On a frôlé la catastrophe : une collision monumentale entre un satellite chinois et Starlink a été esquivée de justesse !


Un satellite du réseau Starlink a échappé de peu à une collision en orbite basse après le lancement récent d’un lanceur chinois. Selon SpaceX, l’un des engins déployés par une fusée Kinetica 1 de la société CAS Space s’est approché à seulement 200 mètres d’un satellite Starlink, à …
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Vous avez des LEGO qui traînent chez vous et vous cherchez un projet un peu original à faire avec ? Hé bien j’ai trouvé un truc sympa pour vous occuper ce week-end : Construire un QR code fonctionnel en briques LEGO.
Ça s’appelle Brick QR Code et c’est un générateur en ligne qui transforme n’importe quelle URL en instructions de montage LEGO. Vous entrez votre lien, le site génère le pattern, et hop vous avez tout ce qu’il faut pour construire un QR code scannable avec vos petites briques colorées.
Un QR code c’est juste une grille de carrés noirs et blancs, et ça tombe bien parce que les LEGO 1x1, c’est totalement ça. Le site vous donne les instructions étape par étape, un modèle 3D pour visualiser le truc, et surtout une liste de pièces compatible BrickLink pour commander exactement ce qu’il vous manque.
Pour que ça marche, il faut respecter quand même quelques règles de base. D’abord, la taille minimum d’un QR code c’est 21x21 studs, mais ça peut monter plus haut selon la longueur de votre URL. Ensuite, et c’est super important, il faut absolument une bordure blanche autour du code sinon votre téléphone n’arrivera pas à le scanner. C’est le piège classique dans lequel tout le monde tombe au début.
D’ailleurs, le fait que ça soit en LEGO ne pose aucun problème de lecture. Malgré la surface un peu irrégulière des briques avec les studs qui dépassent, les smartphones modernes scannent ça sans broncher. Y’a même des gens qui font ça depuis 2009 et qui confirment que ça fonctionne nickel.
Après, c’est surtout un projet fun à faire pour le délire. Vous pouvez coller ça sur la fenêtre de votre bureau pour impressionner vos collègues, l’offrir à quelqu’un avec un lien vers une playlist ou un message perso, ou juste le faire parce que c’est cool de construire un code qui marche vraiment. Et puis c’est quand même plus classe qu’un QR code imprimé sur du papier, non ?
Voilà, si vous voulez vous lancer, prévoyez une baseplate d’au moins 32x32 studs pour avoir de la marge avec la bordure, et assurez-vous d’avoir assez de pièces 1x1 dans deux couleurs bien contrastées. Le noir et blanc c’est le plus fiable, mais techniquement n’importe quel combo de couleurs avec un bon contraste devrait passer.
A découvrir ici : Brick QR Code

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Refaire le plein d'un satellite en orbite est un vieux projet porté par différentes agences spatiales, mais qui ne s'est jamais réellement concrétisé. Pourtant, malgré les difficultés techniques qu'il reste à dépasser, il se pourrait que cette capacité devienne un enjeu majeur, notamment pour les questions de défense.



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SpaceX ne vise pas seulement Mars, mais aussi Wall Street. Le géant du vol spatial préparerait une entrée en bourse pour le second semestre 2026. Avec une valorisation potentielle de 800 milliards de dollars, le groupe américain pourrait devenir l'une des entreprises les plus puissantes de la planète.

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SpaceX ne vise pas seulement Mars, mais aussi Wall Street. Le géant du vol spatial préparerait une entrée en bourse pour le second semestre 2026. Avec une valorisation potentielle de 800 milliards de dollars, le groupe américain pourrait devenir l'une des entreprises les plus puissantes de la planète.
Malgré le contexte de la guerre avec la Russie (ou peut être à cause de contexte), l’Ukraine franchit un cap technologique majeur en devenant le premier pays européen à activer le service Starlink « Direct to Cell ». Cette avancée va permettre à des millions d’Ukrainiens d’accéder à …
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Vous avez déjà vu quelqu’un polluer le ciel avec +10 000 satellites puis proposer d’en lancer des millions de plus pour sauver la planète ?
Bienvenue dans l’univers mental dérangé d’Elon Musk, où la solution à la pollution, c’est toujours plus de pollution… mais en mieux, évidemment !
Le 3 novembre dernier, Musk a balancé sur son réseau social de fachos, une idée qui ressemble à du Rick et Morty dans le texte : “Une large constellation de satellites alimentés à l’énergie solaire et dotés d’une IA serait capable d’endiguer le réchauffement climatique en ajustant légèrement la quantité d’énergie solaire atteignant la Terre”.
Hein ?
C’est une propal qui couterait des trillons de dollars, soit environ 200 ans de budget de la NASA et je vous rappelle quand même que c’est le même gars qui dirigeait le “Department of Government Efficiency” (DOGE) dont la mission était de traquer le moindre dollar de dépense publique inutile. Lol.
En plus, les satellites Starlink actuels posent déjà d’importants problèmes, en perturbant notamment les observations astronomiques. La V2 de ses satellites émet quand même 32 fois plus de radiations électromagnétiques que la V1, ce qui fout en l’air pas mal de radio-telescopes.
Et maintenant, son plan ce serait d’en ajouter des millions de plus ? Autant éteindre un incendie avec de l’essence.
Et puis est-ce que techniquement, ça fonctionnerait ?
Hé bien pour réduire le réchauffement climatique de manière significative, il faudrait bloquer environ 1 à 2% du rayonnement solaire qui atteint la Terre. Ça représente une surface de plusieurs millions de km² en orbite, positionnée au point de Lagrange L1 (à environ 2,36 millions de km de la Terre). Pour vous donner un point de comparaison, l’ensemble des satellites Starlink actuels ont une surface totale vraiment ridicule par rapport à ce qui serait nécessaire pour ce projet.
Et le temps de développement estimé par les spécialistes pour un tel projet serait d’environ 25 ans. En gros, 25 ans durant lesquels on pourrait continuer à cramer du charbon et du pétrole en se disant “c’est bon, on est sauvé, le bouclier spatial arrive”. J’ai comme un arrière-goût de Don’t Look Up dans la bouche…
Et puis il y a surtout ce problème du “termination shock”. Si le système tombe en panne, est saboté pendant une guerre, ou simplement arrêté pour maintenance, ça provoquerait une augmentation brutale et catastrophique des températures. Bref, on aurait créé une dépendance dont on ne pourrait plus se passer sans catastrophe majeure. C’est l’arme climatique parfaite déguisée en solution environnementale. Hé oui, le climat, ça ne marche pas vraiment comme un thermostat…
Et au fait, qui contrôlerait ce thermostat planétaire ?
Musk ? SpaceX ? Le gouvernement américain ? L’ONU ? Ils nous feraient payer combien pour avoir un peu plus de luminosité sur nos tomates ? Et si bloquer le soleil pour refroidir l’Europe provoque une sécheresse en Afrique, on fait quoi ?
On vote ? lol
Bah non… Car pour le moment, il n’existe aucun cadre légal international pour gérer ça. L’ Union of Concerned Scientists s’oppose même officiellement au déploiement de la géo-ingénierie solaire parce que ça pose des risques environnementaux, sociaux et géopolitiques inacceptables. L’agence environnementale allemande dit carrément que c’est “hautement risqué et ne représente pas une solution praticable à la crise climatique”.
Mais le pire, c’est que cette idée ne résout rien au problème de fond. Le CO2 continuera de s’accumuler dans l’atmosphère et l’acidification des océans continuera. Ce serait juste un pansement spatial sur un cancer planétaire.
Quand je pense que pour une fraction du coût de cette constellation de satellites, on pourrait décarboner complètement l’économie mondiale avec du renouvelable, du nucléaire, masse d’isolation des bâtiments…etc. En vrai, on a déjà des tas de solutions qui fonctionnent et qui sont moins chers, mais, bon, on préfère croire en des milliardaires qui se prennent pour des Dieux.
Voilà, une encore une belle idée de merde d’Elon Musk !
Ça buzze, et certains pourraient croire que c’est sérieux. Sauf que ça ne l’est pas. C’est techniquement délirant, économiquement absurde, écologiquement risqué, et politiquement ingérable !
Bref…

Le fabricant Addlink vient d'officialiser un nouveau SSD portable. Celui-ci porte le nom de P50. Et le moins que l'on puisse dire est qu'il est vraiment original.
The post Addlink dévoile un SSD portable à double connecteurs (USB A et USB C) first appeared on Bhmag.«La bande de fréquences analysée, située entre 2025 et 2110 MHz, est normalement réservée aux communications vers les satellites. Autrement dit, aucun signal ne devrait venir de l’espace dans cette plage. Scott Tilley a pourtant repéré un signal venu du ciel. Depuis, il aurait détecté des signaux en provenance de 170 satellites Starshield.»
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