Le contenu généré par l’IA a pénétré le milieu de travail de manières que nous n’avions jamais anticipées. Ce n’est plus seulement une question de vidéos de chats amusantes sur les réseaux sociaux ; cela impacte la qualité de notre travail—et les résultats sont préoccupants. Le terme « workslop », inventé par la Harvard Business […]
Ce weekend, j’ai découvert un truc complètement barré qui risque de vous faire repenser tout ce que vous savez sur le e-commerce. Ça s’appelle AnyCrap, et c’est littéralement une boutique en ligne qui vend… rien. Enfin si, elle vend des concepts de produits qui n’existent pas. Et c’est plus que brillant, vous allez voir !
L’idée est simple comme bonjour mais fallait y penser : Vous tapez n’importe quel nom de produit débile qui vous passe par la tête, genre des chaussettes téléportantes ou du café qui rend invisible, et le site vous génère instantanément une fiche produit complète avec description, caractéristiques et même des avis clients. Le tout propulsé par l’IA, évidemment.
Screenshot
Sur la page d’accueil, on vous promet de “trouver vos produits à travers les dimensions parallèles”. Marketing génial ou folie douce ? Les deux mon capitaine. Le slogan “Tomorrow’s products, available today (not actually available)” résume d’ailleurs parfaitement l’esprit de ce site… on est dans l’absurde assumé et ça fait du bien.
Ce qui me fascine, c’est que pendant que
le marché de l’IA dans l’e-commerce atteint 6,63 milliards de dollars
avec des assistants shopping ultra-sérieux, AnyCrap prend complètement le contre-pied. Au lieu d’optimiser les conversions et de tracker chaque pixel, ils ont créé un anti-marketplace où l’objectif n’est pas de vendre mais de faire rêver.
Cette anti-marketplace propose même des catégories comme “Weird Tech Stuff” et “Snacks From Outer Space” où chaque produit généré est unique, avec sa propre mythologie et ses caractéristiques loufoques. Techniquement, on est probablement sur un mix de ChatGPT pour les descriptions et peut-être DALL-E ou Midjourney pour les visuels et ce concept rejoint un peu d’ailleurs ce que propose
Writecream avec son générateur de reviews fictives
, sauf qu’ici c’est tout l’écosystème commercial qui est fictif.
La promesse de “livraison instantanée” de concepts m’a fait aussi marrer. En gros, vous commandez une idée et vous la recevez immédiatement dans votre cerveau. Zéro émission carbone, zéro déchet, 100% satisfaction garantie puisque vous n’avez rien acheté de tangible.
Dans un monde où on nous vend des NFT de singes à des millions et où le metaverse était censé révolutionner le shopping, AnyCrap a au moins le mérite d’être honnête sur sa proposition : on ne vous vend rien, mais on le fait avec classe.
Le site propose même une newsletter pour recevoir des produits fictifs chaque semaine. Maintenant, si on creuse un peu, AnyCrap pose surtout des questions intéressantes sur la nature même du commerce. Qu’est-ce qu’on achète vraiment quand on fait du shopping en ligne ? L’objet ou l’idée de l’objet ? Le produit ou la dopamine liée à l’acte d’achat ? En vendant littéralement du vent, AnyCrap révèle peut-être quelque chose de plus profond sur notre société de consommation…
Et pour les créatifs, c’est une mine d’or. Scénaristes en panne d’inspiration pour un objet magique ? Game designers cherchant des idées d’items ? Publicitaires voulant brainstormer sur des concepts produits ? AnyCrap devient un générateur d’idées déguisé en boutique.
Le plus beau dans tout ça c’est que le site accepte même les paiements (enfin, il y a un bouton pour soutenir le créateur). Donc techniquement, vous pouvez payer pour ne rien acheter…
Bref, c’est super fun ! Allez faire un tour sur
AnyCrap.shop
, inventez le produit le plus débile possible, et savourez l’absurdité. C’est gratuit, et ça va bien vous occuper en ce chouette lundi matin !
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Un ebook qui couvre l'usage de Fastify, Vite et Vue pour faire du SSR avec une philosophie différente de Nuxt. C'est assez complexe à mettre en place mais au moins chaque partie est expliquée, plutôt que de faire du "ça marche par magie".
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Il est également bien connu que toutes les simulations nécessitent beaucoup plus de calculs lorsque de nombreux objets sont proches les uns des autres que lorsqu'ils sont éloignés les uns des autres.
Certaines simulations dilatent même délibérément le temps (c'est-à-dire la vitesse de la simulation) pour tenir compte de ce phénomène :
Donc le temps est plus lent près des planètes parce que la simulation met plus de temps à traiter l'interaction de la matière ? 🤔
On dit souvent que la guerre du lag ne peut pas être gagnée parce que nos joueurs peuvent toujours apporter un vaisseau de plus. C'est fondamentalement vrai, et il est important d'accepter cette vérité dans le cadre du travail que nous effectuons ici, au sein de la Team Gridlock. En plus du travail d'optimisation que nous effectuons, nous nous attaquons également aux problèmes de dégradation, de sorte que lorsque le serveur est surchargé, la situation est gérée de manière raisonnable. C'est le sujet de ce blog aujourd'hui. Mais pour comprendre où nous allons, il faut d'abord savoir où nous sommes. Actuellement, lorsqu'un serveur est surchargé, il n'existe pas de mécanisme explicite pour gérer la situation. Les mêmes mécanismes que ceux qui régissent les opérations normales continuent de fonctionner à leur manière. Il en résulte des comportements intéressants, mais je dois définir certains termes avant d'aller plus loin.
Des Tasklets, des Schedulers et du Yielding
Les serveurs d'EVE Online existent fondamentalement pour exécuter un ensemble de tâches - qu'il s'agisse de répondre à un paquet entrant d'un client ou d'une tâche qui maintient l'état des modules ou, bien, presque tout. Ces tâches sont appelées tasklets pour des raisons que vous n'avez pas besoin de connaître aujourd'hui. Mais comme il s'agit ici d'un ordinateur, une seule tasklet peut être en cours d'exécution à un moment donné et un logiciel doit exister pour décider de quelle tasklet il s'agit. C'est ce qu'on appelle un planificateur.
Il existe de nombreux styles et saveurs d'ordonnanceurs. Celui qui fait fonctionner les tasklets d'EVE Online est assez simple : il s'agit d'un planificateur round-robin, multitâche coopératif. Le fait qu'il s'agisse d'un round-robin signifie simplement que chaque tasklet aura une chance de s'exécuter avant qu'une autre tasklet n'ait deux chances. Il n'y a pas de priorité ou de traitement spécial ici - c'est très équitable dans ce sens ; tout le monde a son tour. Le multitâche coopératif signifie qu'aucune tasklet ne sera interrompue de l'extérieur pendant son exécution. Une tasklet s'exécutera jusqu'à ce qu'elle soit terminée ou jusqu'à ce qu'elle exécute une routine spéciale qui signale au planificateur qu'elle aimerait laisser son tour à tous les autres. C'est ce qu'on appelle le "yielding".
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Un projet / série de vidéos de Maël Coutand pour tenter de lutter contre la montée du masculinisme, de la masculinité toxique, de toutes ces sornettes que l'on voit un peu partout (les types qui se coupent les cils cités plus haut par exemple).
> Maël Coutand le souligne, il ne souhaite pas dénoncer des personnes, mais un système : l’hétérosexualité. «C’est une construction sociale destinée à maintenir l’oppression des catégories minorisées, en premier lieu des femmes», pointe celui qui a «toujours été confronté à cette réalité» avant même de savoir qu’il était gay. (Permalink)
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