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La centrale nucléaire fantôme de Zwentendorf, ou quand l'Autriche disait non à l'atome - rts.ch - Monde

20 décembre 2024 à 21:36

L'Autriche n'a jamais produit d'énergie nucléaire de toute son histoire. Cependant, non loin de Vienne, dans la petite commune de Zwentendorf, se dresse bel et bien une centrale nucléaire, nichée au bord du Danube. Mais elle n'a jamais servi. Le peuple autrichien a refusé par référendum sa mise en service en 1978.

Les centrales nucléaires sont plus que jamais au cœur de l’actualité en Suisse. La semaine passée, le producteur d'électricité Axpo annonçait la fermeture des deux réacteurs de Beznau pour 2032 et 2033.


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Loïc Dufresne | FTTH+

10 décembre 2024 à 20:45

Contexte

FTTH-FR est une société du canton de Fribourg qui a pour mission d’implémenter la fibre optique dans toutes les communes du territoire fribourgeois, autant en ville qu’en campagne. Elle est le fruit d’un partenariat entre l’État de Fribourg et les distributeurs d’électricité du canton. Avec le but, à long terme, d’amener la fibre optique dans toutes les maisons habitées du canton de Fribourg jusqu’au sommet du Moléson, FTTH-FR travaille intensément à cette réalisation de haut niveau, indispensable au développement économique et social de notre région. Ce projet a des coûts non négligeables, c’est pourquoi FTTH-FR a proposé ce projet de Bachelor à la haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg afin que nous trouvions des solutions et des alternatives afin de réduire ces coûts.


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Déploiement de la fibre optique en Suisse

10 décembre 2024 à 20:13

Déploiement de la fibre optique en Suisse

Pour permettre le développement des services et application proposés sur l'internet, la rapidité et la capacité du réseau doivent continuellement augmenter. La technologie actuelle ne suffira plus à long terme. Le déploiement de la fibre optique jusque dans les entreprises et dans les ménages doit permettre de relever le défi de la société de l'information de demain. Le terme "Fiber to the Home" (FTTH) désigne justement le réseau de télécommunication qui amène la fibre optique jusque dans les foyers ou les entreprises.


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Croissance économique

6 décembre 2024 à 16:50

"La performance économique nationale est mesurée grâce au produit intérieur brut (PIB) selon la valeur de production, soit le total de la valeur ajoutée dans les différentes branches de l'économie intérieure.

Dans les statistiques suisses, le PIB selon la valeur de production n'est relevé que depuis 1990. Pour les périodes antérieures, il existe des estimations de la valeur ajoutée brute agrégée depuis 1851, et par secteurs et branches depuis 1890. "

https://www.perplexity.ai/search/depuis-quand-le-produit-interi-lekdGRScQXKusJ31p3hwzA

Le produit intérieur brut (PIB) est utilisé comme indicateur économique en Suisse depuis les années 1990. Plus précisément :

  • Le PIB selon la valeur de production n'est relevé dans les statistiques suisses que depuis 1990.
  • Pour les périodes antérieures à 1990, il existe des estimations de la valeur ajoutée brute agrégée depuis 1851, et par secteurs et branches depuis 1890.

Avant l'adoption du PIB, d'autres indicateurs étaient utilisés pour mesurer l'activité économique en Suisse. Le passage au PIB comme indicateur principal s'inscrit dans une tendance internationale, les États-Unis ayant adopté le PIB comme indicateur privilégié en 1991, la plupart des autres pays suivant ensuite cet exemple.

Il est important de noter que bien que le PIB soit devenu l'indicateur dominant pour mesurer la production quantitative marchande en Suisse, son utilisation et son interprétation ont évolué au fil du temps. Aujourd'hui, le PIB est calculé selon différentes approches et prend en compte divers facteurs économiques pour donner une image plus complète de l'économie suisse.
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De mystérieux «hommes en noir» dans la gare de Berne - lematin.ch

21 novembre 2024 à 21:58
  1. novembre 2024

Interpellation politique?: De mystérieux «hommes en noir» dans la gare de Berne

Alors qu'il militait pour les enfants de Gaza, Samuel Crettenand a été arrêté par de mystérieux agents.
Eric Felley

Le moment où les trois «agents» en manteaux noirs (sur la droite) s'apprêtent à intervenir contre le militant.
DR

Le 7 octobre 2023, des terroristes du Hamas ont envahi une partie d'Israël pour y commettre des atrocités, qui ont causé la mort de plus de 1200 personnes. La réplique d'Israël sur la bande de Gaza a été terrible. Au fil des mois, ce sont plus de 41'000 palestiniens qui ont péri sous les bombes, dont plus de 16'000 enfants.

Le Neuchâtelois Samuel Crettenand s'est engagé très tôt pour attirer l'attention des médias sur le massacre des enfants. En décembre 2023, il a lancé une grève de la faim, tout en se baladant avec une pancarte qu'il actualisait chaque jour avec le décompte des victimes. Son action était simple: se tenir debout immobile dans des lieux publics ou des gares sans un mot avec son panneau.
Le 18 décembre 2023 en gare de Berne

Cet activisme pacifique lui a valu bien des ennuis. C'est surtout à Berne que les choses ont mal tourné, le 18 décembre 2023. Samuel Crettenand était en grève de la faim depuis une semaine. Vers 18 heures, il se tenait debout au pied de l'escalator au centre de la gare. «J'ai été contrôlé par des agents privés qui ont pris ma carte d'identité, que j'ai présentée et ils m'ont dit que j'étais exclu de la gare pour 48 heures, chose que j'ai refusée».

La suite dérape rapidement: «Je leur ai demandé très poliment de me rendre ma carte pour continuer mon action et comme il ne voulait pas me la rendre, je l'ai reprise sur la tablette que l’agente utilisait pour faire son rapport. Ils me sont tombés dessus pour me mettre à terre et me menotter».

«Arrête ton théâtre»

Ensuite, d'autres agents interviennent, dont trois hommes mystérieux en manteau noir, qui semblent sortis de nulle part: «J'ai expliqué que j'étais en grève de la faim depuis sept jours... Ils m'ont mis en cellule et là, j'ai fait un malaise. Quand je me suis réveillé, j'avais un policier qui me donnait des coups dans le sternum, j'étais semi-conscient, il m'a mis des coups dans les jambes, dans les cuisses, en me disant arrête ton théâtre, je continue à te faire mal si tu n’arrêtes pas..»»

Cela a duré jusqu'au moment où il a pu dire qu'il avait besoin d'une ambulance et il a été hospitalisé. «Là, la médecin dans l'ambulance a demandé ce qui s'était passé et la secouriste a dit que je m'étais battu avec la police parce que j'étais pour le Hamas. Pour moi, c'était clairement une interpellation politique».
Après deux minutes, le manifestant est mis hors d'état de nuire par les deux agents de Transsicura, les trois agents mystérieux et enfin deux agents de la police bernoise qui arrivent en renfort.

Samuel Crettenand a déposé plainte contre les agents. Avec son avocate, ils ont demandé tout de suite de protéger les preuves, c'est-à-dire les vidéos de la gare. La police leur a répondu dans un premier temps que les vidéos n'étaient plus disponibles. Ensuite le procureur du Ministère public de Berne leur a signifié le refus de la plainte sur la base des vidéos qu'ils avaient...

Ils ont fait recours et finalement les vidéos ont été versées tout récemment au dossier. La défense a enfin pu les visionner. On y voit Samuel Crettenand se tenir debout au pied de l'escalator, immobile avec sa pancarte. Surviennent deux agents de Transsicura, la sécurité privée des CFF, reconnaissables à leurs gilets fluo. Ceux-ci lui demandent de s'en aller, ce qu'il refuse. Entretemps, il leur a présenté sa carte d'identité qu'ils ont prise. Comme ils ne veulent pas la lui rendre, il tente de la reprendre et c'est là que ça dégénère, il se fait rapidement plaquer au sol.

Sept agents autour de lui

La scène prend alors une autre dimension. Descendant par l'escalator, trois hommes en manteau noir rejoignent la scène pour neutraliser l'homme à terre et le menotter. Même s'ils ne portent aucun signe distinctif des forces de l'ordre, de toute évidence, ils sont connus des autres forces de sécurité, dont la police de Berne qui vient en renfort. Finalement, en quelques minutes, notre militant pacifiste pro Gaza a été entouré par sept agents avant d'être mis en cellule.

Actuellement, la procédure d'enquête se poursuit pour l'agression dans le poste de police. Interrogé par le procureur du ministère public de Berne, un policier ayant participé à l'arrestation a refusé de répondre à la question de savoir quel genre de personnes étaient ces trois hommes en manteau noir, ces «men in black» comme les appelle Samuel Crettenand, qu'il soupçonne être des agents de nature «politique». La suite de l'enquête permettra peut-être de préciser qui ils sont, et pourquoi ils interviennent ainsi dans la gare.


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Horlogerie, ordre et anarchisme

18 novembre 2024 à 15:50
Il y a plus d'un siècle et demi, les travailleurs de l'industrie horlogère suisse contribuèrent à l'essor de l'anarchisme en tant que courant politique révolutionnaire. Organisés, rompus aux combats sociaux, conscients de la réalité économique mondiale et pionniers en matière d'entraide ouvrière, ils (...) / , , - 2023/06

Le schéma électrique suisse de niveau 6

6 novembre 2024 à 23:18

Le schéma 6 électrique suisse est un modèle standardisé utilisé en Suisse pour le raccordement électrique des bâtiments. Il est régi par les normes en vigueur et permet d’assurer la sécurité et la compatibilité des installations électriques dans le pays. Ce schéma définit notamment le branchement des différents circuits électriques comme l’éclairage, les prises de courant, les appareils électroménagers, etc.

Le schéma 6 électrique suisse se base sur un système de couleurs spécifiques pour identifier les différents fils électriques. Par exemple, le fil de phase est de couleur marron, le fil neutre est de couleur bleue et le fil de terre est de couleur verte et jaune. Cette codification permet de faciliter l’identification des câbles lors de l’installation ou lors d’interventions ultérieures


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Fedpol va utiliser la reconnaissance faciale en Suisse

25 octobre 2024 à 20:02

La police suisse va utiliser la reconnaissance faciale: va-t-elle trop loin?
Le projet s'appelle «Afis 2026». Il permettra à l'Office fédéral de la police de faire des recherches en utilisant la technologie de reconnaissance faciale. Une experte met en garde contre «une atteinte aux droits fondamentaux».

Plus d'un million d'images dans une base de données

Avec les moyens technologiques actuels, ces images de caméra de surveillance ne permettent pas à elles seules de faire avancer l'enquête. En effet, la photo ne peut pas être comparée à la base de données nationale de la police. Aujourd'hui, on ne peut y rechercher que des noms ou des empreintes digitales. Le logiciel ne propose en revanche pas de reconnaissance faciale.

Mais cela devrait changer prochainement. Le Conseil fédéral a approuvé un crédit de 25 millions de francs pour renouveler l'un des principaux systèmes de la police fédérale (Fedpol), prénommé «Système automatisé d'identification des empreintes digitales» (Afis). Le terme officiel est pourtant trompeur, car la base de données ne contient pas seulement les empreintes digitales, mais également un million d'images faciales de quelque 400 000 personnes.

Il s'agit des photos de tous les suspects qui ont récemment fait l'objet d'une identification judiciaire dans le cadre d'une procédure pénale. Ils apparaissent de face et de côté. Parfois, une troisième photo peut également être prise.

Pour les criminels, les photos sont conservées jusqu'à 30 ans. La base de données de la police contient également les photos de tous les demandeurs d'asile enregistrés, consultables pendant deux ans.

L'utilisation de la reconnaissance faciale

Avec le projet Afis 2026, Fedpol acquiert maintenant un logiciel qui lui permet de faire des recherches dans cette base de données en utilisant la technologie de reconnaissance faciale.
Les CFF accusés d'espionner les Suisses pour gagner de l'argent

Dans une vidéo Youtube, Fedpol explique comment la recherche devrait se dérouler à l'avenir dans le cas fictif du braquage (décrit en début d'article). La photo de la caméra de surveillance sera comparée par le logiciel avec la base de données Afis. Le système indiquera ensuite plusieurs résultats positifs. Une équipe d'experts de la police examinera alors la liste des suspects potentiels pour retrouver le bandit recherché.

Toujours selon Fedpol, d'autres crimes pourraient également être résolus par ce système comme le terrorisme, l'enlèvement ou l'abus de cartes de crédit.
La crainte d'une surveillance à outrance

D'un côté, Fedpol vante l'importance de la technologie pour la traque des criminels de demain. De l'autre, l'autorité policière souligne qu'elle n'utilisera ce potentiel technologique que de manière très limitée. En effet, le scandale provoqué par une prétendue technologie de reconnaissance faciale dans les gares CFF a mis en évidence les craintes liées à une surveillance à outrance, comme en Chine par exemple.

Les spécialistes des relations publiques de Fedpol tentent désormais de jouer avec les mots. Dans un communiqué de presse, ils affirment ainsi qu'ils n'introduisent pas de reconnaissance faciale, mais seulement une comparaison des visages.

Cela signifie que les photos ne sont comparées qu'avec la base de données de la police Afis, mais pas avec d'autres sources, par exemple la base de données des cartes d'identité et des passeports, les réseaux sociaux ou encore la surveillance en direct, comme les caméras en fonctionnement dans les aéroports ou aux postes frontières.

La comparaison des visages fonctionne également avec une technologie de reconnaissance faciale. Le visage est mesuré et représenté sous forme de grille de points de données. Il est donc faux d'affirmer qu'il ne s'agit pas de reconnaissance faciale. La vérité est qu'une comparaison de visages est une forme d'application de la reconnaissance faciale.
Revoir les bases légales

De plus, Fedpol affirme dans son communiqué que les systèmes de reconnaissance faciale sont de toute façon «interdits par la loi» en Suisse, ce qui n'est pas correct. Il n'y a pas réellement d'interdiction. Mais il manque les bases légales pour une utilisation plus large que celle prévue.

Interrogé à ce sujet, un porte-parole de Fedpol a reconnu que la formulation choisie n'était pas correcte. L'erreur de langage du service de communication révèlerait-elle la nervosité des autorités sur le sujet? Il y aurait de quoi. Car les bases légales du projet existent peut-être, mais elles sont minces. Il n'existe à ce sujet qu'une ordonnance du Conseil fédéral datant de 2013, ne donnant pas de directives claires.
Une «atteinte aux droits fondamentaux»

Monika Simmler est professeur de droit pénal à l'Université de Saint-Gall (HSG) et spécialisée dans la reconnaissance faciale. Elle considère les comparaisons faciales prévues comme étant une atteinte grave aux droits fondamentaux, puisque des données personnelles particulièrement sensibles seront traitées. Elle affirme:
«Une autorisation générale au niveau de l'ordonnance n'est pas suffisante pour cela. Les bases légales sont trop générales»

La professeure de droit demande une réglementation au niveau de la loi, notamment pour des raisons de politique démocratique. Les limites du système de reconnaissance faciale prévu devraient alors être clarifiées dans le cadre d'un débat politique et ne pourraient plus être simplement fixées par le Conseil fédéral seul.

La spécialiste salue toutefois aussi la communication de la Confédération. Car jusqu'à présent, il n'était pas clair si les cantons qui utilisaient déjà la technologie de reconnaissance faciale avaient légalement le droit de le faire. Cette question doit désormais être clarifiée.
«D'un point de vue juridique, il est réjouissant que le Conseil fédéral affirme clairement que tous les autres types d'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale par l'Etat n'ont pas de base légale et sont donc illégaux.»
Monika Simmler, professeur de droit pénal à l'Université de Saint-Gall et spécialisée dans la reconnaissance faciale

Cela coupe l'herbe sous le pied des polices cantonales qui l'utilisent déjà aujourd'hui, car l'utilisation n'est autorisée que par Fedpol.
D'autres pays vont beaucoup plus loin

Avec l'acquisition de logiciels, la Suisse introduit quelque chose que les pays voisins font déjà depuis longtemps. En Allemagne, en Autriche et en France, des systèmes similaires sont déjà en place.

Mais il y a aussi des pays démocratiques qui vont beaucoup plus loin. En Angleterre, des caméras sont utilisées pour effectuer une reconnaissance faciale en direct. Aux Etats-Unis, la police de nombreux Etats est autorisée à utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour comparer également les photos des suspects avec la base de données des permis de conduire et des cartes d'identité. Plus de 64 millions d'Américains sont concernés.

En revanche, s'il existe en Suisse une photo de surveillance de l'auteur d'un crime, la police s’estime chanceuse. De plus, elle ne peut progresser que si la personne recherchée est déjà connue de la police. Elle n'a pas le droit, comme le FBI, d'accéder à la base de données des documents d'identité contenant les photos d'identité des 8,7 millions d'habitants.
«Il faudrait pouvoir fouiller les réseaux»

La Conseillère nationale PLR en charge de la sécurité, Maja Riniker affirme:
«Personnellement, je pense que la police devrait pouvoir utiliser plus souvent la reconnaissance faciale. Les enquêteurs devraient également pouvoir fouiller les médias sociaux. Ceux qui ne sont pas d'accord ne doivent simplement pas télécharger de photos d'eux.»
Maja Riniker, Conseillère nationale PLR en charge de la sécurité

Dans les cas les plus graves, elle serait également favorable à ce que la police puisse utiliser, pour une durée limitée, des caméras de vidéosurveillance à reconnaissance faciale sur les lieux publics dans le cadre d'une recherche.

Cependant, elle part du principe que ces demandes ne sont actuellement pas susceptibles de réunir une majorité. «J'ai l'impression que la société est devenue plus critique envers l'Etat depuis les mesures du Covid-19», dit-elle. Le oui de justesse à la loi antiterroriste PMT a également montré que des mesures plus ambitieuses n'ont actuellement que peu de chances d'aboutir.
Des progrès technologiques

Avec les progrès technologiques, cela pourrait toutefois changer à l'avenir. Il y a dix ans, moins de 80% des photos de bonne qualité étaient correctement reconnues lors d'une comparaison faciale. Cela a suscité des critiques. En effet, dans les procédures pénales, une personne serait alors soupçonnée à tort dans un cas sur cinq. Aujourd'hui, le taux de réussite est de plus de 99%.

La reconnaissance des visages à la peau noire reste toutefois un problème. Ceux-ci sont identifiés de manière moins fiable que les visages de couleur blanche. En effet, plus la peau est foncée, plus le logiciel a de difficultés. Cela est principalement dû au fait qu'un ton de peau très foncé a le même effet qu'une photo sous-exposée: les contours sont moins reconnaissables. Les programmes doivent également être améliorés sur ce point.

Pour Fedpol, l'amélioration de cette technologie justifie son introduction prévue.


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Le nouveau lave-vaisselle V-Zug avec abonnement agace en Suisse

23 octobre 2024 à 07:54

J'espère qu'une telle aberration va agacer PARTOUT et pas seulement en Suisse !
Ça me rappelle BMW qui voulait faire payer un abo pour les sièges chauffants: ils étaient revenus en arrière plus ou moins un an après, car les clients n'étaient pas contents de payer à double (c'est fou ?!).


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Les glaciers suisses reprennent de l’ampleur après un hiver neigeux - Le Soir

5 octobre 2024 à 11:33

Par Belga
Publié le 23/06/2024 à 12:37

Les glaciers suisses très impactés par le changement climatique ont bénéficié d’importantes chutes de neige cet hiver marquant une amélioration de la situation par rapport aux années précédentes, a indiqué le responsable suisse des relevés glaciologiques.

« Au solstice d’été, l’état des glaciers suisses est meilleur que ces dernières années », a indiqué ce week-end Matthias Huss, qui dirige le réseau des relevés glaciologiques suisse (Glamos), sur le réseau social X.

« Mais est-ce que cela suffira pour que les glaciers progressent ?? Probablement pas ! Mais les pertes seront limitées », a-t-il écrit, soulignant toutefois qu’un été frais pourrait également bénéficier aux glaciers.

Début juin, M. Huss avait souligné sur X que la météo avait été cette année une « bénédiction » pour les glaciers suisses.

Glamos avait fait état d’un enneigement nettement supérieur à la moyenne sur les glaciers de toutes les régions de Suisse, « avec des épaisseurs de neige moyennes de 3 à 6 mètres », dans un rapport publié fin mai.

Selon les relevés de Glamos réalisés sur 14 glaciers suisses, extrapolés à l’ensemble des 1.400 glaciers du pays alpin, il y avait fin avril environ 31 % de neige en plus que la moyenne des années 2010 à 2020.

Les glaciers suisses ont fondu autant au cours des années 2022 et 2023 qu’entre 1960 et 1990, sous l’effet de conditions météorologiques extrêmes exacerbées par le dérèglement climatique. Après la perte record de 6 % en 2022, ils avaient encore fondu de 4 % cent en 2023.


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Quel est le coût annuel pour une voiture? : r/suisse

3 octobre 2024 à 09:15

J'ai choisi la voie la moins chère. J'ai acheté une prius il y a 5 ans pour 7200 chf (166'000 km à l'époque). Cela m'a coûté environ 8'000 CHF par an pour faire 40'000km. A cela s'ajoute 2'400 chf pour le parking. J'étais dans le canton de Vaud, les taxes sont très basses, 120 chf par an et elles ont été réduites en 2024 à 37 chf (quelle blague). L'assurance est de 600 chf par an, je payais 350 chf pour une assurance très limitée, je paye plus maintenant pour une plus grande couverture. J'ai été très malchanceux et j'ai eu 3 pare-brise cassés en 6 mois, rien avant et rien après haha. J'ai eu un impact dans un pare-brise tout neuf 4 jours après la réparation, wtf j'en suis encore furieux. La voiture est à 340'000 maintenant, la seule réparation a été un roulement de roue et un capteur de pression d'huile (1'000 pour les réparations depuis que je l'ai achetée, le propriétaire précédent n'a jamais eu de problèmes). Je fais une révision tous les 30 000 à 60 000 km. Le garage où je vais est cher (temps de travail élevé) mais ils sont dignes de confiance et bons.

Si vous ne conduisez pas beaucoup et que le stationnement est bon marché, ce type de voiture est vraiment bon marché, mes parents en ont une de 2007 et mon frère en a une de 2012, ils roulent moins de 10'000 km par an, le coût de possession est vraiment bas.


J’ai une Mercedes GLA 2014 acheté à bon prix il y a 6 ans. Assurance - 900 Maintenance - Environ 500 compris changement pneus - selon où tu comptes rouler, je te conseille des pneus 4 saisons et comme ça tu ne dépenseras 250chf à changer les pneus 2 fois chaque année. Juste si tu comptes pas aller en montagne. Parking - 230 per mois Impôts - environ 450 par année MFK - 60 par année


J'ai acheté ma première voiture il y a quelques mois, d'occasion pour 3000frs avec 140'000km, et j'ai parcouru 8000km sur les 4 mois environ.

Au total à ce jour (prix d'achat voiture+essence+vignette+parking+plaques+expertise+réparations diverses+assurance) j'ai dépensé ~5300frs, en sachant que j'ai fait des réparations moi-même donc j'ai économisé des frais de mécano. En moyenne ça me revient à 65ct/km, j'aurai bientôt besoin de racheter un jeu de pneus donc a planifier la dépense supplémentaire a court terme au moins.


La citadine la moins chère du marché te coute 350chf par mois, SANS COMPTER L'ACHAT ET SANS ROULER. A ça il faut ajouter le prix d'achat et l'essence.


Coût annuel d’une voiture en Suisse

En Suisse, les frais de voiture s’élèvent à environ 10 000 francs par an. Comparis vous indique les éléments à prendre en compte en matière de coûts.

https://fr.comparis.ch/carfinder/autofahren/auto-kosten

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