Vue normale

Reçu hier — 24 septembre 2025

La Nasa envisage un plan fou : faire exploser l’astéroïde le plus menaçant de ces dernières décennies !

L’astéroïde « destructeur de ville » 2024 YR4. Il a d’abord menacé la Terre. Maintenant, les chercheurs s’inquiètent pour les conséquences d'un impact sur notre Lune. Et ils préparent un plan jamais encore mis en oeuvre pour éloigner définitivement le danger.

Reçu avant avant-hier

REPORTAGE. Le futur du nucléaire au cœur des laboratoires sécurisés de l'AIEA

22 septembre 2025 à 12:38
On la connaît surtout sous son surnom de "gendarme du nucléaire". L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) est une organisation de l’ONU dédiée à la non-prolifération de l’arme atomique. Mais en parallèle, l’AIEA mène aussi des recherches scientifiques. Elle nous a ouvert exceptionnellement ses portes.

La très haute altitude, nouvel échiquier de la dissuasion (interview)

Aujourd'hui, la Très haute altitude (THA), s'étendant entre 18 et 100 kilomètres, émerge comme un nouveau terrain de confrontation pour les grandes puissances. Dans une interview exclusive accordée à Futura, Brian Kalafatian explore l'importance croissante de cette zone de transition entre...

Zapad 2025 : quelles sont les armes montrées par la Russie et les messages cachés derrière ?

L’exercice militaire Zapad 2025, que mènent actuellement les Russes et les Biélorusses, est particulièrement scruté par les observateurs militaires. En pleine guerre en Ukraine, la Russie montre ses muscles à proximité immédiate des pays de l’Union européenne. Missiles, hypersoniques,...

Quand la plus grande centrale nucléaire de France est paralysée par un animal de 60 cm

4 septembre 2025 à 06:00
Une centrale nucléaire et une méduse.

Le réchauffement climatique n’apporte pas que des canicules : il offre aussi aux méduses le pouvoir de stopper la plus puissante centrale nucléaire d’Europe.

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Eté 1945 : Hiroshima et Nagasaki ou la stratégie américaine de faire la guerre tout en prônant la paix, par Michael Lucken – Libération

18 août 2025 à 07:38
Hiroshima, c’était il y a 80 ans. Il reste quelques survivants. Bientôt, il ne restera que des photos. Et c'est terrible, car les images diffusées depuis ce meurtre de masse américain ont contribué à véhiculer l'image d'une mort "technologique", "scientifique", presque "propre" :
> ni les Japonais ni les Américains n’avaient intérêt à l’époque à diffuser des photographies de femmes et d’enfants calcinés. Les premiers parce qu’ils voulaient que le peuple garde le moral et continue de se battre tant que la guerre n’était pas terminée ; les seconds parce qu’ils n’avaient bien sûr aucune envie d’exposer au regard du monde les horreurs qu’ils avaient commises. C’est ce qui explique que non seulement il ne reste en tout et pour tout que quelques dizaines de clichés figurant des cadavres dans les deux villes irradiées, mais encore qu’ils n’ont jamais été mis en avant dans les reportages et les expositions.

Une bombe nucléaire, ça vaut pas mieux qu'une attaque chimique, et pour les victimes de l'épicentre proprement volatilisées, il y en a des milliers d'autres qui ont souffert mille morts :
> Les récits et les dessins qu’ils ont produits, souvent des décennies plus tard, offrent une tout autre vision des événements. Ce qui en ressort inlassablement, ce sont les descriptions de la souffrance et de la mort : les gémissements des grands brûlés, la puanteur émanant des corps putréfiés dans la chaleur du mois d’août, la détresse de ceux qui cherchaient des proches dans les décombres. La mort nucléaire n’y est plus cet instant ineffable où tout disparaît, où les corps s’évaporent, cette mort qui terrifie l’âme, mais qui semble également nette, moderne et scientifique. Les dessins des survivants remettent de la couleur, du sang et des larmes dans notre imagination et amènent à comprendre que les gens ont péri de mille morts à Hiroshima et Nagasaki : brûlés par le premier flash, transpercés par les débris charriés par le souffle, écrasés sous les bâtiments, asphyxiés dans les incendies, et que beaucoup ont lutté des jours voire des semaines avant de succomber. Sans parler de tous ceux qui, dans les mois et années qui ont suivi, ont développé des pathologies mortelles liées à l’exposition aux radiations nucléaires.
(Permalink)

Eté 1945 : Hiroshima et Nagasaki ou la stratégie américaine de faire la guerre tout en prônant la paix, par Michael Lucken – Libération

18 août 2025 à 07:38
Hiroshima, c’était il y a 80 ans. Il reste quelques survivants. Bientôt, il ne restera que des photos. Et c'est terrible, car les images diffusées depuis ce meurtre de masse américain ont contribué à véhiculer l'image d'une mort "technologique", "scientifique", presque "propre" :
> ni les Japonais ni les Américains n’avaient intérêt à l’époque à diffuser des photographies de femmes et d’enfants calcinés. Les premiers parce qu’ils voulaient que le peuple garde le moral et continue de se battre tant que la guerre n’était pas terminée ; les seconds parce qu’ils n’avaient bien sûr aucune envie d’exposer au regard du monde les horreurs qu’ils avaient commises. C’est ce qui explique que non seulement il ne reste en tout et pour tout que quelques dizaines de clichés figurant des cadavres dans les deux villes irradiées, mais encore qu’ils n’ont jamais été mis en avant dans les reportages et les expositions.

Une bombe nucléaire, ça vaut pas mieux qu'une attaque chimique, et pour les victimes de l'épicentre proprement volatilisées, il y en a des milliers d'autres qui ont souffert mille morts :
> Les récits et les dessins qu’ils ont produits, souvent des décennies plus tard, offrent une tout autre vision des événements. Ce qui en ressort inlassablement, ce sont les descriptions de la souffrance et de la mort : les gémissements des grands brûlés, la puanteur émanant des corps putréfiés dans la chaleur du mois d’août, la détresse de ceux qui cherchaient des proches dans les décombres. La mort nucléaire n’y est plus cet instant ineffable où tout disparaît, où les corps s’évaporent, cette mort qui terrifie l’âme, mais qui semble également nette, moderne et scientifique. Les dessins des survivants remettent de la couleur, du sang et des larmes dans notre imagination et amènent à comprendre que les gens ont péri de mille morts à Hiroshima et Nagasaki : brûlés par le premier flash, transpercés par les débris charriés par le souffle, écrasés sous les bâtiments, asphyxiés dans les incendies, et que beaucoup ont lutté des jours voire des semaines avant de succomber. Sans parler de tous ceux qui, dans les mois et années qui ont suivi, ont développé des pathologies mortelles liées à l’exposition aux radiations nucléaires.
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L’hiver nucléaire menacerait de détruire l’essentiel de la production alimentaire mondiale

10 août 2025 à 17:26

Des chercheurs américains révèlent l’ampleur catastrophique qu’aurait un conflit nucléaire sur l’agriculture planétaire. Leurs simulations démontrent qu’un scénario d’hiver nucléaire pourrait réduire drastiquement les récoltes mondiales, compromettant la survie de milliards d’individus. Cette recherche inédite quantifie précisément les dommages agricoles selon différentes intensités de guerre, tout en proposant des stratégies d’adaptation pour atténuer ces impacts dévastateurs. ... Lire plus

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