux de rumsteck brûlés de sa poêle en Tefal.
L’article Elle est soulagée d’avoir lavé ses pesticides avec des polluants éternels est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
Et si votre prochaine lessive aidait à sauver les océans ? Le filtre Matter pourrait bien transformer chaque machine à laver en gardienne de la planète !
L’article Matter, un filtre de lave-linge qui bloque les microplastiques avant qu’ils atteignent les océans, rédigé par Méline Kleczinski, est apparu en premier sur NeozOne.
Et si la conquête spatiale actuelle, si fascinante soit-elle, perçait lentement la couche d’ozone qui nous protège depuis toujours ?
L’article Les lancements de fusées successifs creusent de nouveaux trous dans la couche d’ozone, rédigé par Nathalie Kleczinski, est apparu en premier sur NeozOne.
Encore et toujours, les lois des riches pour les riches. Et sinon, à force d'exemples, est-ce que j'arrive à convaincre qu'il faut que nous votions les lois nous-mêmes, systématiquement par référendum ? #LeRicEnToutMatière
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https://podcast.splann.org/@goliaths/episodes/timac-agro-saint-malo
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Le souci c'est l’accumulation sur la durée des pesticides et polluants dans tout ce qu'on mange, boit, respire.
Isolément c'est négligeable, additionné, partout tout le temps sur des décennies, ça devient autre chose.
Sans parler du danger des interactions entre polluants, qui commencent à être à peines connues.
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@Timo tu vois la quantité de rayonnement radioactif qu'on se mange pendant une radiographie est infime, il en faudrait des centaines pour en subir les effets. Donc c'est bon, on peut aller se faire radiographier tous les jours :D
Ah, on me dit dans l'oreillette que non, ce serait dangereux...
A force de défendre l'indéfendable avec des arguments de surface, tu perds en crédibilité mon ami. Fais attention, ça fait quelques temps que tu balances des trucs comme ça, comme si les polluants n'avaient qu'un effet immédiat, isolé et indépendant des uns des autres alors qu'au contraire leur dangerosité s'accumule.
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