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Premier smartphone pour son adolescent : nos conseils pour bien l’accompagner (et se rassurer) [Sponso]

25 septembre 2025 à 05:31

Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender

Délivrer à son adolescent son premier smartphone est un cap important. Pour s’assurer qu’il en fera bon usage, quelques précautions s’imposent. En voici les principales.

Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender

Il s’agit d’un contenu créé par des rédacteurs indépendants au sein de l’entité Humanoid xp. L’équipe éditoriale de Numerama n’a pas participé à sa création. Nous nous engageons auprès de nos lecteurs pour que ces contenus soient intéressants, qualitatifs et correspondent à leurs intérêts.

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Des logiciels malveillants ciblent les Mac en se faisant passer pour des gestionnaires de mots de passe populaires

24 septembre 2025 à 14:00
Des logiciels malveillants ciblent les Mac en se faisant passer pour des gestionnaires de mots de passe populaires
Les utilisateurs de Mac sont actuellement ciblés par un logiciel malveillant qui se fait passer pour des gestionnaires de mots de passe connus, exposant leurs données sensibles. Des conseils pratiques permettent néanmoins de renforcer la sécurité face à cette menace croissante.

Un scanner pour lutter contre l'attaque Shai-Hulud

Par :Korben
24 septembre 2025 à 08:14

Romain, fidèle lecteur de korben.info a développé un scanner pour détecter l’attaque Shai-Hulud qui a secoué l’écosystème npm dernièrement ! L’occasion parfaite pour moi de vous raconter cette histoire complètement dingue.

Vous vous souvenez de CrowdStrike ? Cette entreprise de cybersécurité qui a provoqué la plus grande panne informatique mondiale en juillet 2024 avec une mise à jour défaillante ? Celle qui a cloué au sol des milliers d’avions et fait planter des millions de PC Windows ? Eh bien figurez-vous qu’en septembre 2025, des packages npm mis à disposition par CrowdStrike ont été touchés. Et si Crowdstrike n’a pas été directement piraté, ces packages publics (qui n’étaient pas utilisés dans leurs solutions de sécurité, ni en interne chez eux) utilisaient ces dépendances qui ont été compromises par l’attaque.

C’est ce qu’on appelle une supply chain attack et l’attaque Shai-Hulud (oui, comme le ver des sables dans Dune) n’est pas juste un malware de plus. C’est le premier ver informatique qui s’est propagé de manière autonome dans l’écosystème npm, infectant des centaines de paquets en quelques heures.

Le ver utilise TruffleHog, un outil de sécurité normalement conçu pour DÉTECTER les secrets dans le code, c’est à dire les tokens GitHub, npm, AWS et GCP.

Puis quand il trouve des credentials valides, le ver fait les trois choses suivantes : D’abord, il crée un dépôt GitHub public nommé “Shai-Hulud” où il balance toutes les données volées. Ensuite, il pousse une GitHub Action malicieuse dans tous les repos accessibles pour exfiltrer encore plus de secrets. Et le pompon c’est que parfois, il transforme même les repos privés d’entreprise en repos publics personnels. J’vous laisse imaginer la tête du RSSI qui découvre que tout le code proprio de sa boîte est accessible à tout le monde sur GitHub…

Et quand le ver trouve des tokens npm dans son environnement, il publie automatiquement des versions infectées de tous les paquets auxquels il a accès. C’est d’ailleurs la première fois qu’on voit ce comportement de ver auto-répliquant dans l’écosystème JavaScript. Par exemple, le paquet @ctrl/tinycolor, téléchargé 2 millions de fois par semaine, a été l’un des premiers touchés.

Face à ce bordel monumental, Romain a donc développé npm-shai-hulud-scanner , un outil qui détecte non seulement les paquets connus comme compromis, mais aussi les tentatives de typosquatting et les patterns de code malicieux. Il utilise notamment la distance de Levenshtein pour identifier les variations suspectes de noms de paquets (du genre lodash vs lodash_ ou react vs raect).

Quand vous le lancez, le scanner de Romain vérifie d’abord si vous avez des paquets de la liste des 500+ compromis. Ensuite il analyse votre code à la recherche de patterns suspects : tentatives d’exfiltration de credentials, exécution de code à distance, obfuscation, communications réseau louches. Il peut même tourner en mode monitoring continu pour surveiller votre CI/CD. Et cerise sur le gâteau, il peut mettre en quarantaine les paquets suspects automatiquement. C’est top non ?

Shai-Hulud est l’un des attaques les plus sévères jamais vue sur la supply chain JavaScript et si même CrowdStrike se fait avoir, je me dit que personne n’est à l’abri. Donc soyez hyper vigilants et utilisez des outils de contrôle comme celui de Romain !

On ne sait jamais !

Vous vous souvenez de NotPetya ?

Par :Korben
18 septembre 2025 à 06:41

Comment ça NotPetya ???

Mais siiiii, cette saloperie de malware qui a paralysé la planète en 2017 et qui s’est révélée être en fait un programme destructeur déguisé en ransomware. Eh bien, tenez-vous bien : selon les équipes d’ESET , un petit nouveau vient d’arriver sur la scène, et il s’appelle HybridPetya. Et ce petit gars a appris des nouveaux tours que son grand-père NotPetya ne maîtrisait pas à l’époque.

Martin Smolár, le chercheur d’ESET qui a découvert cette petite merveille, explique que HybridPetya combine le pire des deux mondes : les capacités destructrices de NotPetya ET la récupération possible des données de Petya. Mais surtout, et c’est là que ça devient technique, ce truc est capable de contourner Secure Boot sur les systèmes UEFI.

Pour ceux qui auraient oublié l’enfer de 2017, je vous fais un petit rappel historique. Petya, c’était le ransomware “gentil” qui chiffrait vos données mais vous permettait théoriquement de les récupérer si vous payiez la rançon. NotPetya, son cousin maléfique, c’était le faux ransomware qui détruisait tout sur son passage. Cette saloperie a causé plus de 10 milliards de dollars de dégâts dans le monde, principalement en Ukraine où elle a été initialement déployée via une mise à jour piégée du logiciel de comptabilité M.E.Doc.

Maintenant, là où HybridPetya innove, c’est qu’il récupère le meilleur (ou le pire, selon le point de vue) des deux. Il peut détruire comme NotPetya, mais aussi permettre la récupération des données comme Petya. Une sorte de ransomware à géométrie variable, quoi.

Sauf que ce n’est pas le plus inquiétant…

Le truc vraiment flippant avec HybridPetya, c’est sa capacité à s’installer directement dans le firmware UEFI de votre machine. Pour les non-initiés, UEFI c’est le système qui s’occupe du démarrage de votre ordinateur, avant même que Windows ne se réveille. En gros, si un malware réussit à s’installer là-dedans, il survit à tout : formatage du disque dur, réinstallation complète du système, et même changement de disque dur. C’est un niveau persistance maximale.

Alors, comment il fait ça, ce HybridPetya ? Eh bien, il utilise deux méthodes d’attaque. La première, c’est l’installation directe de charges utiles malveillantes sur la partition système EFI. Une fois là-dedans, il chiffre la Master File Table (MFT) de votre système NTFS, ce qui rend tous vos fichiers complètement inaccessibles. Et surtout, il sait exploiter la vulnérabilité CVE-2024-7344 pour contourner Secure Boot.

Cette faille, découverte également par les équipes d’ESET, se trouve dans l’application Howyar Reloader UEFI. En gros, cette application, qui est normalement signée par Microsoft et donc considérée comme fiable, contient une vulnérabilité qui permet de charger du code non-signé pendant le processus de démarrage. C’est comme si vous donniez les clés de votre maison à quelqu’un en lui disant “tu peux faire rentrer qui tu veux, je te fais confiance”.

Après pas de panique les amis, car il faut préciser que pour l’instant, HybridPetya n’a été repéré que sur VirusTotal, la plateforme d’analyse de malwares. Aucune autre infection dans la nature n’a été détectée par les télémétries d’ESET. Il s’agit donc probablement d’un proof-of-concept développé par un chercheur en sécurité ou un groupe de hackers pour démontrer que c’était possible. Mais le fait que ça existe, ça veut surtout dire que d’autres peuvent s’en inspirer.

Toutefois, HybridPetya rejoint désormais un club très fermé car il est maintenant le quatrième malware connu capable de contourner UEFI Secure Boot, après BlackLotus (qui exploite CVE-2022-21894 ), Bootkitty (qui cible Linux), et le PoC Hyper-V Backdoor. Comme le souligne Martin Smolár : “Cela montre que les contournements de Secure Boot ne sont pas seulement possibles… ils deviennent plus courants et attractifs pour les chercheurs comme pour les attaquants”.

BlackLotus, pour rappel, c’était déjà du lourd. Découvert en 2023 , ce malware était vendu 5 000 dollars sur le dark web et était capable de tourner sur des systèmes Windows 11 entièrement à jour avec Secure Boot activé. Il pouvait désactiver BitLocker, HVCI, et Windows Defender, et installer des pilotes malveillants au niveau kernel. Du grand art, dans le mauvais sens du terme.

Maintenant concrètement, comment on se protège contre ce genre de menaces ? Parce que bon, c’est bien beau de faire peur aux gens, mais il faut aussi donner les solutions.

Et bien première chose, maintenez vos systèmes à jour. Microsoft a corrigé la vulnérabilité CVE-2024-7344 dans le Patch Tuesday de janvier 2025 donc si vous avez appliqué cette mise à jour ou une version ultérieure, vous êtes protégés contre HybridPetya. C’est la base, mais c’est crucial.

Deuxième chose, activez et configurez correctement UEFI Secure Boot. Même si des contournements existent, Secure Boot reste une barrière importante. Assurez-vous qu’il soit activé et que vos listes de révocation soient à jour. Microsoft révoque régulièrement les certificats compromis, et ces révocations sont normalement appliquées automatiquement sur Windows.

Troisième conseil, surveillez votre partition système EFI. Selon les recommandations de CISA , les équipes de sécurité devraient être capables d’auditer, gérer et mettre à jour les composants UEFI, et surveiller les logs d’activité UEFI pour détecter toute modification suspecte. Utilisez des solutions de sécurité capables de détecter les modifications au niveau UEFI… Certains antivirus modernes incluent des fonctionnalités de protection du firmware. Ce n’est pas infaillible, mais ça ajoute une couche de protection. En gros, il faut traiter ce firmware comme n’importe quel autre logiciel avec une surveillance et des mises à jour régulières.

Quatrième point, et c’est important, limitez les privilèges administrateur. Pour déployer HybridPetya, il faut des droits d’administrateur local sur Windows ou root sur Linux pour accéder à la partition système EFI. Moins il y a d’utilisateurs avec ces privilèges, mieux c’est.

Et puis, il y a les bonnes pratiques classiques qui restent valables telles que les sauvegardes régulières (et déconnectées !), la formation des utilisateurs, de la surveillance réseau, et une restriction des droits d’accès. Parce qu’au final, même le malware le plus sophistiqué a besoin d’un vecteur d’infection initial.

Quoiqu’il en soit, ces bootkits UEFI représentent une escalade significative dans la sophistication des malwares car ils opèrent à un niveau si bas qu’ils sont extrêmement difficiles à détecter et à supprimer pour les solutions de sécurité traditionnelles.

C’est intéressant également de noter que HybridPetya ne semble pas avoir les capacités de propagation réseau agressives du NotPetya original. Rappelez-vous, NotPetya utilisait l’exploit EternalBlue (développé initialement par la NSA) pour se propager de machine en machine sur les réseaux et c’est cette capacité de ver informatique qui avait permis à NotPetya de causer autant de dégâts en si peu de temps.

De son côté HybridPetya semble plus axé sur la persistance que sur la propagation massive. C’est probablement un choix tactique car plutôt que de faire du bruit et d’alerter tout le monde, mieux vaut s’installer discrètement et durablement sur les systèmes ciblés.

Depuis quelques années, les groupes APT (Advanced Persistent Threat) privilégient de plus en plus la furtivité et la persistance plutôt que l’impact immédiat visible, car un malware qui survit silencieusement pendant des mois ou des années peut collecter bien plus d’informations sensibles qu’un ransomware qui chiffre tout en quelques heures.

Bref, gardez vos systèmes à jour, surveillez vos logs, et surtout, ne sous-estimez jamais l’ingéniosité des types qui passent leurs journées à trouver des moyens créatifs de péter vos systèmes….

Des cybercriminels propagent des applications frauduleuses via Google : attention aux logiciels malveillants !

17 septembre 2025 à 15:00
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Des pirates informatiques profitent des résultats de recherche Google pour diffuser de fausses applications contenant des logiciels malveillants. Cette méthode trompeuse vise à infecter les appareils des internautes peu vigilants lors du téléchargement d’applications en ligne.

Meta et ses utilisateurs dans le viseur des cybercriminels

17 septembre 2025 à 14:00
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De faux avertissements de suspension de compte Meta circulent actuellement sur internet, exploitant la crainte des utilisateurs pour propager un nouveau malware. Cette campagne vise à tromper les internautes et compromettre la sécurité de leurs appareils et données personnelles.

L’atout original de Free mVPN n’est pas celui que vous croyez

16 septembre 2025 à 11:42

Free phishing scam filtre

Le VPN intégré de Free dans ses offres mobiles a été vu comme une solution permettant de contourner la vérification de l'âge à l'entrée des sites pornographiques. Mais il n'y a pas que ça à relever.

Malware XWorm : Emergence d’une nouvelle variante

29 juillet 2025 à 10:22

En septembre 2024, le Threat Labs de Netskope a publié un rapport sur le malware XWorm et sa chaîne d’infection, dévoilant alors de nouvelles instructions de commande et de contrôle (C2) et analysant ses fonctionnalités notables. Communiqué – Après près d’un an de suivi de ce malware, les chercheurs de Netskope ont découvert une nouvelle version (version […]

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Rust et les malwares - Quand la sécurité devient une arme à double tranchant

Par :Korben
2 juillet 2025 à 11:24

Vous connaissez Rust, ce langage de programmation dont tout le monde dit le plus grand bien ? Mais si, c’est celui qui est censé révolutionner la sécurité informatique grâce à sa gestion ultra-safe de la mémoire ?

Bah figurez-vous que les pirates informatiques l’ont aussi compris, et ils s’en servent maintenant pour créer des malwares encore plus vicieux…

Quand Mozilla a pondu Rust y’a quelques années, l’idée était géniale : créer un langage qui éliminerait enfin tous ces bugs de corruption mémoire qui pourrissent la vie des développeurs depuis des décennies. Fini les buffer overflows, les use-after-free et autres joyeusetés qui permettent aux pirates de prendre le contrôle de nos systèmes. En théorie, c’était parfait…

Comment faire croire à votre VM qu'elle a un ventilateur CPU afin de tromper les malwares ?

Par :Korben
1 juillet 2025 à 08:38

Un développeur du nom de Petr Beneš vient de partager une technique absolument brillante pour faire croire à une machine virtuelle qu’elle a un ventilateur CPU. Oui, un ventilo virtuel dans une VM.

Mais pourquoi diable faire ça, vous allez me dire ?

Eh bien figurez-vous que les créateurs de malwares sont devenus super malins ces dernières années. Pour éviter que leurs petites saloperies soient analysées par les chercheurs en sécurité, ils ont développé tout un tas de techniques pour détecter si leur code s’exécute dans une machine virtuelle.

Fake AI Assistant DeepSeek-R1 Spreads Malware To Steal User Data

25 juin 2025 à 17:53
A new cybersecurity threat has emerged, where a fake AI assistant named DeepSeek-R1 is being used to distribute malware and steal user data. Discovered by researchers at Kaspersky, this malicious software impersonates a legitimate Chinese large language model (LLM) called DeepSeek, a known AI tool that operates offline.The fraudulent campaign is primarily spread through fake websites and paid Google ads. When users click on the links, they are redirected to […]

Amatera Stealer, une version améliorée d’ACR Stealer

20 juin 2025 à 09:26

Les chercheurs de l’entreprise de cybersécurité Proofpoint ont publié une nouvelle analyse détaillée du logiciel malveillant Amatera Stealer, une version « as-a-service » du malware (MaaS) ACR Stealer. Threat Research Proofpoint. Cette dernière variante identifiée et renommée par Proofpoint introduit de nouvelles fonctionnalités dont des mécanismes de livraison sophistiqués, des défenses anti-analyse et une structure de […]

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Dnstwist - Pour détecter les typo squatteurs de votre nom de domaine

Par :Korben
18 juin 2025 à 09:04

Neo dans Matrix avait le choix entre pilule rouge et bleue et nous, c’est entre fermer les yeux sur les domaines qui s’inspire des nôtres pour nous voler du trafic, ou ouvrir dnstwist et voir jusqu’où va le terrier du lapin.

Après avoir testé plusieurs scanners anti-phishing qui promettent monts et merveilles, j’étais sceptique, mais dnstwist fait partie des rares qui tiennent leurs promesses. J’ai lancé un scan sur korben.info pour voir ce que ça donnait, et là… 434 permutations générées, 19 domaines déjà enregistrés ce qui est pas mal pour un site qui existe depuis des temps immémoriaux ^^.

Jackpotting, l’attaque invisible qui met les distributeurs à nu

Un retrait sans carte, une machine qui se vide dans le silence, la cybercriminalité ne cesse d’explorer les angles morts de la technologie bancaire. Le jackpotting, longtemps relégué aux démonstrations de hackers lors de salons spécialisés, s’est métamorphosé en pratique globale et silencieuse, frappant les banques au moment où elles s’y attendent le moins. Il […]
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