Vue normale

Reçu hier — 12 août 2025

Une maladie qui rend allergique à la viande est en train de se répandre aux États-Unis

Une allergie presque inconnue en France est en train de se propager à une vitesse inquiétante aux États-Unis. Ce syndrome, appelé syndrome alpha-gal, déclenche une réaction allergique à un aliment que l’on consomme régulièrement : la viande.

Reçu avant avant-hier

Les Américains mangent moins d'aliments ultratransformés qu'avant, mais cela reste trop

Selon une étude récente des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), la consommation d'aliments ultra-transformés aux États-Unis a légèrement diminué, mais reste préoccupante. Ces aliments représentent encore 53 % des apports caloriques des adultes et 62 % chez les jeunes.

Dioxyde de titane: la justice européenne retoque le classement cancérogène, mais l’interdiction demeure pour les produits alimentaires

La justice européenne a confirmé vendredi l'annulation de la classification et de l'étiquetage cancérogène du dioxyde de titane, substance chimique utilisée notamment dans les peintures, les médicaments ou les jouets. Cette victoire des industriels du secteur se fait au détriment des travailleurs et des consommateurs, ont estimé des associations.

Frites et diabète : ce que montre une étude menée sur 200 000 Américains

6 août 2025 à 22:30
Trois portions de frites par semaine suffiraient à augmenter le risque de diabète de type 2, selon une vaste étude américaine publiée dans le British Medical Journal. Les chercheurs recommandent de diversifier les sources de féculents en privilégiant céréales complètes et légumineuses.

Années 1950 : des enfants piégés par un faux club scientifique ont été nourris à la radioactivité sans le savoir !

Dans les années 1950, des enfants américains ont été irradiés à leur insu pour une expérience scientifique déguisée en activité ludique. Ce n’est que dans les années 1990 que le scandale éclatera, faisant la Une de tous les journaux.

Cet été, bombardez vos plats d’aromates !

4 août 2025 à 08:12
Loading the Elevenlabs Text to Speech AudioNative Player…

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Aurions-nous la capacité de « sentir » par notre peau, notre foie ou nos intestins ?

Cette question peut paraître farfelue.

Mais des chercheurs ont fait une découverte étonnante.

Figurez-vous que nous avons des récepteurs olfactifs partout dans notre corps : sur la peau, dans notre foie, notre prostate ou nos intestins[1] !

C’est une nouvelle de taille, car on pensait qu’il n’y en avait que dans notre nez.

Comme leur nom l’indique, les récepteurs olfactifs servent d’abord à nous faire percevoir les odeurs, agréables ou repoussantes.

Mais les récepteurs olfactifs que l’on a trouvés dans le reste de notre corps jouent un rôle totalement différent.

Et vous allez voir, cette découverte ouvre la voie à une méthode révolutionnaire pour soigner… grâce aux odeurs et aux molécules aromatiques !

Constipation, intestin irritable : mangez-vous assez « odoriférant » ?

Commençons par l’intestin, le roi de tous nos organes.

Cela fait à peine 10 ans que l’on sait qu’il contient des récepteurs olfactifs.

Et il se trouve que ces récepteurs modulent la production de sérotonine dans l’intestin[2].

Pourquoi c’est intéressant ?

Parce que de nombreux problèmes de santé sont liés à un problème de sérotonine dans l’intestin : diarrhées, constipation, nausées, intestin irritable… et même diverticules et cancer du côlon !

Peut-être suffirait-il d’activer ces récepteurs olfactifs pour mieux agir sur ces problèmes ?

C’est exactement ce que les chercheurs ont essayé de faire, avec des molécules odorantes de thymol (thym), d’eugénol (clou de girofle) et de bourgeonal (muguet).

Et le résultat a dépassé leur espérance : grâce à ces odeurs, ils ont observé une multiplication par 10 de la production de sérotonine dans l’intestin !

Voilà qui confirme au minimum l’intérêt d’ajouter des épices et aromates à vos repas !

Mais ce qu’on a découvert tout récemment sur la peau est probablement encore plus spectaculaire.

Sauvez votre peau grâce aux odeurs

En 2014, une équipe de chercheurs allemands a cherché à activer les récepteurs olfactifs que nous avons sur la peau – car nous en avons sur la peau aussi[3] !

Pour cela, ils ont utilisé une odeur extraite du bois de santal, un arbre précieux de la médecine ayurvédique.

Eh bien quand les scientifiques ont appliqué leur extrait de santal sur des cellules de la peau, ils ont observé un phénomène remarquable : les forces d’auto-guérison de la peau se sont immédiatement activées !

Ils ont observé une hausse de la prolifération cellulaire de 32 % et une migration plus rapide des cellules de la peau de près de 50 %… deux phénomènes qui accélèrent la guérison des blessures !

Et vous savez à quoi ce petit miracle me fait penser ?

À ce qui est arrivé à René-Maurice Gattefossé, le fondateur de l’aromathérapie française.

L’histoire est célèbre : ce chimiste a été victime en 1910 d’une explosion dans son laboratoire, et s’est retrouvé gravement brûlé.

Atteint de gangrène, il n’a dû sa survie qu’à une idée lumineuse : appliquer de l’huile essentielle de lavande vraie sur ses plaies.

En quelques semaines, ses blessures étaient guéries, sa peau était réparée… et il a consacré la fin de sa vie à vanter la médecine par les huiles essentielles, qu’il a baptisé « aromathérapie » !

Je suis sûr que ce grand visionnaire aurait sauté de joie s’il avait su que, 100 ans plus tard, on découvrirait des récepteurs olfactifs sur la peau et partout dans notre corps.

Mais ce qu’il y a de vraiment révolutionnaire, c’est que ces récepteurs pourraient aussi aider à combattre le cancer !

Des molécules aromatiques contre le cancer ?

Cela fait quelques années que les chercheurs observent l’impact positif des huiles essentielles sur les cellules cancéreuses : dans une éprouvette, elles stoppent leur prolifération.

Mais on ne savait pas pourquoi, ni comment.

Désormais, on sait que ce petit miracle est dû au moins en partie… aux récepteurs olfactifs de nos cellules… et de nos cellules cancéreuses.

Ainsi, en 2015, une équipe menée par le Pr Hanns Hatt a appliqué du « citronellal » sur des cellules cancéreuses du foie[4].

Le citronnellal est une molécule aromatique qui appartient à la famille des « terpènes » et que l’on retrouve massivement dans l’huile essentielle de citron.

Très vite, le citronellal a activé le récepteur olfactif OR1A2, ce qui a conduit les cellules cancéreuses à s’arrêter de proliférer… et même à se « suicider » (on appelle cela l’apoptose) !

Et le même effet a été obtenu, avec le citronnellal, sur les cellules d’un autre cancer : la leucémie myéloïde chronique (LMC)[5].

Pour les chercheurs qui ont mené l’étude, c’est très prometteur : « Ce mécanisme offre de nouvelles options thérapeutiques pour le traitement de la leucémie myéloïde chronique » – un cancer jusqu’à présent incurable !

C’est d’autant plus remarquable que tous les cancers sont potentiellement concernés.

Déjà en 2009, on avait découvert qu’un récepteur olfactif de la prostate était activé par le beta-ionone, un composé chimique de la famille des terpènes, que l’on trouve dans beaucoup d’huiles essentielles, dont celle de la rose de Damas[6].

C’est bien le signe que les huiles essentielles pourraient être une arme très intéressante pour aider à combattre la plupart des cancers.

Mais cela nous rappelle aussi l’intérêt de manger des « molécules odorantes », tous les jours, comme les délicieux aromates de l’été !

Alors n’hésitez pas à abuser, dans vos plats et salades, de thym, ciboulette, basilic, cerfeuil, coriandre, persil, estragon, marjolaine, origan, sarriette, menthe, pour n’en citer que quelques-unes !

Profitez-bien de cette belle saison !

Bonne santé,

Xavier Bazin

Longévité exceptionnelle : le sang des « supercentenaires » révèle des différences cruciales

Le mystère de la longévité exceptionnelle fascine depuis des siècles. Qu'est-ce qui distingue les centenaires du reste de la population ? Une étude récente lève le voile sur les secrets cachés dans leur sang. Découvrez les différences biologiques qui pourraient être la clé d'une vie plus longue...

Des métaux lourds dans vos légumes bio

9 juillet 2025 à 04:30

Découvrez ma Lettre au format AUDIO 🎧

Nouveau : si vous préférez écouter ma lettre plutôt que de la lire, cliquez ci-dessous :

Loading the Elevenlabs Text to Speech AudioNative Player…

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Merci pour vos commentaires sur ma lettre sur les jus de légumes !

Je vous alertais notamment sur le risque de thallium et d’aluminium dans les légumes verts à feuilles.

Et vous avez été nombreux à me poser la même question :

« Les métaux lourds dans les crucifères, épinards et autres laitues concernent-ils aussi les légumes bio ? » (Sonya)

 « Votre article est très instructif ; pourquoi ne conseillez-vous pas les légumes (salades, choux etc) issus de l’agriculture biologique ? » (Docteur Segall)

« Cher monsieur, l’agriculture bio produit-elle des laitues sans aluminium ? » (Emma)

« Présence de thallium et d’aluminium dans les légumes verts : Question : est-ce valable également pour les produits certifiés biologiques ? » (Maria-Pina)

Grâce à ces questions, je constate qu’il y a un grand malentendu sur le bio :

Oui ! Je recommande chaudement de manger bio, autant que votre porte-monnaie vous le permet.

Oui ! Le bio est bien meilleur pour la santé que l’agriculture conventionnelle.

Mais NON ! Le bio n’est pas « magique » et n’échappe pas à certains polluants dangereux.

Et en plus, tous les « bio » ne se valent pas, loin de là.

Une évidence : moins de pesticides dans les produits BIO

Tout le monde le sait : l’agriculture biologique contient moins de pesticides chimiques que l’agriculture conventionnelle.

Je dis bien « moins de pesticides », et non pas « zéro pesticide », car il arrive qu’elle en contienne un peu.

C’est le cas, par exemple, lorsqu’un champ bio est à côté d’un champ non bio… et que les pesticides aspergés par le voisin s’envolent par-dessus la clôture.

Mais toutes les études sont formelles : vous avalez infiniment moins de pesticides avec du « bio » que du « non bio »1.

C’est là le principal intérêt du BIO pour la santé !

Car les pesticides chimiques employés dans l’agriculture intensive sont de dangereux perturbateurs endocriniens, soupçonnés de favoriser des maladies graves comme le cancer ou Parkinson.

Pour rappel, les fruits et légumes les plus gorgés de pesticides… ceux que vous avez vraiment intérêt à manger bio… sont les suivants :

  • La fraise (championne toutes catégories parmi les éponges à pesticides)
  • Les pommes
  • Les pêches et nectarines
  • Le céleri
  • Les raisins
  • Les cerises
  • Les épinards
  • Les tomates
  • Et les concombres

L’autre grand intérêt du « bio », pour les viandes, c’est qu’elles contiennent moins d’antibiotiques.

C’est un cercle vertueux : les animaux sont mieux traités, ont moins besoin d’antibiotiques et la viande est donc meilleure pour votre santé. 

(Méfiez-vous en revanche du « saumon bio » : les poissons sont un sujet assez compliqué, que j’ai analysé en détail dans une ancienne lettre.)

Et puis, dernier grand avantage du bio : les fruits et légumes bio sont plus riches en « bons nutriments » !

D’après une grande revue d’études de l’Université de Newcastle2, les produits bio ont une activité antioxydante de 17 % plus élevée, avec notamment :

  • 17 % de plus de caroténoïdes ;
  • 12 % de plus de xanthophylles ;
  • 6 % de plus de lutéine.

Notez aussi que le lait et les viandes bio contiennent davantage d’oméga 33.

Bref, voilà des raisons amplement suffisantes pour privilégier le bio.

Mais cela ne veut pas dire que le bio échappe à toutes les calamités de notre époque !

NON, le bio n’est pas une garantie « magique » d’échapper aux métaux lourds

Il faut bien comprendre ceci :

Le label « bio » vous garantit uniquement que l’agriculteur n’a pas employé de pesticides chimiques.

Mais il ne vous dit absolument rien de la qualité des sols !

Si le sol agricole est bourré de polluants dangereux… eh bien les fruits et légumes qui poussent sur ce sol seront contaminés, qu’ils soient bio ou non !

Et savez-vous quels légumes sont les plus sensibles aux métaux dangereux contenus dans les sols ?

Les légumes verts à feuilles, dont je vous parlais dans ma lettre sur les jus !

La raison est très simple à comprendre.

Prenez le « chou kale » (ou chou frisé). Cet aliment fait fureur aux Etats-Unis, car c’est un « super-aliment » gorgé de vitamines et minéraux.

Il contient notamment beaucoup de potassium, de magnésium, de calcium et de fer.

Ces minéraux, il les tire… du sol sur lequel il pousse !

Mais cette capacité extraordinaire à extraire les minéraux du sol est à double tranchant : elle explique pourquoi le chou kale est également riche en cuivre, en aluminium et en thallium !

Au total, cela reste un aliment excellent pour la santé, mais à consommer avec modération… et non pas 7 jours sur 7 dans un jus de légumes !

Et ce conseil est valable même si votre choux kale est biologique !

La seule chose qui compte, c’est la qualité du sol sur lequel il pousse !

Les sols « bio » sont-ils supérieurs aux sols « non bio » ?

Alors bien sûr, je sais ce que vous allez me dire…

Mais Xavier, les sols « bio » ne sont-ils pas meilleurs que les sols non bio ?

La réponse est… oui, un peu… mais pas beaucoup… et pas toujours.

Un peu, parce que les sols bio contiennent moins de cadmium, un métal lourd dangereux.

La raison est simple : un sol est d’autant plus riche en cadmium qu’il a été nourri d’engrais phosphatés (chimiques) au fil du temps.

Voilà pourquoi on retrouve nettement moins de cadmium dans les produits bio… et voilà encore un avantage à manger bio !

Mais l’avantage du bio s’arrête là.

La plus grande étude sur le sujet a trouvé autant de plomb et d’arsenic dans les fruits et légumes bio que dans les « non bio »4 !

Pourquoi ? Parce qu’il y a de multiples causes de la présence de métaux lourds dans les sols !

On sait que la pollution de l’air peut contaminer les sols… et bien sûr, cela touche autant les champ « bio » que les champs conventionnels.

Pendant des décennies, on a :

  • utilisé de la peinture au plomb qui s’est répandue dans les sols ;
  • incinéré des cadavres dont la mâchoire pouvait être pleine d’amalgames au mercure ;
  • extrait l’aluminium de la croûte terrestre pour l’utiliser dans tous nos équipements ;
  • et pollué l’atmosphère avec des usines à charbon, dont les rejets de plomb et de mercure finissent par pénétrer dans les sols.

Autant vous dire qu’il n’y a pas forcément une différence magistrale entre les sols bio et les autres.

Parfois, il n’y a même aucune différence.

C’est le cas pour les champs fraîchement reconvertis au bio… il y en a de plus en plus… c’est une excellente nouvelle… mais cela veut dire que les sols seront pendant quelques temps aussi dégradés par les engrais et pesticides chimiques que les sols conventionnels.

Guide de survie contre les métaux lourds : le cas du riz et du thé

Vous savez maintenant pourquoi vous devez éviter de manger des légumes verts à feuilles tous les jours, notamment dans un jus de légumes.

Vous savez aussi pourquoi il faut absolument varier vos fruits et légumes, notamment en fonction des saisons.

Je voudrais aussi ajouter un mot sur le riz et le thé, très touchés par les métaux.

Le riz concentre une quantité impressionnante d’arsenic.

Alors évitez d’en manger tous les jours, et privilégiez les riz basmati blanc ou semi-complet, qui contiennent moins d’arsenic que les riz complets.

Il y a aussi quelques astuces à connaître pour réduire votre risque d’exposition à l’arsenic. Lavez énergiquement le riz cru, puis faites-le tremper pendant 12 à 24 heures dans un grand volume d’eau. Jetez cette eau, puis cuisez votre riz dans une grande casserole d’eau bouillante.

Quant au thé, lui aussi a tendance à être contaminé car l’arbre à thé aspire fortement les minéraux et métaux du sol.

C’est ce qui fait qu’il contient plein de bonnes choses… mais cela explique aussi que beaucoup de thés du commerce sont chargés en fluor, en plomb, arsenic ou aluminium.

Voilà pourquoi je recommande de privilégier les thés bio « haut de gamme », plutôt que les premiers prix. Privilégiez aussi les thés du Japon, plutôt que ceux de Chine où la terre est généralement plus polluée.

Le plus important : restez ZEN !

Vous le voyez : manger sain aujourd’hui est beaucoup plus compliqué qu’à l’époque de nos grands-parents ou arrière-grands-parents.

C’est malheureux, mais il ne faut pas en faire une obsession pour autant.

Dans le monde actuel, on risque de devenir fou si on veut éviter le moindre polluant.

Oui, il faut améliorer son alimentation, oui, il faut éviter les erreurs nutritionnelles… mais il faut aussi vivre pleinement, sans oublier le plaisir de l’assiette !

Bonne santé,

Brets annonce la sortie de ses nouvelles chips “goût chips”

1 juillet 2025 à 12:00

Après avoir sorti des chips saveur Aligot, Yakitori ou encore Cheddar-Bière, Brets s’apprête à lancer une toute nouvelle saveur encore plus surprenante : “Chips”. Un nouveau goût déroutant qui vient s’ajouter à la riche collection de saveurs atypiques de la marque. “Après nos chips goût Pétrole, Intestin grêle et Ligne 13, nous avions vraiment l’impression d’avoir fait le tour. Et puis, c’est là qu’une idée complètement folle nous est venue : et si on sortait une gamme de chips qui aurait, accrochez-vous bien, le goût de chips ! ” exulte le PDG de Brets, Alain Glon, en postillonnant des miettes partout. 

Avant son lancement dans toutes les grandes surfaces courant Juillet, c’est un panel de petits chanceux qui a pu tester cette toute nouvelle saveur en exclusivité. Une expérience unique qui a emballé Louis G. 22 ans. “C’était incroyable. Ça avait comme un goût de pomme de terre, de sel et d’huile. Je ne sais pas ce qu’ils ont mis dedans mais en fermant les yeux, j’avais vraiment l’impression de manger des chips.” raconte-t-il pantois. Un avis dithyrambique qui apparaît pourtant plus mitigé pour Domitille V, une autre testeuse. “Des chips goût chips et puis quoi encore ? C’est quoi la prochaine étape ? Des frites à base de patate ?!” hurle-t-elle, furibonde. 

Un choix audacieux qui risque pourtant de ne pas satisfaire tout le monde, surtout après la polémique de mai dernier qui avait poussé la marque Brets à retirer des rayons en urgence sa toute nouvelle gamme de chips “Saveur Michel Houellebecq”.  

L’article Brets annonce la sortie de ses nouvelles chips “goût chips” est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.

Texas – Un condamné à mort inquiet que son dernier repas contienne du gluten

Djibril Korspek est certainement l’un des tueurs les plus sanguinaires du XXIème siècle. Condamné à la chaise électrique en 2016 pour avoir tué de sang froid plus de 58 personnes armé uniquement d’un chausse-pied et d’une tranche de blanc de dinde, c’est le 20 mars dernier que celui que la presse a surnommé “Le charcutier en Balenciaga” a pu déguster son tout dernier repas. Mais alors qu’il restait jusqu’ici imperturbable, Djibril a soudain montré des signes d’anxiété. “Au menu : palette de veau à la diable, pommes de terre à la crème et en dessert, un flan” raconte l’officier Harrington. “Mais après quelques bouchées, Djibril s’est soudain arrêté net. Il a commencé à dire que la palette de veau était pleine de sel et que c’était mauvais pour la santé. Il a également ajouté que la crème des pommes de terre était bourrée de lactose et que le flan contenait certainement du gluten” poursuit-il en levant les yeux au ciel. 

Djibril demande aussitôt à changer intégralement son repas en commandant au directeur de la prison une assiette de nouilles à l’eau. L’officier Harrington lui propose alors de rajouter un peu de sauce dedans mais Korspek refuse. “Merci mais je fais un peu attention en ce moment” explique-t-il gêné, avant de couper méticuleusement ses nouilles pour créer des petites portions. Même refus catégorique pour un steak haché premium provenant de la meilleure boucherie du Texas. “Je sais pas si vous êtes au courant mais la viande c’est cancérigène. Vous voulez ma mort ?” commente-t-il avant de demander à contrôler le nutriscore du paquet de nouilles en utilisant Yuka. 

Une posture que le condamné à mort tiendra jusqu’à la fin puisque une fois assis sur la chaise électrique, il refusera catégoriquement la dernière cigarette traditionnelle proposée par les officiers en indiquant qu’une cigarette c’était en moyenne “5 minutes de vie en moins”. 

L’article Texas – Un condamné à mort inquiet que son dernier repas contienne du gluten est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.

Santé : Un nutritionniste recommande de ne jamais manger à jeun

 Si vous avez l’habitude de scroller sur les réseaux sociaux, vous êtes certainement déjà tombé sur des vidéos de nutritionnistes expliquant qu’il ne fallait pas consommer de café ou de thé dès le réveil, avant le petit déjeuner. Mais l’Américain James Cohm lui, a une autre théorie : “Au réveil, vous pouvez boire tout ce que vous voulez, ça ne change rien. Par contre, il est totalement contre-productif de manger à jeun. Avant de manger quoi que ce soit, il faut absolument avoir déjà mangé quelque chose avant, sinon, cela peut créer des ballonnements, des troubles digestifs, et même tripler les risques d’AVC ”.

Selon ce nutritionniste, ne consommer aucun aliment lorsque l’on est à jeun, a de nombreuses vertus : “On ne mangeant rien à jeun, vous augmentez drastiquement vos chances de perdre du poids. Et surtout, en répétant cette opération plusieurs jours de suite, cela va libérer de la vitaline, l’hormone de l’instinct de survie qui vous permettra de vous dépasser. C’est utilisé par de nombreux start-uppers pour avoir des journées de 17h de travail, ultra productives.” Mais au-delà de ses bénéfices pour la santé, cette petite habitude a d’autres bienfaits : “L’autre avantage en ne mangeant jamais le ventre vide, c’est que vous allez aussi faire de très belles économies !”. 

Un livre bourré de bons conseils

Dans son dernier ouvrage : “Se vider la tête, en se vidant le corps”, le nutritionniste Américain prodigue d’autres précieux conseils : “Une des choses primordiales pour moi, c’est de ne jamais boire quelconque liquide entre 10h et 22h, et encore moins entre 22h et 10h ! Et évidemment, ceux qui disent qu’il faut faire du sport 3 ou 4 fois par semaine sont des charlatans ! Moi je vous conseille de faire du sport 3 ou 4 fois par demie journée !”. Une routine qui peut sembler un peu difficile à suivre au quotidien, mais dont les résultats sont réels d’après le nutritionniste : “Ceux qui suivent mes conseils à la lettre, vivent en moyenne 8 à 10 minutes de plus que la moyenne”. 

L’article Santé : Un nutritionniste recommande de ne jamais manger à jeun est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.

❌