États-Unis : près de 200 responsables religieux anti-LGBTQ+ accusés d’abus sur mineurs depuis le début de l’année - Association STOP homophobie
(Permalink)
Adieu “Pape Léon XIV” et bonjour “Lil Paps”. C’est vêtu d’un manteau de fourrure et de plusieurs chapelets en or que le souverain pontife est apparu cette semaine au balcon de la Basilique St Pierre pour la messe dominicale. Après avoir troqué le traditionnel signe de croix contre un dab, c’est la voix entièrement autotunée que “Lil Paps” a aussitôt entamé son homélie en latin, rapidement rejoint par Big Ali scandant d’une voix forte “Lil Paps ! Big Ali ! Let’s goooo !” pendant 50 minutes.
“Le Saint Père a toujours eu à cœur de rendre le christianisme moderne et dynamique” nous explique le cardinal Philippe, occupé à teindre les cheveux du Pape en mauve avant de lui faire une crête. “Voilà pourquoi nous avons eu l’idée de dépoussiérer son nom afin de l’inscrire enfin totalement dans le 21eme siècle” poursuit-il, en dévoilant quelques noms non-retenus parmi lesquels “Dope Pope”, “MC Messi” ou encore “Snoop God”.
Un changement radical qui ne s’arrête pas là puisque d’autres modernisations ont également été annoncées parmi lesquelles l’ajout de jantes alus et de phares xénon sur la Papamobile afin de paraître “plus sport”, le remplacement du signe de croix par le signe de JUL, sans oublier la possibilité pour les amateurs de jeux vidéo d’incarner prochainement le Saint Père dans le plus célèbre des Battle Royale : Fortnite.
Crédits : SOPAImages via GettyImages.
L’article Pour rajeunir son image, le Pape Léon XIV se fait rebaptiser “Lil Paps” est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
C’est vêtu d’un capuchon couleur rouille, d’une armure couverte de miasmes et d’une nuée de mouches que celui que l’on appelle “La grande Pestilence”, “le bubon de Satan” ou encore “Le 3ème Cavalier” a accepté de se confier sur son parcours à visage découvert. À peine entré dans nos locaux, la quasi-totalité de nos journalistes s’effondrent sur la moquette alors que la célèbre entité décide de garer sa monture entre le baby-foot et la fontaine à eau. “Tout doux Rose des Prés” l’entend-on prononcer à voix basse, avant de se retourner d’un coup sec dans notre direction. “Vous avez entendu ? Je vous préviens, ça ne sort pas d’ici !” s’exclame-t-il visiblement stressé avant de vomir 80 000 sauterelles en direction de la compta.
Quand on lui demande pourquoi tant de mystère sur le nom de sa monture, Pestilence se gratte la joue, visiblement gêné. “Désolé mais j’ai une image à tenir. Vous imaginez si on découvrait que mon cheval s’appelle “Rose des prés” ? Comment voudriez-vous que je reste crédible auprès de mes collègues “Guerre”, “Mort” et “Famine”, ou même le reste du monde ? ” explique-t-il. “La dernière fois que j’ai ramené un Yop à la fraise et des noix de cajou pour mon en-cas du midi, ils m’ont traité de lopette. Je ne veux pas revivre ça” poursuit-il, avant de sortir un crayon Titi de sa poche et d’écrire “Ne pas oublier de racheter des calissons“ dans son agenda Diddle.
Après plus de deux heures à échanger sur sa vie et sa longue carrière, Pestilence nous montre un vieil album photo qu’il sort d’une sacoche en peau humaine. “Tout le monde croit que je n’ai qu’une seule monture mais en fait j’en ai quatre !” nous confie-t-il avec fierté en nous montrant la photo de 3 Poneys Shetland répondant aux noms de “Frimousse”, “Cannelle” et “Bilboquet”. Une confidence unique qu’il nous fait promettre de ne dévoiler à personne avant de repartir à cheval sur “Rose des Prés” pour aller se prendre un latte spéculoos au café “Le p’tit bout d’chou”.
L’article Un Cavalier de l’Apocalypse espère que personne ne découvrira que son cheval s’appelle “Rose des Prés” est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
Theresa McCoy, 82 ans, est devenue mercredi dernier la 73eme miraculée de Lourdes. Atteinte d’une sclérose en plaques depuis 2004, cette ancienne danseuse étoile avait perdu progressivement l’usage de ses deux jambes jusqu’à devenir totalement paralysée en 2011. Mais alors qu’on l’immergeait dans la source de Lourdes, Theresa s’est aussitôt mise à ressentir d’intenses picotements dans tout son corps. “C’était comme si tout mon être était enveloppé d’une grande chaleur. C’était merveilleux.” raconte-t-elle, la voix tremblante. Un moment suspendu pendant lequel tous les pèlerins ont soudain aperçu Theresa se lever miraculeusement de son fauteuil, avant de regarder autour d’elle, éberluée, puis de se ruer vers un Uber en hurlant “À la gare !”.
Du côté de l’Église, ce double miracle fait d’ores et déjà parler de lui. “On avait déjà vu des aveugles retrouver la vue, des sourds retrouver l’ouïe, mais c’est la première fois que Dieu permet à une impotente de retrouver à la fois ses jambes et la civilisation” commente le Cardinal André Billaud, des étoiles plein les yeux. Un prodige historique qu’Ernest Bonin, spécialiste de Lourdes, souhaite toutefois nuancer. “C’est sûr, un miracle c’est toujours impressionnant même si bon… entrer dans l’eau anonyme et en ressortir célèbre, le Petit Grégory l’avait déjà fait il y a plus de 30 ans.”
Un véritable conte de fées pour Theresa McCoy qui, depuis son retour sur la capitale, a enchaîné les plateaux TV pour raconter son histoire. Un rythme effréné qui a poussé la miraculée à finalement décliner toutes les propositions pour rester confortablement dans son salon car, comme elle le dit elle-même : “au final, on est quand même mieux assis que debout”.
L’article Miracle – Après avoir retrouvé l’usage de ses jambes, elle peut enfin quitter la ville de Lourdes est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
Il est 7h15 du matin (GMT) ce lundi 15 septembre lorsqu’une gigantesque traînée lumineuse apparaît sur les radars de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). Pensant d’abord à une météorite, l’équipe du professeur Kowalski tombe des nues en découvrant à la place du supposé fragment de roche, un homme d’une trentaine d’années, barbe hirsute et toge immaculée, fendant le ciel à la vitesse de l’éclair, un sourire bienveillant sur le visage. Un moment suspendu et plein d’allégresse qui s’interrompt brutalement, l’Individu Volant Non Identifié se crashant à plus de 400 km/h au beau milieu de l’océan Atlantique, à 230 km de Tenerife.
Déployés en urgence autour de la zone du crash, les gardes-côtes espagnols font deux constatations glaçantes. La première : l’eau de mer a intégralement disparu pour laisser place à du pinot noir bon marché sur un rayon de 22 km. La deuxième, encore plus surprenante : aucun corps n’a été découvert sur le site, en amont ou vers le large. “Nous avons observé au télescope des trous de 6 pouces dans les pieds et les mains de l’individu. C’est sûr que ça ne doit pas être très pratique pour nager le crawl” analyse le professeur Kowalski, la tête dans les mains, visiblement troublé.
Placée sous surveillance prolongée par l’armée espagnole, française et britannique, la zone du crash baptisée “Nazareef” pourrait, selon plusieurs spécialistes, voir l’individu remonter d’ici 3 jours. En attendant, le coin a également été renommé “Le creuset de Saint-Pierre” par les pêcheurs locaux après que le nombre de dorades ramenées à terre depuis l’incident a été miraculeusement multiplié par 12.
L’article Ayant mal calculé la rotation de la Terre, Jésus revient dans l’océan Atlantique est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
Je partage 100% le point de vue de @Sebsauvage. Ces actes sont des mutilations et tous devraient être réservés aux adultes consentants, volontaires et jugés libre dans ce choix, c'est-à-dire hors de toute emprise psychologique.
Après... Analogie avec la transition sexuelle dans 3... 2... 1... 🤯🥳
— Liens directs