Vue normale

Reçu — 1 décembre 2025

L’engouement pour les robots humanoïdes inquiète officiellement Pékin

30 novembre 2025 à 19:26

La frénésie mondiale autour des robots humanoïdes pourrait-elle nuire à l’économie chinoise ? Le gouvernement de Pékin semble le penser. Jeudi dernier, la Commission nationale du développement et de la réforme (NDRC), organe central de planification économique chinois sans équivalent occidental, a publié une déclaration inhabituelle concernant la prolifération de robots humanoïdes dans le pays. ... Lire plus

L'article L’engouement pour les robots humanoïdes inquiète officiellement Pékin est apparu en premier sur Fredzone.
Reçu — 27 novembre 2025

Test du moniteur portable Arzopa Z3FC : nomade jusqu’à un certain point…

27 novembre 2025 à 18:15
Test Arzopa Z3FC

Un moniteur portable de 16,1 pouces, affichant une définition QHD de 2 560 x 1 440 pixels et un taux de rafraîchissement jusqu’à 180 Hz. Cet écran gaming qui se veut nomade est-il vraiment intéressant à l’usage derrière la communication du fabricant ? On a testé ! 

Pensé d’abord pour le jeu, l’Arzopa Z3FC se positionne comme un deuxième écran mobile pour PC portable ou MacBook, mais aussi comme un affichage d’appoint pour consoles et machines nomades. L’Arzopa Z3FC vise ainsi trois publics : les joueurs en déplacement, les télétravailleurs ou créateurs de contenu qui ont besoin d’un second écran, enfin les possesseurs de Steam Deck, Switch ou PS5 en quête d’un moniteur dédié, nettement plus fluide qu’un modèle portable traditionnel.

Boîte Arzopa
Si vous aussi, vous avez envie de lire « Azorpa », c’est normal…

Mais l’intérêt d’un écran dépend grandement des standards de son utilisateur. Praticité, caractéristiques, qualité d’image, utilisation en gaming : nous allons éprouver les promesses séduisantes de la marque afin de vous éviter les mauvaises surprises d’un achat impulsif !

Caractéristique TechniquesArzopa Z3FC
Dimensions9,9 × 33,0 × 20,3 cm
Poids780 g
Diagonale d’écran16,1″
Format16:9
Résolution native2 560 × 1 440 pixels (QHD / 2,5K)
Technologie de dalleIPS (IPS-LED / LCD)
Surface d’écranmate / anti-reflets
Taux de rafraîchissement maximalvia USB-C : 180 Hz
via HDMI : jusqu’à 144 Hz (HDMI 2.0, mini-HDMI)
Adaptive Syncoui, compatible AMD FreeSync
Temps de réponse annoncé9 ms (gris-à-gris)
Luminosité400 nits max (~300 nits en moyenne)
Contraste1 000:1
Gamut100 % sRGB
Nombre de couleurs16,7 millions
Température de couleur (par défaut)6 800 K
Angles de visionH 85°/85° min, V 85°/85° min
Puissance d’alimentation recommandée≥ 18 W
CompatibilitéPC Windows, macOS, MacBook, iPad Pro (USB-C), PS5, Xbox, Nintendo Switch Steam Deck
Prix359,99€

Contenu de la boîte : des câbles et une housse

  • 1 moniteur portable ARZOPA Z3FC 16,1″ 180 Hz
  • 1 housse / sleeve bag 16,1″
  • 2 câbles USB-C vers USB-C
  • 1 câble mini HDMI vers HDM
  • 1 guide utilisateur

On ne va pas se mentir,le guide utilisateur est surtout là pour la déco – il est très sommaire et comporte des erreurs. En revanche, le fait d’avoir d’emblée une sleeve bag correcte est appréciable. Elle ne protègera pas beaucoup des chocs, car elle est relativement fine, mais c’est sécurisant pour éviter les rayures. En outre, elle comporte des poches pour les câbles.

Boîte Arzopa ouverte
Sous l’écran et la pochette, trois câbles et une notice.

Comme l’écran ne possède pas de batterie intégrée, aucun chargeur secteur n’est fourni. Pourtant, Arzopa recommande une alimentation d’au moins 5 V / 3 A via USB-C pour éviter les clignotements, redémarrages intempestifs ou la baisse de luminosité. Concrètement, il faudra donc compter sur le chargeur USB-C de votre ordinateur portable, de votre smartphone récent ou en acheter un dédié si vous n’en avez pas sous la main : c’est le principal “coût caché” du produit. 

Composant écran Arzopa
Les câbles mesurent 1 m : une longueur plutôt permissive !

Enfin, il n’y a ni support additionnel ni étui-chevalet façon cover magnétique : tout repose sur le pied intégré, ce qui simplifie l’ensemble mais laisse moins de marge si vous aimez multiplier les angles ou surélever l’écran.

Design et ergonomie : sobriété et simplicité

L’Arzopa Z3FC est doté d’un châssis fin en plastique rigide à la finition gris sombre, des lignes très rectilignes et des bords d’écran relativement contenus sur trois côtés. Avec 0,39″ d’épaisseur (environ 1 cm) pour environ 780 g sur la balance, le Z3FC est clairement pensé pour voyager : son encombrement est proche de celui d’un laptop 15–16 pouces, mais en nettement plus fin et léger, ce qui permet de le glisser facilement dans un sac à dos ou une sacoche à côté de l’ordinateur. 

écran Arzopa vu de dos
Arzopa a prévu de petits patins sous l’écran.

Le pied intégré à l’arrière (kickstand) se déploie en un geste et offre plusieurs angles d’inclinaison, suffisamment stables pour une utilisation sur un bureau, une table basse ou une tablette de train. Sur la tranche latérale, on retrouve enfin les boutons physiques : quatre commandes permettent d’allumer l’écran et de naviguer dans l’OSD (luminosité, modes d’image, volume, etc.), une approche classique qui reste efficace une fois qu’on a pris ses marques.

écran Arzopa ports
Trois ports : bonne idée pour l’alimentation.
écran Arzopa boutons
Les 4 boutons sont regroupés

L’ensemble est propre, sans fioritures, mais avec une impression de produit bien assemblé.

Connexion et installation : pas si nomade que ça !

Avec l’Arzopa Z3FC, la mise en route peut être extrêmement simple… à condition de savoir ce que vos ports savent faire. Dans le meilleur des cas, avec un PC portable ou un MacBook récent, vous profitez du fameux “un seul câble” : si votre port USB-C gère à la fois la vidéo (DisplayPort Alt Mode) et l’alimentation (Power Delivery), un simple câble USB-C vers USB-C suffit pour allumer l’écran et envoyer l’image. Vous branchez, le moniteur s’allume, vous choisissez l’extension d’affichage dans Windows ou macOS, et c’est terminé. 

écran Arzopa notice
1 ère page : cherchez l’erreur…
écran Arzopa notice page 2
« Téléphone (avec Type C) » ? Marche pas…

Si, en revanche, votre port USB-C ne fait pas de vidéo, ou si votre ordinateur ne propose que du HDMI, il faudra accepter un branchement un peu plus chargé : un câble pour la vidéo (USB-C ou mini HDMI) et un autre pour l’alimentation en USB-C vers un chargeur secteur d’au moins 5 V / 3 A (environ 15–18 W). En effet, avec une alimentation trop faible, vous risquez des clignotements, des extinctions intempestives ou l’impossibilité d’atteindre la luminosité et la fréquence maximales. En conséquence, vous mobilisez deux prises : une pour l’appareil, une pour l’écran ! 

Nota Bene : vous pouvez utiliser votre smartphone pour alimenter l’écran pendant qu’il est connecté à votre ordinateur, mais l’Arzopa Z3FC va en pomper la batterie à toute vitesse ! 

Côté consoles, l’Arzopa Z3FC se comporte comme un petit moniteur traditionnel. Sur PS5 ou Xbox Series, une Nintendo Switch, un Steam Deck ou un ROG Ally : le signal vidéo passe par USB-C ou HDMI selon l’appareil, mais l’écran doit, lui, être branché à un chargeur. Nous avons également essayé avec notre smartphone (l’excellent Realme GT7), toujours avec un chargeur en complément : “no signal”… La notice semble pourtant dire que c’est possible, sans expliquer comment.

Nota Bene : sur le manuel en ligne, Arzopa explique que l’USB-C ne marchera avec un smartphone que si le téléphone sort de la vidéo en “DisplayPort Alt Mode” (DP Alt Mode) (et souvent avec assez de puissance/PD).

écran Arzopa en bureautique
Petite ambiance bureautique agréable

En théorie, l’écran peut être alimenté par une batterie externe USB-C PD suffisamment puissante. En pratique, notre test avec une powerbank Qilive 10 000 mAh n’a pas été concluant : les petites batteries ‘pour smartphone’ manquent de puissance. Il faut viser un modèle USB-C Power Delivery (18 W et plus) pour que cela fonctionne réellement.

Nota Bene : finalement, l’option la plus simple pour nous a été de brancher Arzopa Z3FC sur notre petit notebook via HDMI et USB-C vers USB-A en même temps. 

Qualité d’image : promesse tenue dans l’ensemble

Sur le plan de l’image, l’Arzopa Z3FC annonce une grande finesse d’affichage. Sur 16,1 pouces, la définition QHD de 2 560 × 1 440 offre une densité d’environ 182 ppp, plus élevée qu’un 27 pouces 4K, ce qui se traduit par un texte très net et des interfaces bien découpées. En bureautique comme en montage léger ou en retouche pour le web, on gagne clairement en confort par rapport aux écrans portables en 1 920 × 1 080, à condition d’accepter parfois de jouer avec le zoom ou le scaling dans Windows/macOS pour garder des caractères lisibles.

La luminosité est censée être un des ses points forts : Arzopa annonce 400 nits, et il est vrai que l’écran reste confortable dans une pièce lumineuse, près d’une fenêtre ou en open space, là où beaucoup de moniteurs portables paraissent vite ternes. En extérieur en plein soleil, en revanche, ne rêvons pas : on reste sur une dalle IPS mate, correcte pour un usage ponctuel à l’ombre, mais qui ne concurrence pas un écran de smartphone très lumineux.

Nota Bene : dès que nous poussions le curseur de luminosité au-delà d’environ 50 %, l’écran avait tendance à s’éteindre purement et simplement, signe qu’il reste très sensible à la qualité et à la puissance de l’alimentation.

Sur la colorimétrie, le Z3FC fait le job. On est globalement autour de 100 % sRGB, certains tests trouvant même un peu plus, ce qui suffit largement pour du web, du contenu social et de la vidéo grand public. Les couleurs sont plutôt correctes, légèrement chaudes, avec des dérives visibles sur certains tons (bleus, cyans), ce qui le rend utilisable pour du tri ou de la retouche sur le terrain, mais pas comme moniteur de référence pour un étalonnage exigeant. Malgré l’annonce marketing de compatibilité HDR, nous n’avons pas réussi à obtenir un véritable traitement HDR exploitable, que ce soit sur PC ou via une source externe : dans les faits, l’image reste traitée comme un signal SDR classique. Le contraste reste typique d’une dalle IPS (annoncé à 1 000:1, mesuré dans la moyenne basse), avec des noirs qui tirent un peu vers le gris dans une pièce sombre ; pour un film dans le noir, un OLED fera beaucoup mieux.

Enfin, la partie fluidité est ce qui distingue vraiment cet écran d’un modèle portable classique. Le rafraîchissement monte à 180 Hz en USB-C (et jusqu’à 144 Hz via HDMI), avec un gain très net sur le défilement des pages, les interfaces rapides et bien sûr les jeux : à côté d’un 60 Hz, le curseur semble “collé” au mouvement et les panoramiques sont beaucoup plus lisibles. La rémanence reste celle d’un IPS (temps de réponse autour de 9 ms), suffisante pour du jeu solo, coop ou compétitif occasionnel, mais les joueurs d’e-sport très pointilleux continueront de préférer un vrai moniteur gaming de bureau.

En pratique : jeu, bureautique & multimédia

En jeu, l’Arzopa Z3FC est clairement dans son élément. Sur PC, le combo 2K + 180 Hz permet de profiter pleinement des FPS nerveux, des jeux de course ou des MOBA, à condition d’avoir une carte graphique capable de suivre. À côté d’un écran portable 60 Hz, la différence de fluidité est très visible : curseur plus précis, mouvements plus lisibles, menus plus réactifs. Sur consoles, vous serez en général limité à 60 ou 120 Hz selon la machine, mais le QHD et la diagonale de 16,1 pouces offrent une image fine et immersive pour un écran aussi compact.

écran Arzopa jeu vidéo
Petite pause détente sur Gris

À noter que sur un petit GPU intégré ou une console limitée au 60–120 Hz, vous ne bénéficierez pas tellement du potentiel complet des 180 Hz. Pour profiter du 1440p à haute fréquence, il faut une machine capable de sortir assez d’images par seconde. Or, la plupart des PC gamer modernes en RTX 4060/4070 ont déjà un écran très performant : 15–16″, souvent en 1440p 165–240 Hz, avec une colorimétrie correcte. L’Arzopa ne servira alors pas d’“upgrade” visuel, mais de multiplicateur de surface utile

À ce titre, en télétravail, le Z3FC fonctionne très bien en second écran “nomade”. On peut y laisser en permanence sa messagerie, un document de référence, un fil Slack ou une timeline de montage, pendant que l’écran principal reste dédié à la tâche en cours. La définition 1440p permet d’afficher deux fenêtres côte à côte, même si, sur 16 pouces, cela reste plus confortable pour du suivi que pour taper un texte dense. Vous pouvez aussi le basculer en mode portrait en réglant l’orientation dans Windows ou macOS, pratique pour le code, les documents longs ou les réseaux sociaux.

Pour les usages multimédia, l’écran fait le job pour regarder des séries, des films ou YouTube en déplacement. Les angles de vision sont juste assez larges pour partager la vidéo à deux – à condition de se serrer un peu-, et la dalle mate limite les reflets gênants. En revanche, les haut-parleurs intégrés restent très modestes : ils dépannent pour une vidéo ou un appel, mais manquent de grave et de volume pour un film ou un jeu bruyant. Dans la plupart des cas, il faudra prévoir un casque (on recommande l’étonnant OneOdio Focus A6) ou une enceinte Bluetooth pour compléter l’expérience.

Verdict : il brille en demi-teinte…

En termes de positionnement, l’Arzopa Z3FC vise le milieu de gamme gaming nomade : plus ambitieux qu’un écran portable 1080p/60 Hz d’entrée de gamme, mais bien moins cher qu’un Espresso Display ou qu’un Asus ROG Strix XG16. Face aux modèles Arzopa plus simples (A1 en 1080p/60 Hz ou Z1FC en 1080p/144 Hz), il se distingue par un vrai saut de confort : définition 2 560 × 1 440, 180 Hz, luminosité plus généreuse. Si vous jouez beaucoup et travaillez aussi sur ce second écran, la différence est très tangible ; pour de la pure bureautique, l’intérêt est moindre.

écran Arzopa sur table basse
On l’aime bien quand même…

En face, les Espresso ou certains ZenScreen misent sur le design premium, l’ultra-finesse et parfois le tactile, mais restent en 1080p/60 Hz pour un tarif souvent supérieur. D’autres références comme le ROG XG16 ou le ZenScreen Go intègrent une batterie, ce qui les rend davantage “nomades” : un seul câble pour l’image, l’écran s’alimente tout seul. Le revers, c’est un prix bien plus élevé et, souvent, une simple dalle Full HD. L’Arzopa Z3FC assume donc son compromis : pas de batterie, souvent deux câbles à gérer, une colorimétrie seulement correcte… mais un rapport performances (QHD 180 Hz) / prix difficile à battre pour jouer et travailler en déplacement.

Reçu — 26 novembre 2025

Quand les humains ne peuvent plus se battre, les machines entrent dans les tranchées

26 novembre 2025 à 08:41
Sur le front ukrainien, une "bande mortelle" de plusieurs dizaines de kilomètres rend toute présence humaine quasi impossible. Drones volants ou terrestres, robots explosifs, capteurs omniprésents… Pour le maître de conférences à l’université de Limoges et spécialiste en cybersécurité Thierry Berthier, la guerre change de nature.

Reçu — 25 novembre 2025

Black Friday MOVA : jusqu’à 36% de remise sur ces aspirateurs laveurs intelligents

25 novembre 2025 à 16:50
mova tech offres promo

Jusqu’au 1er décembre, MOVA propose des réductions allant jusqu’à 435€ sur ses aspirateurs laveurs nouvelle génération.

mova black friday

MOVA frappe fort pour ce Black Friday avec des réductions exceptionnelles allant jusqu’à -435€ sur sa gamme d’aspirateurs laveurs nouvelle génération. La jeune marque, lancée en 2024 et spécialisée dans les solutions de nettoyage intelligentes intégrant l’IA, propose des remises inédites sur ses 3 best-sellers. 

Le Black Friday MOVA en 3 offres immanquables

Jusqu’au 1er décembre prochain, MOVA propose ses 3 produits phares avec des réductions significatives : 

Le V50 Ultra Complete : le nec plus ultra du nettoyage automatisé

Le V50 Ultra Complete, c’est le summum chez MOVA. Avec ses 24 000 Pa d’aspiration TurboForce7™ et sa détection d’obstacles AI SmartSight™, il s’attaque à tous les types de sols avec une précision chirurgicale. Son châssis compact de 89 mm glisse sous les meubles bas grâce à la technologie FlexScope™, tandis qu’il franchit des seuils jusqu’à 6 cm avec le système StepMaster™. Le vrai plus ? Sa station OmniDry™ qui lave et sèche entièrement les serpillières en une heure, rendant le nettoyage quasi autonome. Le système DuoSolution™ à double réservoir distribue les solutions adaptées pour éliminer taches tenaces et mauvaises odeurs.

Le V50 Ultra Complete (version blanche) est à 764€ au lieu de 1 199€ jusqu’au 1er décembre (avec son kit d’accessoires d’une valeur de 199 € inclus), soit 435€ d’économie.

» J’achète le MOVA V50 Ultra Complete maintenant

Le M50 Ultra : puissance premium et maniabilité inédite

Le M50 Ultra, c’est la puissance d’un aspirateur premium dans un balai laveur ultra-maniable. Avec ses 22 000 Pa et sa technologie EdgeCoverage™ AI, il traque chaque miette et poil d’animal jusque dans les coins. Son gros atout ? La première poignée pliable et télescopique au monde (Flex-Master Pro), certifiée par Frost & Sullivan, qui vous simplifie la vie et se range n’importe où. Côté autonomie, le système de distribution automatique vous oublie pendant 60 jours. Et après chaque session ? Lavage de la brosse à 100°C puis séchage à l’air chaud à 90°C pour une hygiène irréprochable. Finies les corvées interminables.

Le M50 Ultra est proposé à 414€ au lieu de 599€ pour le Black Friday, soit 185€ de réduction.

» J’achète le MOVA M50 Ultra maintenant

Le M10 : le compact puissant pour le quotidien

Ne vous fiez pas à son format compact : l’aspirateur balai M10 balance 18 000 Pa de puissance tout en ne pesant que 0,9 kg en main. Parfait si vous avez un petit appart ou si vous en avez marre de trimballer des engins lourds. Il aspire et lave en un seul passage, sans broncher. Sa brosse Dual-Edge nettoie nickel le long des murs, et le rouleau Tangle-Free™ ne s’emmêle jamais les pinceaux avec vos cheveux. Après utilisation, auto-nettoyage à 75°C suivi d’un séchage à l’air chaud. Avec son châssis de 14 cm de haut, il se faufile partout. 

Le M10 affiche un prix Black Friday de 215€ au lieu de 349€, soit 134€ d’économie immédiate.

»J’achète le MOVA M10 maintenant

Attention, toutes ces offres ne sont valables que jusqu’au 1er décembre prochain ! Alors si vous voulez enfin simplifier votre ménage sans vous ruiner, c’est maintenant ou jamais.

Reçu — 23 novembre 2025

Black Friday : le VPN SurfShark à -88% + 3 mois gratuits, dès 1,99€/mois jusqu’au 1er décembre

23 novembre 2025 à 09:00
vpn backfriday surfshark

Black Friday oblige, SurfShark sort le grand jeu : -88% + 3 mois gratuits sur tous ses abonnements. VPN premium, antivirus, protection identité, etc. Le tout à partir de 1,99 €/mois jusqu’au 1er décembre. On vous aide à choisir entre les offres.

Vous cherchez un VPN et vous attendiez la fin du mois pour profiter de prix cassés ? SurfShark vient de sortir ses promos du Black Friday et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles sont convaincantes : jusqu’au 1er décembre prochain, jusqu’à 88% de réduction + 3 mois gratuits en bonus ! Oui, vous avez bien lu, on parle ici d’un VPN disponible à partir de 1,99 €/mois.

» Profiter maintenant des offres Black Friday SurfShark

Pourquoi choisir SurfShark ? 

Avec SurfShark, qu’importe la formule, vous profitez de :

  • Connexions illimitées pour toute la famille
  • 4500 serveurs dans 100 pays avec connexions 10 Gbps
  • Serveurs RAM uniquement (données effacées à chaque redémarrage)
  • No-log certifié
  • Streaming et torrenting optimisés

» Découvrir toutes les fonctionnalités Surfshark à partir de 1,99 €/mois

Black Friday VPN : quelle offre choisir ?

Surfshark Starter à 1,99 €/mois : Le VPN essentiel

SurfShark Starter, c’est l’offre d’entrée de gamme, mais attention, qui dit entrée de gamme, ne veut pas dire bas de gamme. Elle permet de débloquer les catalogues de streaming étrangers, sécuriser vos connexions ou encore télécharger en torrent (occasionnellement). Elle s’adresse avant tout aux étudiants, aux voyageurs et à tous ceux qui veulent un bon VPN sans fioritures. 

Cette offre vous propose tout ce qu’un VPN digne de ce nom doit proposer, à savoir :  

  • Connexions illimitées
  • 4500+ serveurs dans 100 pays
  • Chiffrement AES-256
  • Protocoles ultra-rapides (WireGuard, OpenVPN, IKEv2)
  • CleanWeb anti-pubs/trackers
  • No-log certifié
  • Compatible tous appareils

Pendant le Black Friday, SurfShark Starter est disponible à 1,99 €/mois + 3 mois gratuits en bonus, soit 87% d’économie sur votre abonnement 24 mois.

» Je veux SurfShark Starter à 1,99 €/mois

Surfshark One à 2,19€/mois : le pack sécurité complet et notre recommandation

Avec SurfShark One, vous dépensez 20 centimes de plus par mois qu’avec l’offre d’entrée de gamme et vous accédez à une formule premium. C’est l’offre la plus populaire et celle que nous recommandons au plus grand nombre. Elle s’adresse aux familles, freelances et acheteurs en ligne réguliers qui veulent en profiter à plusieurs.

SurfShark One, c’est tout Starter, plus 4 outils de sécurité :

  • Antivirus en temps réel – scanne et bloque les menaces avant ouverture, protège votre webcam (Windows, Mac, Android, 5 appareils max)
  • Alert – alertes dès que vos données apparaissent dans une fuite ou sur le dark web
  • Alternative ID – génère email et numéro de téléphone virtuels pour garder vos vraies coordonnées privées
  • Search – moteur de recherche privé, sans tracking ni pub

Pendant le Black Friday, Surfshark One est disponible à 2,19 €/mois + 3 mois gratuits, soit 88% d’économie sur votre abonnement 24 mois. Vous économisez plus de 425 € sur 27 mois.

» Je veux Surfshark One à 2,19 €/mois

Surfshark One+ à 4,19 €/mois : la protection maximale

Ici, on entre dans la cour des grands. SurfShark One+, c’est le summum de l’enseigne : toutes les fonctionnalités de One, et en supplément la fonction Incogni. Parfait pour protéger au mieux votre vie privée. Idéal pour les personnes exposées publiquement, entrepreneurs visibles en ligne ou victimes de harcèlement.

Incogni, c’est quoi ? Un service qui supprime vos données personnelles en ligne automatiquement. Il contacte courtiers de données et sites de recherche pour exiger le retrait de vos infos. Le service tourne en continu, traque et supprime rapidement toute nouvelle apparition : coordonnées, adresse, historiques d’achat, etc. Tout disparaît.

Pendant le Black Friday, Surfshark One+ est à 4,19 €/mois + 3 mois gratuits, soit 80% d’économie sur l’abonnement 24 mois.

» Je veux Surfshark One+ à 4,19 €/mois

Comment activer l’offre SurfShark et utiliser le VPN ? 

Rien de plus simple. 4 clics et vous êtes protégé :

  1. Cliquez sur le lien (réduction auto)
  2. Choisissez votre formule
  3. Créez votre compte
  4. Téléchargez l’app

En 3 minutes chrono, vous profitez d’un VPN avec une Garantie 30 jours satisfait ou remboursé

» Activer mon offre Surfshark Black Friday

Attention, le Black Friday chez SurfShark prend fin le 1er décembre prochain. Alors si vous voulez économiser jusqu’à 88 % sur les VPN, c’est maintenant ou jamais !

Reçu — 22 novembre 2025

Black Friday UGREEN : -25% sur ce serveur capable de stocker jusqu’à 15 millions de photos

22 novembre 2025 à 16:34
ugreen blackfriday nas

Fini les messages « Mémoire pleine » et les abonnements Cloud hors de prix. Jusqu’au 1er décembre, les serveurs NAS UGREEN sont à -25% pour le Black Friday. Au programme : deux modèles ultra-performants à partir de 167,99€, sans abonnement et avec IA intégrée.

ugreen blackfriday 2025

Votre smartphone affiche « mémoire pleine » ? Vos photos s’accumulent partout et vos vidéos saturent votre ordinateur ? Bonne nouvelle, on a la solution ! Et non, ce n’est pas un énième abonnement Cloud qui va vous coûter de plus en plus cher avec les années.

Notre solution ? Un serveur NAS personnel. Cet appareil centralise et sécurise toutes vos données sans abonnement mensuel. C’est comme un disque dur externe, mais bien plus performant et sans câbles qui traînent partout.

Encore mieux : jusqu’au 1er décembre, c’est le Black Friday chez UGREEN avec jusqu’à -25% de remise sur les serveurs NAS (disque non inclus) et tout le catalogue d’accessoires électroniques. L’occasion parfaite pour vous équiper sans vider votre portefeuille.

» Profiter de jusqu’à -25% chez UGREEN !

Serveur NAS personnel à prix cassé : les 2 offres phares du Black Friday UGREEN

C’est bien gentil de conseiller l’achat d’un serveur NAS personnel, mais encore faut-il savoir lequel choisir. Voici donc 2 serveurs qui devraient répondre à toutes vos demandes : 

UGREEN NASync DH4300 Plus + UPS : Le NAS 4 Baies Complet à -25%

Le serveur DH4300 Plus + UPS, c’est la solution que vous cherchez. Avec ses 4 baies, vous pouvez y ajouter des disques avec capacité maximale de 120To, vous pouvez stocker entre 2800 et 4800 films en 4K ou entre 10 et 15 millions de photos. Autant dire que vous avez de la marge !

Comment ça marche ? C’est très simple. Vous branchez le serveur chez vous, vous le connectez à votre Box Internet, et voilà : tous vos appareils y accèdent sans fil. L’intelligence artificielle trie vos données automatiquement et vous y accédez où vous voulez. Le tout chiffré et sans abonnement.

C’est idéal pour les familles nombreuses avec plusieurs smartphones et tablettes, 

ou pour les créateurs qui accumulent des projets photo/vidéo en haute résolution.

Le serveur DH4300 Plus + UPS en bref, c’est  : 

  • 4 baies pour 120 To max
  • Processeur 8 cœurs à 2,4 GHz + 8 Go de RAM
  • Port Ethernet 2,5 GbE
  • Intelligence artificielle pour tri automatique
  • Options RAID avancées (0/1/5/6/10)
  • Chiffrement + authentification à deux facteurs
  • Port HDMI 4K 60Hz
  • UPS (onduleur) inclus
  • Compatible Windows, macOS, Android, iOS
  • Protocoles supportés : SMB, NFS, AFP
  • Applications disponibles : Docker, Plex Media Server compatible
  • Accès distant : Via app mobile UGREEN (iOS/Android)
  • Garantie : 2 ans constructeur

A 396,99€* (disque non inclus) pour le Black Friday, vous économisez 133€ sur le moment et vous n’avez plus jamais rien à payer.

» J’achète le DH4300 Plus + UPS à -25%

*Bon à savoir : Les disques durs ne sont pas inclus. Comptez entre 300€ et 800€ supplémentaires selon la capacité souhaitée (ex: 2x 8 To ~300€, 4x 16 To ~800€).

UGREEN NASync DH2300 : Le NAS 2 Baies Accessible à -20%

Vous débutez avec les NAS ou vous avez simplement besoin de moins d’espace ? Le DH2300 est fait pour vous. Avec ses 2 baies et peut supporter des disques d’une capacité maximale de 60To, il offre largement de quoi stocker toutes vos données familiales (on parle quand même de 2400 films en 4K ou entre 5 et 7 millions de photos).

Comment ça marche ? Même principe que son grand frère : vous le branchez, vous le configurez en quelques minutes grâce à l’interface simplifiée pensée pour les débutants, et c’est parti. L’IA trie vos photos automatiquement et vous pouvez y accéder depuis tous vos appareils.

Le serveur DH2300 en bref, c’est :

  • 2 baies pour une capacité maximale de 60 To
  • Processeur Rockchip A72+A53 (4+4 cœurs, jusqu’à 2,2 GHz)
  • 4 Go de RAM LPDDR4X
  • Port Ethernet 1 GbE (transferts jusqu’à ~110 Mo/s)
  • Intelligence artificielle pour tri automatique
  • Options RAID (JBOD/Basic/RAID 0/1)
  • Port HDMI 4K 60Hz
  • Consommation : environ 15-30W en activité selon les disques installés, moins de 5W en veille
  • Interface simplifiée pour débutants
  • Protocoles supportés : SMB, NFS, AFP
  • Applications disponibles : Plex Media Server compatible
  • Accès distant : Via app mobile UGREEN (iOS/Android)
  • Garantie : 2 ans constructeur

C’est  parfait pour un couple ou une petite famille qui souhaite centraliser ses souvenirs numériques sans dépendre d’un service Cloud.

À 167,99€* (disque non inclus) pour le Black Friday, vous économisez 42€ et vous n’avez aucun abonnement à payer.

» J’achète le DH2300 à -20%

*Bon à savoir : Les disques durs ne sont pas inclus. Comptez entre 150€ et 500€ supplémentaires selon la capacité souhaitée. (ex: 2x 4 To ~150€, 2x 8 To ~300€, 2x 12 To ~500€).

Attention, rappelons que les offres du Black Friday chez UGREEN ne sont valables que jusqu’au 1er décembre prochain. Et n’oubliez pas : au-delà des offres sur ces serveurs, UGREEN propose jusqu’à -40 % sur une large sélection de produits, de chargeurs ultra compact à des câbles certifiés en passant par des batteries externes et hubs multiports. Alors, prêt à reprendre le contrôle de vos données ?

Reçu — 5 novembre 2025

Donald Trump promet aux travailleurs que l’IA qui les remplacera sera américaine

5 novembre 2025 à 09:30

Après avoir réuni les géants de l’intelligence artificielle en septembre dernier, Donald Trump a souhaité revenir vendredi sur les différentes inquiétudes engendrées par le développement de l’IA. “J’ai entendu vos craintes et sachez que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que vous ne soyez jamais remplacés par Deep Blue, Mistral AI, Neuroflash ou encore Wordlift mais uniquement par ChatGPT, Midjourney ou Sora” a-t-il déclaré lors de son meeting à Mar-a-Lago. “Dans tous les cas, nous n’y sommes pas encore ! Et puis il ne faut pas oublier la devise de notre nation…la devise de notre nation qui est…qui est…” ajoute-t-il, avant de sortir son iPhone pour demander à ChatGPT de terminer sa phrase. 

Une déclaration qui a été immédiatement saluée par ses partisans. “C’est vraiment rassurant de savoir qu’on sera remplacés par une IA qu’on comprend” commente Tessa, 32 ans. Même son de cloche pour Bryan, 34 ans. “Depuis que je sais que l’IA qui me volera mon métier sera américaine, ça me donne encore plus envie de trouver du travail”. De son côté, Marleen, une Française de 27 ans, avoue ne pas se retrouver dans ce discours. “Les IA étrangères ont autant le droit que celles américaines de voler notre travail. C’est de l’artificiolophie et c’est vraiment dégueulasse” s’emporte-t-elle avant de brandir une pancarte “Touche pas à mon IA” comportant le logo d’une main à 14 doigts. 

Face à cette annonce quelque peu polémique, Donald Trump a toutefois souhaité montrer l’exemple en confiant que chacune de ses décisions politiques récentes avait été intégralement confiée à Grok depuis le 20 janvier 2025.

L’article Donald Trump promet aux travailleurs que l’IA qui les remplacera sera américaine est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.

Reçu — 1 novembre 2025

Devialet Phantom Ultimate 98 dB vs 108 dB : quelle enceinte choisir pour faire trembler les murs ?

1 novembre 2025 à 10:00
Devialet Phantom Ultimate 98 dB vs 108 dB - quelle enceinte choisir pour faire trembler les murs

Voilà un duel de titans où chaque décibel compte. Vous en avez marre de choisir entre précision chirurgicale et puissance déchaînée ? La 98 dB, aussi compacte et élégante qu’un vase contemporain, offre un son d’une pureté cristalline et idéal pour les espaces restreints. La 108 dB, elle, fait trembler les murs avec ses 1100 W RMS et ses basses qui descendent à 14 Hz – un vrai monstre pour les amateurs de concerts à la maison. Après avoir comparé les Devialet Phantom I et II, on décortique les deux philosophies opposées de la 98 dB et de la 108 dB : celle du raffinement élégant et celle de la démesure assumée, pour que votre salon devienne enfin la salle de divertissement dont vous avez toujours rêvé.

comparaison enceintes Devialet dans un salon
La combinaison parfaite entre design et puissance. (© Clément Goubil / Paris Audio Video Show 2025)

Devialet Phantom Ultimate 98 dB vs 108 dB : le match est lancé

Aujourd’hui, deux poids lourds s’affrontent : les enceintes Devialet Phantom Ultimate 98 dB et 108 dB. Une ADN commune, mais des différences bien marquées.

La version 98 dB se distingue par son aspect compact et précis. La 108 dB se montre quant à elle bien plus puissante. Discrétion ou show ? À vous de décider.

SpecsPhantom Ultimate 98 dBPhantom Ultimate 108 dB
✅ Puissance400 W RMS✅ 1100 W RMS
✅ Son98 dB✅ 108 dB
✅ Fréquences18 Hz – 25 kHz✅ 14 Hz – 35 kHz
✅ Wi-Fi5✅ 6
Tableau de comparaison : Devialet Phantom Ultimate 98 dB vs 108 dB

Le face-à-face technique : les specs qui font la différence

CaractéristiquesDevialet Phantom Ultimate 98 dBDevialet Phantom Ultimate 108 dB
Puissance sonore max98 dB SPL à 1 mètre✅ 108 dB SPL à 1 mètre
Puissance d’amplification400 W RMS✅ 1100 W RMS
Réponse en fréquence18 Hz – 25 kHz✅ 14 Hz – 35 kHz
GravesContrôlés et propresPlus profonds, plus musclés
Architecture acoustique2 voies (1x dôme aluminium large bande, 2x woofers)✅ 3 voies (1x tweeter aluminium, 1x médium, 2x woofers latéraux en ABS à haute excursion)
Dimensions (L x H x P)15.7 x 16.8 x 21.9 cm (compact)❌ 24.6 x 25.5 x 34.2 cm (XXL)
Poids4.3 kg (9.5 lbs)❌ 11.1 kg (24.5 lbs)
Connectivité sans-filWi-Fi 5, Bluetooth 5.2✅ Wi-Fi 6, Bluetooth 5.3
ProcesseurNXP i.MX 8M Nano (commun aux deux / version 2025)
Système d’exploitationDOS 3 (commun aux deux / version 2025)

Assez parlé et place aux faits, rien qu’aux faits. La Devialet Phantom Ultimate 108 dB, c’est le mastodonte qui fait trembler la maison (on abuse à peine). Avec ses 10 dB supplémentaires, c’est l’équivalent d’un mur d’enceintes en concert. 14 Hz dans les graves ? Ce sont des infrabasses qui vrombissent dans la poitrine.

Si la Devialet Phantom Ultimate 98 dB reste un petit bijou compact, la 108 dB sera particulièrement à l’aise dans les grandes pièces. Tous ces chiffres sont bien beaux mais concrètement, ça donne quoi dans votre salon ? C’est ce qu’on va voir.

Devialet Phantom Ultimate 98 dB : la force tranquille pour votre salon

La Devialet Phantom Ultimate 98 dB représente l’un des meilleurs compromis en termes de puissance dans un format compact (15,5 x 21,9 x 16,8 cm, 4,3 kg). Ses 98 dB suffisent largement dans un salon de taille moyenne, surtout avec ses basses pouvant atteindre 18 Hz. Ses woofers en aluminium et son tweeter large offrent un son clair même à pleine puissance.

En duo stéréo, elle surpasse même certaines barres de son haut de gamme grâce à ses 400 W RMS d’amplification ADH® (à la fois classique et numérique) et à la technologie SAM® qui ajuste les fréquences en temps réel. L’application Devialet permet également d’activer en un clic plusieurs modes dédiés (nuit, « loudness », musique, EQ 6 bandes) pour adapter le son à chaque usage, sans oublier l’interface tactile présente sur le dessus (idem sur la 108 dB).

Devialet Phantom Ultimate 108 dB : la démesure au service du son

La Devialet Phantom Ultimate 108 dB déchaîne la puissance : 108 dB, 1 100 W RMS d’amplification ADH® et une réponse en fréquence de 14 Hz à 35 kHz. Son moteur de woofer amélioré et son Wi-Fi 6 garantissent également une bonne stabilité, même lorsque le volume est poussé à fond. Sa technologie HBI® (« Heart Bass Implosion ») génère des pressions d’air dignes d’un studio pro, tandis que le processeur NXP i.MX 8 (présent sur la version 2025) gère le streaming en 32 bits/96 kHz. C’est le must pour les grands espaces.

Avec l’amplification ADH (Analog Digital Hybrid) de nouvelle génération, chaque note est reproduite avec une extrême fidélité, même depuis une seule enceinte. Et à la différence de la 98 dB, la 108 dB adopte une architecture 3 voies avec un tweeter en aluminium de nouvelle génération pour des aigus cristallins, un haut-parleur médium dédié aux voix, ainsi que des woofers avec un ABS à haute excursion qui font vibrer les murs. Même les détails les plus subtils prennent vie, comme le souffle d’un chanteur en concert ou le crissement d’un archet sur un violoncelle.

enceintes Devialet sur trépied en bois
Il n’y a pas à dire : ces enceintes Devialet ont fière allure. (© Clément Goubil / Paris Audio Video Show 2025)

L’enceinte 108 dB ne se contente pas de frapper fort. Sa réponse en fréquences de 14 Hz à 35 kHz capte les infrabasses et les ultrasons des bandes originales de cinéma. Le son s’étire dans l’espace avec une largeur, une hauteur et une densité impressionnantes. De plus, le Wi-Fi 6 assure une synchronisation millimétrée en stéréo, avec une latence quasi imperceptible. Parfait pour diffuser des contenus sans fil.

Dans le même temps, elle est conçue pour les pièces spacieuses, les soirées cinéma immersives ou les fêtes avec de la musique techno poussée à fond. En d’autres termes, elle offre l’expérience sonore la plus immersive que vous puissiez trouver dans une enceinte de cette taille.

L’expérience d’écoute : au-delà des chiffres, les sensations

Le choc des basses : quand le son traverse la peau

La Phantom Ultimate 108 dB ne se contente pas de faire du bruit. Elle génère des infrabasses à 14 Hz, une fréquence que vous ne captez pas réellement avec vos oreilles, mais que votre corps ressent. On parle de vibrations dans les murs, de plancher qui tremble, de pression dans la poitrine. Sa technologie HBI (Heart Bass Implosion), avec ses woofers latéraux qui se repoussent en parfaite symétrie, transforme votre salon en boîte de nuit.

Avec la 108 dB, on ne parle plus seulement d’écoute. On parle d’une expérience sismique maîtrisée, où chaque impact de basse est ressenti dans tout le corps.

La 98 dB, bien qu’impressionnante avec ses 18 Hz, reste dans la catégorie des « basses profondes mais raisonnables ». Elle fera déjà l’affaire pour des soirées entre potes, même si la 108 dB garantit l’effet « wow » quand on veut retrouver les sensations d’une salle de cinéma dans son salon.

Architecture et clarté : 2 voies contre 3 voies, ça change quoi ?

Si la 98 dB se contente d’un tweeter en aluminium et de deux woofers, la 108 dB ajoute un haut-parleur dédié aux médiums. Résultat : les voix humaines deviennent cristallines et les instruments se détachent nettement. Ce n’est plus un simple mur de son, mais une carte postale sonore en haute définition.

À 100 décibels, la 98 dB commence à grincer des dents. La 108 dB, elle, reste dans son élément puisqu’elle peut monter jusqu’à 111 dB en stéréo. Sa gestion thermique supérieure et son amplification 1100 W RMS (contre 400 W RMS pour sa petite sœur) lui permettent de tenir dans la durée sans s’essouffler. La 108 dB est sans aucun doute le modèle qu’on peut utiliser plusieurs heures sans s’en rendre compte.

Intégration home-cinéma : le point qui fâche ?

Malgré leurs nombreuses qualités, les Phantom ne disposent pas de prise HDMI ARC. Un vrai talon d’Achille pour espérer séduire les cinéphiles. Néanmoins, il est possible de les connecter sur TV via une entrée SPDIF combo mini-jack 3,5 mm / optique, ce qui s’avère aussi efficace mais moins pratique qu’un câble unique. L’absence de prise HDMI oblige également à jongler avec le câblage pour profiter d’un son en qualité non compressée.

  • AirPlay 2 (limité à 16/44)
  • Spotify Connect
  • Tidal Connect
  • Roon Ready
  • Universal Plug and Play (plafonnement 24/96)
  • Google Cast
  • Connexion Ethernet

Ces protocoles fonctionnent bien entendu pour les deux modèles. Seule différence notable : la 108 dB évite les micro-coupures dans les configurations multi-enceintes grâce à son Wi-Fi 6 (contre Wi-Fi 5 sur la 98 dB).

Quel budget prévoir pour s’offrir l’une de ces enceintes Devialet ?

  • Devialet Phantom Ultimate 98 dB : À partir de 1 500 € pour la version classique, 1 800 € pour l’édition Opéra de Paris.
  • Devialet Phantom Ultimate 108 dB : 3 200 € pour la version standard, 3 800 € pour l’édition Opéra de Paris.

Un écart qui pique, mais justifié par une évolution de taille. La 108 dB délivre une puissance triplée (1 100 W RMS contre 400 W RMS), une connexion plus stable avec le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.3 (contre Wi-Fi 5 / Bluetooth 5.2 sur la 98 dB), et un système 3 voies (tweeter, médium, woofers redessinés) contre un design à large bande.

Vous obtenez des graves mieux maîtrisés, une scène sonore étendue et une réponse en fréquence élargie (14 Hz-35 kHz contre 18 Hz-25 kHz). Pour un petit espace, la 98 dB suffit mais si vous voulez secouer les murs, le 108 dB en vaut largement la peine.

Artistic excellence. And the acoustic reverence it deserves.

Devialet Phantom Ultimate Opéra de Paris―where sound becomes curtain-raising: https://t.co/W0rqH8lftW#Devialet #DevialetPhantom pic.twitter.com/UetJQ5Gkj5

— DEVIALET (@DEVIALET) October 30, 2025

Les avis des utilisateurs : ils en pensent quoi ?

Il est bien beau notre avis de « pote calé en matériel audio », mais qu’en pensent ceux qui ont mis la main au portefeuille ?

La Phantom Ultimate 98 dB brille par sa clarté sonore et son encombrement minimal. Un utilisateur estime d’ailleurs que « pour un appart, c’est juste parfait. Les aigus sont cristallins, les basses contrôlées, sans encombrer l’espace. » D’autres soulignent sa puissance suffisante pour un salon, avec des voix « nettement plus claires » en mode TV. En stéréo, il « offre un équilibre bluffant entre qualité et taille ».

Du côté des médias spécialisés, Smart Home Sounds estime qu’elle a « un niveau de performance qui pourrait rivaliser avec de nombreuses configurations traditionnelles ». Nos confrères de T3 mettent aussi en avant son aspect esthétique qui est « l’une des caractéristiques les plus attrayantes de la Phantom Ultimate ».

La Phantom Ultimate 108 dB divise ceux qui l’ont testée et ceux qui hésitent. Son impact est décrit comme « une claque dans la poitrine ». Un utilisateur témoigne : « Les basses, vous les sentez dans les os. On dirait que les murs vibrent avec la musique. » En stéréo, elle délivre une scène « plus large, plus haute », idéale pour les amateurs de home cinéma ou de concerts privés.

Et là encore, les testeurs ne tarissent pas d’éloges à son sujet en soulignant « la qualité audio exceptionnelle qui rend la Devialet Phantom Ultimate si spéciale » (The Absolute Sound), ainsi que « ses basses massives mais toujours incroyablement maîtrisées » (Smart Home Sounds).

Les deux modèles partagent toutefois un défaut majeur : l’absence de HDMI ARC. Pour la TV, une connexion optique reste donc la seule option. Un détail qui agace, mais qui ne gâche pas le rendu sonore premium pour autant. La 108 dB reste réservée aux audiophiles prêts à investir une belle somme pour un son « qui tape comme dans un concert privé ».

98 dB ou 108 dB : quelle enceinte Devialet Phantom est faite pour vous ?

La Phantom Ultimate 98 dB s’adapte aux espaces compacts. Avec un gabarit réduit (4,3 kg, 168 x 157 x 219 mm), elle s’intègre à merveille dans un salon modeste ou une chambre, tandis que ses tweeters et woofers donnent vie aux voix et aux instruments avec précision. Idéale en stéréo dans des pièces de 20-30 m², elle restitue notamment les violons et les voix féminines avec une clarté éblouissante.

La Phantom Ultimate 108 dB délivre des basses profondes dans un gabarit plus volumineux (11,1 kg, 246 x 255 x 342 mm, 1100 watts). La HBI® synchronise les basses avec une précision extrême, pendant que le Wi-Fi 6 garantit une excellente stabilité en multiroom. Idéale pour les films ou les concerts depuis le salon, il s’agit là d’un modèle suffisant pour une pièce de 50 m², avec des basses qui secouent le plancher.

Finalement, le choix est simple : privilégiez la 98 dB pour une écoute haute-fidélité dans votre salon, et osez la 108 dB si vous voulez transformer votre espace de vie en une vraie salle de concert.

FAQ

Est-ce que ça vaut le coup d’investir dans une Phantom ?

Investir dans une Phantom, c’est un engagement. Mais si vous cherchez du son professionnel pour une écoute régulière, alors oui, c’est ce qu’il vous faut. La 98 dB, c’est la discrétion qui envoie du lourd dans un petit espace.
La 108 dB, c’est la championne de la puissance brute, capable de faire trembler les murs de votre salon. Si vous cherchez juste à écouter les infos du matin, on vous le dit à l’avance : passez votre chemin, vous allez faire un trou dans votre budget pour pas grand-chose.

La Devialet Phantom gère-t-elle le Dolby Atmos pour le home-cinéma ?

Le Dolby Atmos, c’est le Saint Graal pour un son immersif. Mais là, on va devoir être clairs : les Phantom ne sont pas compatibles avec le Dolby Atmos. Avant de partir en mode déception, respirez un coup parce que Devialet a pensé à tout. Avec un processeur intégré et une application qui gère le SAM (Speaker Active Matching), vos films, séries et jeux prennent vie avec une spatialisation bluffante. De quoi vous mettre le son dans la figure en 3D, façon Hollywood. D’autant plus que le combo avec une TV est tout simple : branchez le câble optique, et c’est parti pour les sensations fortes. Alors oui, ce n’est pas du Atmos pur et dur, mais vous ne risquez pas d’être déçus pour autant.

Quelle est la réponse en fréquence de la Phantom 108 dB ?

La Phantom 108 dB n’est pas juste une enceinte, c’est une bête qui vous fait voyager dans le spectre sonore. Sa réponse en fréquence ? 14 Hz à 35 kHz. En clair, ça capte des sons si bas que vous les sentez plus que vous ne les entendez (14 Hz, c’est quasiment de l’infrabasse) et des aigus si aériens qu’ils flottent dans l’air.
Comparée à sa petit sœur la 98dB (18 Hz à 25 kHz), on aurait presque l’impression de passer d’un concert live à un écouteur de poche. Du coup, si vous cherchez un truc qui vous fait vibrer de la tête aux pieds, la 108 dB fera sûrement votre bonheur.

C’est quoi la règle des 83 % pour les enceintes ?

La règle des 83 % ? Sûrement un truc de « geek du son » pour piger si vos enceintes sont bien placées, vous diriez-vous. Mais c’est en fait assez simple à comprendre : si la distance entre vos deux enceintes fait au moins 83 % de la distance entre elles et vous, vous optimisez l’immersion. Pour les Phantom, c’est facile : on vous conseille 1,5 à 2,5 mètres entre les deux, et 1,5 à 2,5 mètres entre vous et elles.
En clair, c’est une règle d’or pour ne pas se planter dans l’installation. Mais bon, si vous êtes du genre bordélique, pas de panique : même mal placés, ces enceintes Devialet envoient du steak. Par contre, si vous voulez un son aux petits oignons, mieux vaut suivre cette fameuse règle des 83%.

Devialet est-elle la marque d’enceintes numéro 1 ?

Se demander quelle marque est la meilleure, c’est comme comparer la pizza et le burger : ça dépend du goût de chacun. Même si Devialet est clairement dans le peloton de tête, surtout avec ses Phantom. Néanmoins, le monde du son est une véritable jungle avec des concurrents comme B&W, KEF, Bowers & Wilkins ou même Polk Audio avec son MagniFi Mini AX. Ce qui fait la force de Devialet, c’est son mélange de design épuré, de technologies de pointe (l’ADH, le SAM, le HBI), et une puissance brute qui envoie du lourd.
Mais si votre cœur balance pour des enceintes colonnes qui ont une signature sonore unique, ou que vous cherchez du multiroom intelligent, d’autres marques pourraient tout aussi bien faire le job. En résumé, Devialet est une valeur sûre malgré une forte concurrence sur le marché du premium.

Y a-t-il mieux que Devialet pour un son de folie ?

Vous êtes en quête d’un son d’exception, mais vous vous demandez si Devialet est la seule marque de référence ? Alors on vous le dit tout de suite : il y a un tas d’autres marques capables de rivaliser dans bien des domaines. Besoin d’une barre de son avec un caisson de basse intégré pour un home-cinéma à couper le souffle ? Le pack Sonos Arc + Sub vous donnera satisfaction. Envie d’une paire d’enceintes colonnes offrant un son ultra-précis ? Optez pour Bowers & Wilkins et ses 800 Series, c’est du lourd. Et si vous rêvez d’un son multiroom avec une qualité premium, le duo KEF LS50 Wireless II vous donnera des frissons.
Si vous cherchez un objet design, compact et capable de faire trembler les murs avec un seul caisson, Devialet n’a pas d’égal. En résumé, tout dépend de ce que vous cherchez. Mais si vous voulez du pur plaisir brut, un design qui en jette et un son qui vous cloue à votre canapé, la Phantom coche toutes les cases.

Devialet vs Sonos, qui l’emporte pour le son de qualité ?

La question qui fâche : quelle marque choisir entre Devialet et Sonos pour un son qui déchire ? On va être clair : ces deux marques ne sont pas du même monde. Devialet, c’est le diamant brut des audiophiles. La Phantom, c’est de l’élégance, de la puissance et un son qui donne des frissons. Sonos, c’est l’ami des accros à la domotique. Du multiroom malin, un écosystème fluide et une enceinte qui se place partout en s’adaptant à son espace.
Si vous voulez un son de compétition dans une seule pièce, du grave qui vous secoue et des aigus précis, la Phantom 108 dB sera idéale. Mais si vous rêvez d’un son de qualité dans toute la maison, avec une synchronisation parfaite entre la cuisine, le salon et la terrasse, Sonos vous conviendra mieux. En résumé : Devialet s’adresse à ceux qui veulent en prendre plein les oreilles dans leur salon. Sonos, quant à elle, cible ceux qui ne peuvent pas quitter une pièce sans avoir une enceinte à proximité. Et vous, vous en pensez quoi ?

Reçu — 21 octobre 2025

Ray-Ban Meta Gen 2 (2025) : vaut-elle le coup ?

21 octobre 2025 à 06:44
Lunette Meta x Ray-ban

Vous en avez marre de sortir votre smartphone pour capturer un moment de vie ? Les Ray-Ban Meta Gen 2 vous promettent une révolution de poche. Autonomie doublée à 8 heures, capteur photo 12 MP digne d’un vrai smartphone, et streaming en direct sur Instagram ou Facebook : on teste si ces lunettes connectées méritent leur buzz. Avec leur design Ray-Ban iconique, leur stockage de 32 Go et leur son amélioré, elles visent le créateur de contenu nomade. Mais à 419 € en France, faut-il vraiment craquer ? On décortique le tout pour vous.

Les Ray-Ban Meta Gen 2 sont là : on craque ou on attend ?

Rêvez de filmer un concert ou une recette sans sortir votre smartphone ? Les Ray-Ban Meta Gen 2, à 419 €, relancent le concept avec une batterie doublée et une caméra 3K. Faut-il sauter le pas ?

La Gen 1 proposait déjà une caméra 12 MP et 4 heures d’autonomie. La Gen 2 pousse le curseur : 8 heures de batterie, vidéos en 3K et options 720p à 120 FPS. Un combo alléchant pour les créateurs de contenu, mais le prix pique un peu.

On décortique les atouts et les limites pour vous aider à trancher.

Gen 1 vs Gen 2 : le match des lunettes connectées

Autonomie : le marathonien a remplacé le sprinteur

La batt’ a pris un sérieux coup de jeune. La Gen 1 claquerait la porte après 4 heures d’utilisation. La Gen 2, elle, enchaîne les huit heures sans broncher. Fini l’angoisse du black-out en pleine journée. L’étui de rechargement s’y met aussi : 48 heures d’autonomie supplémentaire, c’est 2 jours sans prise électrique. Et pour les pressés, 20 minutes de charge = 50% de batterie dans les verres. 8 heures sur les yeux, 48 heures d’autonomie supplémentaire dans la poche : les Gen 2 veulent pas faire dans la demi-mesure. Testez-les sur un trajet en TGV ou une journée shopping, vous verrez la différence.

Caméra et vidéo : passez enfin en haute définition

Les photos passent du flou artistique au cliché net. Le capteur saute de 5 à 12 MP : fini les selfies façon pixel art. Les vidéos ? La Gen 1 balbutiait en 720p, la Gen 2 envoie du 3K Ultra HD ou 1080p à 30 ips. Même en mode accéléré (jusqu’à 60 ips), l’image reste nette. Les cinq microphones (vs 2 sur la Gen 1) captent le moindre son, idéal pour des appels clairs dans un café bruyant. Le stockage bondit à 32 Go (vs 4 Go) : stockez des centaines de photos ou des dizaines de vidéos HD sans smartphone. Et avec la puce Qualcomm à l’intérieur, les algorithmes de traitement d’image et de son réagissent en temps réel. Pourquoi se contenter de la bascule 4G/5G quand on peut switcher entre modes photo, vidéo et musique en un claquement de doigts ?

Le comparatif qui met tout le monde d’accord

CaractéristiqueRay-Ban Meta Gen 1Ray-Ban Meta Gen 2
Autonomie (lunettes)4 heuresJusqu’à 8 heures
Autonomie (étui)32 heures48 heures
Caméra (Photo)5 Mégapixels12 Mégapixels
Vidéo (Résolution max)720p3K (1440p) / 1080p
Microphones25
Stockage4 Go32 Go
ProcesseurN/AQualcomm Snapdragon AR1 Gen 1
Poids~ 48 g~ 51 g
LedLED présente, moins lumineuse (signal plus discret)LED présente, plus brillante selon certaines sources

Pas besoin de déballer la notice : le tableau parle de lui-même. La Gen 2 casse les codes sur tous les paramètres. Pour plus de détails, découvrez les différences techniques entre la Gen 1 et la Gen 2.

Lunettes META Rayban Gen 1
Lunettes META Rayban Gen 1
Lunettes META Rayban Gen 2
Lunettes META Rayban Gen 2

Ok, mais concrètement, ça sert à quoi ces lunettes ?

Vous rêvez de filmer votre quotidien sans lâcher vos activités ? Les lunettes de soleil Ray-Ban Meta transforment votre vision en caméra d’action. Capteur 12MP, vidéo en 3K, diffusion Instagram/Facebook en direct : elles captent votre café matinal, randonnées ou soirées entre potes en POV. Sans smartphone en main. Votre vie, filmée comme un docu Netflix.

Le couteau suisse du créateur de contenu

Le livestreaming sur Instagram et Facebook jusqu’à 30 minutes est un atout. L’appli Meta AI gère les connexions, un double clic bascule les vues. La résolution est inférieure à un smartphone, mais l’immersion compense. Exemple ? Filmer un tag en direct, les mains libres pour créer sans pause. Une erreur ? L’appli corrige en temps réel via le téléphone.

Votre assistant personnel sur le bout du nez

  • Photos 12MP, vidéos 3K en POV.
  • Live sur Instagram/Facebook.
  • Musique/podcasts en privé.
  • Appels clairs via 5 micros.
  • Vocal Meta AI pour commandes.

Le vrai + ? Meta AI. « Hey Meta, prends une photo » active la caméra. Un rappel vocal ? « Hey Meta, dis-moi quand mes œufs sont cuits ». La traduction en direct (bêta) déchiffre panneaux ou conversations. Parfait pour un voyage à Barcelone, menus traduits en direct sur les verres.

Here’s a first look at the navigation feature on the Meta Ray-Ban Display glasses. Aside from one bug of walking backwards and Meta AI mishearing a different address, it has successfully guided me to several locations. Solid connection, accurate and feels natural to use. pic.twitter.com/rPi4roV8eu

— Nathie (@NathieVR) October 2, 2025

Musique et appels, les mains dans les poches

Les 5 micros offrent un son immersif en écoute. Pas d’écouteurs qui glissent en courant. En appel, votre voix reste claire même dans le métro. Compatibilité iPhone via Bluetooth : FaceTime non pris en charge, mais les appels standards passent. Batterie : 5h (streaming + musique), 12h en écoute. À 419 €, c’est un investissement, mais pour usages créatifs/nomades, le chargeur tient dans un sac à dos.

Et le look ?

Ray-Ban, c’est du lourd. Ces lunettes restent stylées, même avec la tech intégrée. Deux modèles phares : le Wayfarer (icône vintage) et le Headliner (solide et moderne). Pas de gadget moche : la caméra, les micros et l’écran passent inaperçus. Dispo sur le site officiel Ray-Ban, avec options de prescription et verres Transitions® pour s’adapter à la lumière. Vous choisissez la monture, les verres, et même la taille (standard ou large). Essayage virtuel possible pour éviter les mauvaises surprises. Bref, c’est du Ray-Ban pur jus, avec un peu d’âme futuriste en plus.

Quid de l’autonomie et de la charge rapide ?

Là, on vous rassure : la Gen 2 est un marathonien. 8 heures d’utilisation normale, 48 heures en étui de charge. Et si vous êtes en panique, 20 minutes de charge pour 50 %, c’est quand même du niveau boss. Pour une journée de balade, de tournage de vlog, ou de réunions en déplacement, vous êtes tranquilles. Par contre, si vous faites un live de 30 minutes sur Insta (oui, c’est possible), vous sentirez la batterie fondre un peu plus vite. Mais bon, c’est le jeu avec les tech de ce genre. Après, à vous de voir si vous préférez un truc qui tient 4h max comme avant, ou un bijou qui vous suit toute la journée. L’évolution, c’est aussi ça, non ?

Alors, on sort la carte bleue pour les Ray-Ban Meta Gen 2 ?

Le prix de l’innovation : combien ça coûte ? Pour les lunettes connectées, il faut prévoir le budget. Les Ray-Ban Meta Gen 2 démarrent à 419 € pour le modèle Wayfarer. C’est bien plus qu’un accessoire classique, mais l’investissement offre des lunettes connectées avec une caméra 12 MP, une autonomie de 8 heures et une traduction en direct en 6 langues. C’est 2x plus que la Gen 1, mais aussi 2x plus de fonctionnalités. C’est 2x plus que la Gen 1, mais aussi 2x plus de fonctionnalités. Vous payez pour la tech, le style Ray-Ban indémodable, et l’IA Meta qui vous sert des trucs utiles sans sortir votre smartphone. Un luxe ? Peut-être. Mais quand vous réalisez qu’un appel clair en pleine rue ou une vidéo 3K de qualité pro, c’est possible en un claquement de doigts, vous vous dites que ça se justifie… si vous avez le budget.

Le verdict final : pour qui, pour quoi ?

Ces lunettes s’adressent aux passionnés de tech et créateurs de contenu, adeptes de captations discrètes. Si vous en faites partie, les améliorations (8h d’autonomie, vidéo 3K) valent le détour. En revanche, oubliez si vous cherchez juste des lunettes de soleil ou un affichage AR dans les verres : ce n’est pas encore ça.

Les Ray-Ban Meta Gen 2 ne sont plus un jouet pour geeks. Un produit mature, mais réservé à une niche exigeante.

Un objet technologique abouti, mais pas pour tout le monde. Alors, tenté ?

Bref, les Ray-Ban Meta Gen 2, c’est le graal high-tech pour créateurs compulsifs ou addicts de gadgets stylés. Un produit mûr, mais réservé aux passionnés prêts à lâcher 499 €. Pour les autres ? Un luxe gadget. Et vous, tenté par l’aventure ou pas encore convaincu ?

FAQ

Faut-il un abonnement payant ?

Zéro frais caché. Le prix d’achat (entre 299 et 459 $ selon les modèles) inclut toutes les fonctionnalités. Pas de souscription à vie, pas de mise à jour facturée, même les mises à jour logicielles (avec des trucs comme l’hyperlapse ou le slow motion) sont offertes. Vous payez une fois, vous profitez. Point barre.

Compatibles avec mon iPhone ou mon smartphone Android ?

Oui, sans prise de tête. Les Ray-Ban Meta Gen 2 se connectent en Bluetooth via l’appli Meta View, compatible iOS et Android. Pas besoin de bidouiller : branchez-les, et c’est parti. Vous recevez notifications, musiques, appels téléphoniques.

On peut faire un FaceTime avec ?

Non, le streaming vidéo est bridé aux plateformes Meta (Direct Instagram/Facebook). Il n’est pas possible d’utiliser WhatsApp, Zoom, Teams, FaceTime.

Reçu — 14 octobre 2025

La liste du nouveau gouvernement contiendrait des noms générés par IA

14 octobre 2025 à 12:15

Marina Ferrari, Françoise Gatel, Laurent Panifous… Voici quelques noms de nouveaux ministres et ministres délégués du gouvernement Lecornu II. S’ils ne vous disent absolument rien, c’est parce que, selon des proches du Premier ministre, ils ont été générés par une intelligence artificielle. “Pour son premier gouvernement, on a reproché à Sébastien Lecornu d’avoir pris que des personnalités politiques connues et éprouvées. Cette fois-ci, il a décidé de trancher en prenant des personnes inconnues, ou même inexistantes” déclare un proche du Premier ministre.

Afin de ne pas être repéré, le Premier ministre a également généré des photos aléatoires pour les quelques ministres non existants, dont les noms ont été créés de toutes pièce par ChatGPT. “Le Premier ministre a dû faire un nouveau gouvernement en 48 heures, c’est impossible. Comme il sait pertinemment que son gouvernement tiendra au plus quelques semaines, il sait dit que le temps qu’il soit démasqué, il ne serait déjà plus chef du gouvernement” admet une source proche du dossier. 

D’autres utilisations de l’IA en politique

Si cette initiative du Premier ministre peut surprendre, il faut savoir que ce n’est pas la première fois que des personnalités politiques utilisent l’intelligence artificielle. En effet, l’ancien Premier ministre Michel Barnier avait également utilisé ChatGPT pour se générer une page Wikipédia, pour faire croire qu’il avait eu une vraie carrière.

L’article La liste du nouveau gouvernement contiendrait des noms générés par IA est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.

Reçu — 10 octobre 2025

Réparation Apple : les bonnes raisons de confier son appareil à un pro

10 octobre 2025 à 08:13

À l’ère du numérique, nos appareils Apple sont devenus de véritables prolongements de notre vie quotidienne. Que ce soit un iPhone pour rester connecté, un MacBook pour travailler ou un iPad pour se divertir, ces outils technologiques représentent un investissement considérable. Face à une panne ou un dysfonctionnement, la question se pose inévitablement : faut-il tenter une réparation soi-même, remplacer l’appareil ou faire appel à un professionnel qualifié ?

L’écosystème Apple : une technologie sophistiquée qui nécessite une expertise

Les produits Apple se distinguent par leur design élégant et leur intégration matérielle-logicielle poussée. Contrairement à de nombreux appareils électroniques grand public, les iPhone, iPad et MacBook sont conçus avec une architecture interne complexe où chaque composant est optimisé pour fonctionner en parfaite harmonie avec les autres. Cette sophistication technique, si elle garantit des performances exceptionnelles, rend également les interventions de réparation particulièrement délicates.

Les circuits imprimés miniaturisés, les composants soudés en surface et les systèmes de sécurité intégrés requièrent des compétences spécialisées et un outillage professionnel. Une manipulation inappropriée peut non seulement aggraver le problème initial, mais également endommager irrémédiablement d’autres composants sensibles. C’est pourquoi la réparation Apple devrait être confiée à des techniciens formés et expérimentés.

Quand faut-il envisager une réparation plutôt qu’un remplacement ?

Les pannes courantes qui justifient une réparation

Certaines défaillances techniques sont parfaitement réparables et ne nécessitent pas l’achat d’un nouvel appareil. Parmi les problèmes les plus fréquents, on retrouve l’écran fissuré ou cassé, qui représente environ 70% des réparations d’iPhone selon les statistiques du secteur. Le remplacement d’un écran par un professionnel coûte généralement entre 150 et 400 euros selon le modèle, soit bien moins que l’achat d’un appareil neuf.

La batterie défectueuse constitue également un motif de réparation très courant. Avec le temps et les cycles de charge, la capacité de la batterie diminue naturellement. Lorsque votre iPhone ou MacBook ne tient plus qu’une demi-journée alors qu’il offrait auparavant une autonomie d’une journée complète, le remplacement de la batterie s’impose comme une solution économique et écologique. Cette intervention, réalisée par un professionnel, redonne une seconde jeunesse à votre appareil pour une fraction du coût d’un remplacement.

Autres pannes fréquemment réparables :

  • Problèmes de charge ou connecteur Lightning/USB-C défectueux
  • Boutons d’alimentation ou de volume qui ne répondent plus
  • Caméra floue ou qui ne fonctionne pas correctement
  • Haut-parleurs ou microphone défaillants
  • Dégâts des eaux avec intervention rapide
  • Problèmes logiciels nécessitant une restauration approfondie

Évaluer le rapport coût-bénéfice

La décision de réparer ou remplacer doit prendre en compte plusieurs facteurs. L’âge de l’appareil constitue un critère déterminant : un iPhone de moins de trois ans ou un MacBook de moins de cinq ans mérite généralement d’être réparé, surtout si la panne est localisée. La valeur de revente potentielle entre également en ligne de compte. Un appareil réparé professionnellement conserve une valeur marchande supérieure à un appareil défectueux.

Le coût de la réparation ne devrait idéalement pas excéder 50 à 60% de la valeur actuelle de l’appareil. Au-delà de ce seuil, il peut être plus judicieux d’envisager un remplacement. Néanmoins, cette règle admet des exceptions, notamment lorsque l’appareil contient des données importantes ou présente des configurations spécifiques difficiles à recréer.

Les risques de la réparation amateur et des solutions non professionnelles

L’attrait des tutoriels en ligne et des kits de réparation à prix réduit peut sembler tentant pour réduire les coûts. Cependant, les risques associés aux réparations non professionnelles sont nombreux et souvent sous-estimés. La manipulation d’appareils Apple requiert non seulement des outils spécifiques, mais également une compréhension approfondie de leur architecture interne.

Les batteries lithium-ion, par exemple, présentent des dangers réels si elles sont manipulées incorrectement. Un perçage ou une déformation peut provoquer un incendie ou une explosion. De même, l’utilisation de pièces détachées de contrefaçon ou de qualité inférieure peut compromettre les performances de l’appareil, voire présenter des risques pour la sécurité. Ces composants non certifiés peuvent provoquer des courts-circuits, endommager la carte mère ou affecter d’autres fonctionnalités.

Par ailleurs, toute intervention non autorisée annule généralement la garantie constructeur ou AppleCare+. Même si votre appareil n’est plus sous garantie, une réparation amateur mal exécutée peut rendre impossible toute intervention professionnelle ultérieure, transformant un problème mineur en perte totale de l’appareil.

Les avantages de faire appel à un professionnel certifié

Garantie de qualité et expertise technique

Les professionnels de la réparation Apple disposent d’une formation spécialisée et d’une expérience concrète sur des centaines, voire des milliers d’appareils. Cette expertise leur permet de diagnostiquer rapidement la source exacte du problème et d’identifier d’éventuels défauts connexes qui pourraient passer inaperçus pour un non-initié. Ils utilisent des équipements de diagnostic professionnels et des outils calibrés pour garantir une intervention précise et sécurisée.

Un réparateur certifié utilise exclusivement des pièces détachées d’origine ou certifiées compatibles, garantissant ainsi la qualité et la longévité de la réparation. Ces composants sont testés selon les standards d’Apple et assurent une compatibilité parfaite avec votre appareil. De plus, les professionnels offrent généralement une garantie sur leurs interventions, vous protégeant contre d’éventuels défauts de fabrication des pièces ou erreurs de manipulation.

Gain de temps et tranquillité d’esprit

Confier son appareil à un professionnel, c’est aussi s’épargner des heures de recherche, de démontage hasardeux et de stress. Alors qu’une réparation amateur peut s’étendre sur plusieurs jours entre les commandes de pièces, les erreurs et les recommencements, un professionnel qualifié effectue généralement l’intervention en quelques heures ou, au maximum, en quelques jours pour les réparations complexes.

Cette efficacité permet de minimiser la période sans votre appareil, particulièrement critique pour les professionnels qui dépendent de leur iPhone ou MacBook pour leur activité. Certains prestataires proposent même des services express ou des appareils de prêt pour garantir la continuité de votre usage numérique.

L’aspect écologique et économique de la réparation

Au-delà des considérations purement techniques, faire réparer son appareil Apple plutôt que de le remplacer systématiquement présente des avantages environnementaux considérables. L’industrie électronique génère chaque année des millions de tonnes de déchets électroniques, dont seule une fraction est correctement recyclée. Selon l’ONU, prolonger la durée de vie des appareils électroniques constitue l’une des actions les plus efficaces pour réduire l’empreinte écologique du secteur numérique.

La fabrication d’un smartphone nécessite l’extraction de métaux rares, une consommation énergétique importante et génère une empreinte carbone significative. Réparer plutôt que remplacer permet d’éviter ces impacts environnementaux tout en réalisant des économies substantielles. Un iPhone réparé pour 200 euros offre les mêmes fonctionnalités qu’un modèle neuf à 1000 euros, représentant une économie de 80%.

Cette démarche s’inscrit dans une logique d’économie circulaire encouragée par les politiques publiques européennes. Le droit à la réparation, progressivement renforcé par les législations nationales et européennes, vise à favoriser la réparabilité des appareils et à lutter contre l’obsolescence programmée. En choisissant la réparation, vous participez activement à ce mouvement en faveur d’une consommation plus responsable et durable.

Comment choisir le bon professionnel pour sa réparation Apple ?

Les certifications et agréments à vérifier

Tous les réparateurs ne se valent pas, et il convient d’être vigilant dans le choix de votre prestataire. Les centres de services agréés Apple (Apple Authorized Service Provider) bénéficient d’une formation directe du constructeur et utilisent exclusivement des pièces d’origine. Ils représentent l’option la plus sûre, bien que souvent la plus coûteuse.

Les réparateurs indépendants qualifiés constituent une alternative intéressante, offrant généralement des tarifs plus compétitifs tout en maintenant un niveau de qualité élevé. Vérifiez que le professionnel dispose de certifications reconnues, de bonnes évaluations clients et qu’il offre une garantie sur ses interventions. La transparence sur les pièces utilisées et les tarifs pratiqués constitue également un indicateur de sérieux.

Les questions à poser avant de confier son appareil

Avant de laisser votre précieux appareil entre les mains d’un réparateur, n’hésitez pas à poser des questions essentielles : quel est le délai d’intervention ? Quelle garantie est offerte sur la réparation ? Les pièces utilisées sont-elles d’origine ou certifiées ? Le devis est-il gratuit et sans engagement ? Ces interrogations légitimes vous permettront d’évaluer le professionnalisme du prestataire et d’éviter les mauvaises surprises.

Assurez-vous également que le réparateur respecte la confidentialité de vos données. Un professionnel sérieux s’engage à ne pas accéder à vos informations personnelles et vous recommandera toujours d’effectuer une sauvegarde avant toute intervention. Certains proposent même de signer un accord de confidentialité pour les professionnels manipulant des données sensibles.

@post_luxembourg

POST est le premier et le seul opérateur de téléphonie mobile en Europe à effectuer directement en interne des réparations certifiées et approuvées par Apple, sans avoir recours à des sous-traitants. Plus d’infos sur www.post.lu/reparation #Luxemourg #POSTLuxembourg #Apple #AppleRepair

♬ original sound – POST Luxembourg – POST Luxembourg

Conclusion : la réparation professionnelle, un choix intelligent

Face à un appareil Apple défaillant, la tentation du remplacement immédiat ou de la réparation amateur peut sembler séduisante. Pourtant, confier son iPhone, iPad ou MacBook à un professionnel qualifié s’impose comme la solution la plus sage à bien des égards. Cette approche conjugue expertise technique, garantie de qualité, économies financières et responsabilité environnementale.

Les produits Apple sont conçus pour durer et offrir des performances optimales pendant de nombreuses années. Une réparation professionnelle permet de prolonger significativement leur durée de vie, tout en préservant leur valeur et leurs fonctionnalités. À l’heure où la surconsommation électronique pose des défis environnementaux majeurs, choisir de réparer plutôt que de remplacer devient un geste citoyen autant qu’une décision économique rationnelle.

N’attendez pas qu’un petit problème devienne une panne majeure : consultez un professionnel dès les premiers signes de dysfonctionnement. Votre appareil, votre portefeuille et la planète vous en remercieront.

L’article Réparation Apple : les bonnes raisons de confier son appareil à un pro est apparu en premier sur Raspberry Pi France.

Reçu — 9 octobre 2025

Du prototype IoT à l’app mobile : la vision d’Openium sur l’écosystème connecté

9 octobre 2025 à 13:53

L’Internet des Objets transforme progressivement notre quotidien, créant des ponts entre le monde physique et numérique. Pourtant, le chemin qui mène d’un prototype connecté prometteur à une application mobile pleinement fonctionnelle reste semé d’embûches techniques et stratégiques. Cette transformation exige une compréhension approfondie des enjeux technologiques, des besoins utilisateurs et des contraintes de production.

L’IoT : bien plus qu’une simple connexion

La définition de l’Internet des Objets (IoT) englobe l’ensemble des dispositifs physiques capables de collecter, transmettre et échanger des données via Internet. Cette définition, apparemment simple, cache une réalité bien plus complexe. Derrière chaque objet connecté se dissimule un écosystème technique sophistiqué composé de capteurs, de protocoles de communication, de plateformes cloud et d’interfaces utilisateurs.

L’enjeu principal ne réside plus dans la capacité à connecter un objet – cette technologie est désormais mature – mais dans la création d’une expérience utilisateur fluide et intuitive. Un thermostat connecté qui nécessite dix manipulations pour ajuster la température ou une montre intelligente dont l’application mobile se déconnecte régulièrement ne répondent pas aux attentes des utilisateurs contemporains, habitués à l’immédiateté et à la simplicité.

Le défi de la transition : du laboratoire au marché

Transformer un prototype IoT fonctionnel en produit commercial représente un défi considérable. En phase de prototypage, les équipes se concentrent légitimement sur la preuve de concept : démontrer que la technologie fonctionne. Cependant, cette phase ne constitue que le premier jalon d’un parcours bien plus long.

La transition vers le produit fini nécessite une industrialisation rigoureuse. Les composants électroniques doivent être sourcés de manière pérenne, les coûts de production optimisés, et la fiabilité garantie sur des milliers d’unités. Parallèlement, l’infrastructure logicielle doit évoluer d’un environnement de développement vers une architecture scalable capable de gérer des centaines de milliers de connexions simultanées.

C’est précisément à ce stade que l’expertise d’Openium, expert en développement d’applications mobiles, devient déterminante. La conception de solutions connectées exige une vision holistique où le hardware, le backend et les applications mobiles sont pensés comme un ensemble cohérent plutôt que comme des composants isolés.

L’architecture technique d’un écosystème connecté robuste

Un écosystème IoT performant repose sur plusieurs piliers technologiques interdépendants. Au niveau matériel, le choix des protocoles de communication constitue une décision stratégique majeure. Bluetooth Low Energy, Wi-Fi, LoRaWAN, Sigfox ou encore les réseaux cellulaires LTE-M présentent chacun des avantages et des limitations en termes de portée, de consommation énergétique et de débit de données.

La couche backend joue un rôle central dans la gestion des flux de données. Elle doit assurer la réception des informations transmises par les objets, leur traitement en temps réel, leur stockage sécurisé et leur mise à disposition via des APIs performantes. Les architectures basées sur des services cloud comme AWS IoT Core, Azure IoT Hub ou Google Cloud IoT offrent la scalabilité nécessaire, mais leur configuration optimale requiert une expertise pointue.

L’application mobile constitue la vitrine de tout l’écosystème. Elle doit offrir une interface intuitive, des temps de réponse rapides et une synchronisation fiable avec les objets connectés. La gestion des états de connexion, la mise en cache intelligente des données et la résilience face aux interruptions réseau représentent autant de défis techniques à surmonter.

Écosystème IoT moderne avec objets connectés, cloud et applications mobiles

La sécurité : un impératif non négociable

La multiplication des objets connectés s’accompagne d’une augmentation exponentielle des surfaces d’attaque potentielles. Chaque dispositif IoT représente un point d’entrée possible pour des acteurs malveillants. Les exemples de caméras de surveillance piratées ou de thermostats utilisés dans des attaques DDoS ne manquent malheureusement pas.

Une stratégie de sécurité robuste doit être intégrée dès la conception du prototype. L’authentification mutuelle entre l’objet et le serveur, le chiffrement des communications via TLS, la signature des mises à jour firmware et la gestion sécurisée des identifiants constituent le socle minimal. Au niveau applicatif, l’implémentation de mécanismes d’authentification forte, comme l’authentification biométrique ou à deux facteurs, renforce significativement la protection des données utilisateurs.

La conformité au RGPD ajoute une dimension supplémentaire, particulièrement pour les objets collectant des données personnelles sensibles. Le principe de minimisation des données, la transparence sur leur utilisation et la possibilité pour l’utilisateur d’exercer ses droits d’accès et de suppression doivent être intégrés nativement dans l’architecture.

L’expérience utilisateur comme facteur différenciant

Dans un marché IoT de plus en plus saturé, la qualité de l’expérience utilisateur devient un avantage compétitif décisif. Les utilisateurs ne tolèrent plus les interfaces complexes ou les processus d’installation laborieux. L’onboarding – la première prise en main de l’objet et de son application – doit être pensé avec un soin particulier.

Les meilleures applications IoT guident l’utilisateur pas à pas dans le processus de configuration, utilisent la détection automatique des périphériques Bluetooth ou Wi-Fi, et proposent des tutoriels interactifs contextuels. L’objectif consiste à réduire le temps entre le déballage du produit et sa première utilisation effective à quelques minutes.

Au-delà de l’installation initiale, l’interface quotidienne doit privilégier la clarté et l’efficacité. Les tableaux de bord surchargés d’informations laissent place à des visualisations épurées qui mettent en avant les données essentielles. Les notifications push, lorsqu’elles sont utilisées, doivent être pertinentes et contextuelles, au risque d’être désactivées par des utilisateurs saturés.

L’intelligence artificielle au service de l’IoT

L’intégration de l’intelligence artificielle et du machine learning ouvre des perspectives considérables pour les objets connectés. Au-delà de la simple collecte de données, les systèmes deviennent capables d’apprentissage et d’adaptation aux habitudes des utilisateurs.

Un thermostat intelligent moderne n’attend plus que l’utilisateur programme manuellement ses préférences. Il analyse les patterns de présence, les ajustements manuels effectués et les données météorologiques pour anticiper les besoins et optimiser automatiquement la température. Cette intelligence peut être déployée directement sur l’objet (edge computing) pour des réponses ultrarapides, ou dans le cloud pour des analyses plus complexes.

Les assistants vocaux comme Alexa ou Google Assistant s’intègrent naturellement dans cet écosystème, offrant une interface conversationnelle qui simplifie radicalement l’interaction. La commande vocale devient particulièrement pertinente pour les objets domotiques, permettant un contrôle mains libres naturel et intuitif.

La gestion du cycle de vie produit

Un aspect souvent sous-estimé concerne la maintenance et l’évolution post-lancement. Un objet connecté n’est jamais véritablement “terminé”. Les mises à jour firmware permettent de corriger des bugs, d’améliorer les performances et d’ajouter de nouvelles fonctionnalités. L’application mobile évolue parallèlement pour rester compatible avec les dernières versions des systèmes d’exploitation mobiles.

Cette dynamique d’amélioration continue nécessite une infrastructure de déploiement OTA (Over-The-Air) robuste. Les mises à jour doivent être déployées progressivement, avec des mécanismes de rollback en cas de problème. La télémétrie embarquée permet de monitorer la santé du parc d’objets déployés et d’identifier rapidement les dysfonctionnements émergents.

La collecte et l’analyse des données d’usage fournissent des insights précieux pour orienter la roadmap produit. Quelles fonctionnalités sont réellement utilisées ? Où les utilisateurs rencontrent-ils des difficultés ? Ces questions guident l’évolution du produit vers une valeur utilisateur maximale.

L’interopérabilité : vers un écosystème ouvert

L’avenir de l’IoT réside dans l’interopérabilité. Les utilisateurs ne veulent plus gérer dix applications différentes pour leurs dix objets connectés. Les standards émergents comme Matter (anciennement Project CHIP) promettent une compatibilité native entre les dispositifs de différents fabricants.

Cette ouverture représente un défi technique mais aussi une opportunité stratégique. En adhérant aux standards industriels, les fabricants facilitent l’intégration de leurs produits dans des écosystèmes plus larges. Un capteur de qualité d’air compatible Matter peut ainsi être intégré dans des scénarios domotiques complexes orchestrés par n’importe quelle plateforme certifiée.

Les APIs ouvertes et bien documentées permettent également à des développeurs tiers de créer des intégrations innovantes. Cette approche “plateforme” démultiplie la valeur du produit en l’insérant dans un réseau d’interactions plus vaste.

Le modèle économique des solutions connectées

Le développement d’un écosystème IoT complet représente un investissement conséquent. Au-delà des coûts de R&D et de production, l’infrastructure cloud génère des coûts récurrents proportionnels au nombre d’utilisateurs actifs. Cette réalité économique influence profondément les modèles commerciaux.

Certains fabricants optent pour un modèle freemium où les fonctionnalités de base restent gratuites, tandis que des fonctionnalités avancées (analyse historique des données, automatisations complexes, stockage cloud étendu) sont proposées via un abonnement mensuel. D’autres privilégient un modèle d’achat unique, mais doivent alors dimensionner leur infrastructure pour absorber les coûts opérationnels sur la durée de vie du produit.

La monétisation des données, lorsqu’elle est réalisée dans le respect de la vie privée et avec le consentement explicite des utilisateurs, peut constituer une source de revenus complémentaire. Les données agrégées et anonymisées sur la consommation énergétique, par exemple, intéressent les fournisseurs d’énergie pour optimiser leurs réseaux.

La scalabilité : anticiper la croissance

Un prototype validé avec cent utilisateurs beta testeurs doit pouvoir évoluer pour servir cent mille utilisateurs, voire davantage. Cette scalabilité ne s’improvise pas et doit être anticipée dès les phases de conception architecturale.

L’utilisation de conteneurs Docker et d’orchestrateurs comme Kubernetes facilite le déploiement et la gestion d’infrastructures élastiques qui s’adaptent automatiquement à la charge. Les bases de données doivent être choisies en fonction de leurs capacités de scaling horizontal. Les files d’attente de messages (RabbitMQ, Apache Kafka) permettent de gérer les pics de trafic sans perte de données.

Les tests de charge deviennent essentiels avant tout lancement commercial significatif. Ils permettent d’identifier les goulots d’étranglement et de valider que l’infrastructure tiendra sous une charge réelle. L’observabilité – la capacité à comprendre l’état interne du système à partir des données qu’il génère – constitue un prérequis pour opérer efficacement un service à grande échelle.

L’accompagnement utilisateur et le support

Même la solution la plus intuitive génère inévitablement des questions et des demandes de support. La mise en place d’un système d’assistance efficace participe directement à la satisfaction utilisateur et à la réputation du produit.

Une base de connaissances exhaustive, régulièrement mise à jour, permet aux utilisateurs de trouver des réponses aux questions fréquentes de manière autonome. Les tutoriels vidéo complètent utilement la documentation écrite en offrant des démonstrations visuelles des procédures complexes.

Pour les cas plus complexes, un système de ticketing bien organisé avec des temps de réponse garantis rassure les utilisateurs. L’intégration d’un chatbot intelligent en première ligne permet de traiter automatiquement les demandes simples et de qualifier les demandes plus complexes avant de les router vers des agents humains.

La vision d’Openium : une approche intégrée

La réussite d’un projet IoT repose sur une vision intégrée où chaque composant est pensé en fonction des autres. L’objet connecté ne peut être conçu indépendamment de son application mobile, qui elle-même doit s’appuyer sur une infrastructure backend robuste et évolutive.

Cette approche holistique nécessite une équipe pluridisciplinaire réunissant des compétences en hardware, firmware, développement backend, développement mobile, design UX/UI, et devops. La coordination entre ces différentes expertises constitue souvent le facteur limitant dans les projets IoT complexes.

L’agilité méthodologique permet de naviguer dans l’incertitude inhérente à l’innovation. Des cycles itératifs courts, avec des validations régulières auprès d’utilisateurs réels, permettent d’ajuster rapidement le tir et d’éviter les écueils coûteux d’une mauvaise orientation prise trop tardivement.

Vers l’avenir de l’IoT

Les prochaines années verront l’émergence de technologies qui transformeront encore davantage le paysage IoT. Les réseaux 5G apporteront des débits considérablement accrus et une latence réduite, ouvrant la voie à des applications temps réel exigeantes. L’edge computing déplacera une partie croissante du traitement vers les périphériques eux-mêmes, réduisant la dépendance au cloud et améliorant la réactivité.

La convergence entre IoT et blockchain pourrait résoudre certains défis de sécurité et de traçabilité, particulièrement dans les chaînes d’approvisionnement connectées. Les jumeaux numériques – répliques virtuelles d’objets physiques – permettront des simulations et des optimisations sophistiquées avant tout déploiement réel.

L’Internet des Objets continue sa maturation, passant progressivement du statut de technologie émergente à celui d’infrastructure essentielle de notre quotidien. Les acteurs qui sauront maîtriser la complexité de l’écosystème complet – du prototype à l’application mobile en passant par toutes les couches intermédiaires – seront les mieux positionnés pour capitaliser sur cette révolution connectée qui ne fait que commencer.

L’article Du prototype IoT à l’app mobile : la vision d’Openium sur l’écosystème connecté est apparu en premier sur Raspberry Pi France.

Reçu — 6 octobre 2025

Test MagFlow Qi2 25W de UGREEN : la batterie externe qui recharge rapidement votre iPhone ou Google Pixel

6 octobre 2025 à 16:51
UGREEN MagFlow Qi2 25W Batterie Externe 10000mAh

Compatible avec les iPhone 12 à 17, cette nouvelle batterie magnétique signée UGREEN promet une recharge rapide et stable grâce à la nouvelle norme Qi2. Nous l’avons testée dans plusieurs situations. Voici ce qu’elle vaut vraiment.

Les batteries externes MagSafe ne manquent pas sur le marché. Mais avec l’arrivée de la norme Qi2, les promesses changent : plus de vitesse, plus de stabilité, et surtout, moins de câbles à transporter. UGREEN fait partie des premières marques à proposer une batterie magnétique certifiée Qi2 25W, capable de recharger un iPhone 17 à 50 % en 38 minutes, sans aucun fil.

Déjà bien installée dans l’univers des accessoires de recharge, la gamme UGREEN MagFlow s’adresse ici aux utilisateurs d’iPhone 16 (avec iOS 26) et 17, mais aussi à ceux qui cherchent une batterie fiable pour plusieurs types d’appareils, qu’ils soient Apple ou Android (seul le Pixel 10 Pro XL est compatible Qi2 à 25W ; les autres se limitent à 15W).

Après plusieurs jours d’utilisation à la maison, au bureau et en déplacement, on vous dit tout : est-ce que cette batterie MagFlow vaut son prix ? Et surtout, est-elle vraiment taillée pour l’iPhone 17 ?

Design & format : une batterie pensée pour les usages quotidiens

Dès la première prise en main, la batterie externe magnétique UGREEN MagFlow 10 000mAh 25W donne le ton : compacte (110,8 x 70 x 21 mm), un format rectangulaire arrondi qui tient bien en main, un design sobre et solide, et surtout, une vraie impression de fiabilité. Sur la balance, elle affiche 255 grammes, soit un peu plus que certaines concurrentes MagSafe. La batterie affiche une capacité totale de 10 000 mAh (37Wh), sans précision sur le nombre de cellules. Mais de quoi recharger sans problème votre smartphone.

Charge simultanée : oui, mais avec des limites

Le modèle que nous avons testé promet jusqu’à trois appareils rechargés, une puissance filaire de 30W. Mais est-ce vraiment le cas ?

Nous avons testé avec des iPhone 14 Pro, iPhone 13, iPhone 11 Pro et AirPods Pro (ainsi que d’autres produits Apple) : dans aucun cas la batterie n’a permis de recharger trois smartphones simultanément.

Le fabricant précise que la configuration prévue est de pouvoir charger un iPhone, une Apple Watch et des AirPods en même temps. Néanmoins, la batterie peut alimenter deux smartphones maximum par câble.

En résumé : la batterie gère jusqu’à deux sorties filaires simultanées, ou une charge sans fil unique. Le triple chargement n’est possible que pour un smartphone + 2 accessoires à faible puissance (montre, écouteurs…).

Un câble USB-C intégré bien pensé

Le câble USB-C intégré, qui fait aussi office de sangle de transport, est une excellente idée. Il permet à la fois de recharger la batterie rapidement (30W max) et de l’utiliser pour alimenter d’autres appareils filaires si besoin. À l’usage, ce câble est solide, pratique, et tient bien en place une fois replié. Côté recharge sans fil, la promesse est claire : 25W en Qi2 pour les iPhone 16 et 17, et 15W max pour les modèles précédents compatibles MagSafe (iPhone 12 à 15). La batterie adapte automatiquement la puissance selon l’appareil, y compris pour les AirPods ou d’autres appareils certifiés Qi.

batterie externe MagFlow de UGREEN dans sa boîte
@Meilleure-Innovation
batterie externe MagFlow de UGREEN cable
@Meilleure-Innovation
poids ugreen magflow qi2 batterie
@Meilleure-Innovation

Un affichage numérique clair et précis

L’autre point fort de cette MagFlow, c’est son affichage numérique, placé discrètement sur le côté. Il indique le pourcentage de batterie restant avec une bonne lisibilité, même en plein jour. Et contrairement à certaines concurrentes qui misent sur 4 petits points LED (trop vagues), ce choix de l’affichage précis est appréciable au quotidien.

Un aimant puissant pour fixer votre smartphone

Enfin, l’aimantation est solide : avec une force de 9N, l’iPhone reste bien collé à la batterie même si vous le manipulez. En revanche, attention à l’utiliser sans coque ou avec une coque MagSafe. Les coques épaisses ou non compatibles font vite perdre le contact magnétique.

Compatibilité avec les iPhones et smartphones Android

  • iPhone 17 / 17 Pro / 17 Pro Max : Qi2 25W natif + MagSafe 25W.
  • iPhone 16 Plus / 16 Pro Max : Qi2 25W avec iOS 26.
  • iPhone 16 / 16 Pro : Qi2 22W avec iOS 26.
  • iPhone 12 à 15 : Qi2 15W (avec MagSafe).
  • Google Pixel 10 Pro XL : Qi2 25W.
  • Google Pixel 10 / 10 Pro / 10 Pro Fold : Qi2 15W.

Usage au quotidien : ressentis & limites

Nous avons utilisé la batterie Power Bank MagFlow pendant une semaine complète, dans des situations classiques : une journée de télétravail, une escapade en train, des déplacements en ville, et même une soirée sans prise à proximité. Résultat : elle tient le choc, avec une vraie polyvalence au quotidien.

Premier constat : le magnétisme est efficace, mais pas trop intrusif. L’iPhone 17 se fixe instantanément et reste bien maintenu, même dans un sac à main ou pendant une consultation prolongée à la verticale. On peut répondre à des messages, lancer une vidéo ou scroller sur Instagram sans voir l’iPhone glisser.

Recharge de l’iPhone avec écran numérique sur le côté
Recharge des écouteurs sans fil
@Meilleure-Innovation

Performances de recharge sans fil : nos mesures

La recharge sans fil est fluide, rapide quand on est sur un iPhone 16 ou 17, plus modérée (15W) sur les générations précédentes.

Dans nos tests, un iPhone 17 Pro Max est passé de 5 à 50 % (+45%) en 35 minutes sans surchauffe notable. On sent que la norme Qi2 fait la différence ici, en évitant les variations de puissance qu’on observe souvent sur d’autres batteries sans fil. Par contre, sur un iPhone 14 Pro, on est passé de 40 à 70% (+30%) en 38 minutes, c’est 30% de mieux que ce que nous avons observé sur le concurrent Anker MagGo Qi2 d’une autonomie et poids similaire (253g). Enfin, sachez que nos confrères de Macworld ont relevé 32 minutes pour passer de 0 à 50% de recharge sur un iPhone 16 Pro et 44 minutes pour la même chose sur un iPhone 15 Pro.

Selon les tests internes réalisés par le fabricant, les temps de charge observés sont les suivants :

  • iPhone 17 : 46 % en 30 minutes, 50 % en 33 minutes
  • iPhone 17 Pro : 42 % en 30 minutes, 50 % en 36 minutes
  • iPhone 17 Pro Max : 50 % en 30 minutes

Le constructeur précise que ces résultats ont été obtenus dans un environnement de laboratoire à 25 °C, et que les performances peuvent varier selon la température ambiante et celle du téléphone.
Une température trop élevée, par exemple si l’on recharge un smartphone juste après un usage intensif ou une session de jeu, peut activer un mécanisme de protection qui réduit automatiquement la puissance de charge.

Pro tip : l’usage d’une coque de protection sur votre smartphone peut ralentir la recharge par induction jusqu’à 50 % !

Autonomie & capacités filaires : ce qu’il faut retenir

La capacité de 10 000 mAh est suffisante pour 1 à 1,5 recharge complète d’un smartphone récent, voire plus si vous rechargez des AirPods ou un appareil moins énergivore. Lorsqu’on branche un appareil en USB-C, la batterie bascule en charge filaire à 30W, ce qui permet de recharger une tablette ou même un petit MacBook en dépannage. Le passage du sans-fil au filaire se fait automatiquement, sans manipulation.

À noter que l’Apple Watch ne se recharge pas directement via Qi/Qi2, sauf en branchant un module certifié MFi via USB-C.

Temps de recharge de la power bank

Côté recharge de la batterie elle-même, comptez environ 2 heures pour une charge complète via le câble intégré, à condition d’avoir un adaptateur secteur 30W compatible. Et si vous êtes pressé·e, les premiers 50 % sont atteints rapidement, ce qui peut sauver une journée.

ecran led batterie ugreen magflow
© Meilleure-Innovation
batterie externe MagFlow de UGREEN emballage
Emballage de qualité.

Limites & compromis à connaître

L’encombrement (11 × 7 × 2 cm) et le poids (255 g) ne la rendent pas la plus compacte du marché, même si cela reste acceptable pour une power bank magnétique 25W. On notera également l’absence de support intégré pour tenir le téléphone en mode portrait ou paysage.

Batterie externe UGREEN MagFlow : on recommande ?

Si vous cherchez une batterie magnétique compatible Qi2, la Power Bank UGREEN MagFlow Batterie externe Magnétique 10 000mAh 25W coche (presque) toutes les cases. Elle se distingue par sa vitesse de recharge réelle sur iPhone 16 et 17, son design bien pensé (affichage, câble intégré, finition propre), et sa polyvalence filaire / sans fil sans compromis.

Et si vous hésitez entre les différents modèles de produits UGREEN MagFlow, on vous recommande de jeter un œil à notre article dédié ci-dessous !

💾

Profitez des vidéos et de la musique que vous aimez, mettez en ligne des contenus originaux, et partagez-les avec vos amis, vos proches et le monde entier.
Reçu — 25 septembre 2025

Devolo lance le Magic 2 WiFi 6 next : CPL robuste, avec une puissance Wi-Fi allant jusqu’à 3 000 Mbps !

25 septembre 2025 à 18:44
Devolo Magic 2 WiFi 6 next

La connexion est toujours trop lente ? Flemme de changer de fournisseur ? Devolo, marque venue d’Aix-la-Chapelle, vous donne la solution avec son nouvel adaptateur CPL !

Du Wi-Fi, toujours plus de Wi-Fi ! C’est la tendance à laquelle nos activités nous poussent : télétravail la journée avec moult réunions visio, le streaming en 4K sur grand écran, le gaming en ligne sur le dernier MMORPG sorti… Nous y sommes, à l’ère de l’ultra-connexion. Sauf que les routeurs Wi-Fi peuvent observer des latences, un signal qui passe mal à travers les murs, surtout dans les immeubles anciens, les maisons à plusieurs étages ou les zones isolées.

Devolo Magic 2 WiFi 6 dans un salon
©Devolo

Mais qu’avons-nous ouï dire ? Que Devolo élargissait sa gamme CPL en sortant son nouveau fleuron, le Magic 2 WiFi 6 next, afin de pulvériser les limites du Wi-Fi domestique ? Mais alors, qu’est-ce qui change vraiment ? À qui cette technologie s’adresse-t-elle ? On a épluché le dossier, chiffres et retours à l’appui !

Caractéristique Techniques
Dimensions133 × 66 × 42 mm (adaptateur LAN)
ConnectivitéEthernet, Wi-Fi 6 double bande (2,4 + 5 GHz), Powerline (G.hn)
Norme WLANWi-Fi 6 (802.11ax)
Norme CPLG.hn (Vague 2)
Débits annoncésWi-Fi jusqu’à 3 000 Mb/s (574 + 2 402)
CPL brut jusqu’à 2 400 Mb/s
Fonctionnalité de maillageOui (y compris l’équité du temps d’antenne, le pilotage de la bande, le pilotage du client, etc.)
Ports LAN2x Gigabit Ethernet par adaptateur
MU-MIMOOui, bidirectionnel
OFDMAOui
Formation de faisceauxOui
Pilotage des points d’accèsOui
Fonctions d’économie d’énergieTechnologie PowerSafe

Puissance Wi-Fi amplifiée au niveau premium

Pour répondre au mieux à nos besoins croissants de bande passante sur des applications de plus en plus gourmandes, la boîte de ce nouvel adaptateur CPL G.hn promet une connexion sans fil allant jusqu’à 3 000 Mbps. À titre de comparaison, le précédent était à 1 800 Mbps grand maximum ! Niveau stabilité, le Magic 2 serait 10% plus performant que son aîné, permettant de profiter de votre meilleur réseau domestique sans interruption.

Le Wi-Fi maillé : la technologie qui optimise votre connexion

La commodité du maillage consiste à s’appuyer sur des technologies intelligentes pour optimiser automatiquement le flux de données pour un degré de fluidité maximal. Vous pourrez compter sur la stabilité de vos appels vidéo, les latences sur les jeux en ligne ne sont plus qu’un mauvais souvenir, et vos soirées cinéma pourront se faire en 4K voire en 8K : la fonction est entièrement automatique.

CPL et Wi-Fi 6 : comment ça marche ?

Les plafonds, les murs et même les conduites d’eau ralentissent considérablement les solutions
Wi-Fi classiques. Pour éviter cela, le principe est le suivant : le CPL (incluant la norme « Homegrid », également appelée norme G.hn) contourne les obstacles via les prises électriques, tandis que le mesh Wi-Fi 6 (standard 802.11ax) gère la couverture et fait “roamer” les appareils vers le meilleur point d’accès (band steering, airtime fairness, client/AP steering, MU-MIMO, OFDMA, WPA3).

Devolo Magic 2 WiFi 6 schéma
©Devolo

Pour assurer cette fonction, le module de pilotage de bande assure que l’adaptateur CPL bascule automatiquement entre les bandes de fréquences 2,4 GHz et 5 GHz.

“On avait un vrai souci dans le bureau sous les combles. Depuis, plus une coupure, même en visio et streaming UHD en simultané”, raconte Sophie, utilisatrice à Lille.

En somme, les utilisateurs bénéficient d’une connexion sans fil, mais le réseau domestique sous-jacent fonctionne de la même façon qu’une connexion par câble. Des coins quasi injoignables retrouvent une bande passante de niveau fibre. Le beurre et l’argent du beurre, ça s’appelle !

Installation : la simplicité ou rien !

Oubliez les notices indigestes et les installations à rallonge ; vous n’avez besoin d’aucune connaissance technique particulière pour installer et utiliser l’appareil. En effet, Devolo joue la carte du “plug & play” :

  • branchez l’adaptateur principal sur une prise électrique et reliez-le au routeur,
  • connectez les autres modules dans les pièces souhaitées,
  • en moins de deux minutes, les adaptateurs se synchronisent d’eux-mêmes,
  • le signal internet atteint désormais tous les appareils !

L’application devolo Home Network (iOS/Android) vous guide tout au long du processus grâce à un assistant d’installation. Elle sert ensuite à surveiller et optimiser votre réseau. En outre, le Magic 2 Wifi 6 est conçu pour fonctionner en parfaite harmonie avec les autres produits de la série Magic, afin de fournir un Wi-Fi encore plus rapide sur votre réseau domestique.

“J’ai mis moins de dix minutes pour couvrir trois étages. Pas besoin d’être ingénieur, c’est pensé pour monsieur tout-le-monde”, témoigne David, en test sur une vieille bâtisse bretonne.

Enfin, deux ports Gigabit Ethernet sont implantés sur chaque module ; vous pourrez ainsi choisir d’alimenter un appareil (console, TV, etc.) à partir de l’un de ses deux ports ou par le biais du Wi-Fi maillé.

Sécurité et gestion de la consommation

Le Magic 2 WiFi 6 next se distingue aussi par une gestion intelligente de la consommation, notamment grâce à la fonction « Target Wake Time », qui met les appareils en veille plus longtemps lorsqu’ils n’ont pas besoin d’une connexion sans fil constante.

Devolo Magic 2 WiFi 6 sorti de la boîte
©Devolo

De plus, les adaptateurs Magic 2 repassent automatiquement en mode économie d’énergie dès qu’ils ne sont plus en service. Côté sécurité, les utilisateurs bénéficieront d’un chiffrement WPA3 des données !

Pour qui et quelle disponibilité ?

À l’usage, le Magic 2 WiFi 6 next s’adresse principalement aux maisons à étages, logements anciens ou grandes surfaces où le réseau classique est en souffrance. Pour ceux qui jonglent avec plusieurs appareils et souffrent de zones mortes, c’est souvent le seul remède vraiment efficace. Comptez 270 € le kit de base, jusqu’à 470 € pour le pack multiroom chez la plupart des grands distributeurs !

boîte Devolo Magic 2 WiFi 6
©Devolo
boîte Devolo Magic 2 WiFi 6 multiroom
©Devolo

Si vous vivez en appartement récent, un mesh Wi-Fi standard suffira très probablement. Un adaptateur pour la mise à niveau depuis la version précédente coûte 210 €.

Vous avez testé ce type de solution ou vous hésitez à franchir le pas ? Pensez-vous que cette technologie puisse solutionner tous les problèmes des gamers et des télétravailleurs ? De quel équipement vous êtes-vous dotés ? Dites-nous tout en commentaires ! 

UGREEN lance 3 nouveaux accessoires qui vont (vraiment) simplifier la recharge de votre iPhone et Google Pixel

25 septembre 2025 à 03:14
UGREEN MagFlow

Ils ne font pas (encore) partie des marques les plus connues du grand public, et pourtant, UGREEN s’impose peu à peu comme un acteur solide dans l’univers de la recharge.

La marque chinoise, déjà bien installée dans le monde des hubs USB-C et des batteries externes, dévoile aujourd’hui une nouvelle gamme qui pourrait séduire les utilisateurs d’iPhone et de Google Pixel : MagFlow.

Au programme : trois accessoires sans fil, tous compatibles Qi2, conçus pour recharger un iPhone jusqu’à 25W sans passer par la case câble Lightning ou USB-C. À l’heure où Apple lance iOS 26 et les iPhone 17, ces nouveaux produits tombent à pic. Mais que valent-ils vraiment ? Et peuvent-ils faire mieux que les stations MagSafe classiques ? On fait le point.

Qi2, iPhone 16 et recharge magnétique : le bon timing pour UGREEN

Le timing est bien choisi. Alors qu’Apple a dévoilé iOS 26 et sa nouvelle génération d’iPhone, la technologie Qi2 arrive à maturité. Basée sur la même architecture que MagSafe, elle permet une recharge rapide jusqu’à 15W sur les modèles compatibles, et même jusqu’à 25W sur les iPhone 17 (et iOS 26), selon les premiers tests.

Contrairement aux chargeurs sans fil classiques, Qi2 repose sur un alignement magnétique plus précis, une efficacité énergétique accrue et une meilleure gestion thermique. De quoi accélérer la charge sans surchauffe, tout en gardant l’avantage du sans fil. UGREEN saisit cette opportunité pour lancer MagFlow, une série d’accessoires conçus pour tirer parti de ce nouveau standard.

Voici les compatibilités de puissance de recharge maximum par smartphone :

  • 25W : iPhone 16 Plus / 16 Pro Max (sous iOS 26) + iPhone 17 / 17 Pro / 17 Pro Max (Qi2 25W & MagSafe 25W) + Google Pixel 10 Pro XL.
  • 22W : iPhone 16 / 16 Pro.
  • 20W : iPhone Air (Qi2 20W & MagSafe 20W).
  • 15W : tous les iPhones 12 à iPhones 15 + Google Pixel 10 / 10 Pro / 10 Pro Fold.

1 – Une batterie externe magnétique Qi2 25W : UGREEN MagFlow Batterie Externe Magnétique 10 000 mAh 25 W

batterie externe Ugreen
@Meilleure-Innovation
batterie externe Ugreen
@Meilleure-Innovation
batterie externe Ugreen
@Meilleure-Innovation

Premier produit de la gamme : une batterie externe compacte, aimantée, certifiée Qi2. Elle permet de charger un iPhone 16 jusqu’à 22W (et 25W pour les iPhone 17) en mobilité, tout en conservant une bonne prise en main. L’esthétique rappelle les batteries MagSafe d’Apple, mais avec un design plus anguleux et une finition mate.

Le port USB-C permet aussi une recharge filaire classique, et la LED latérale indique le niveau de batterie restant. Une solution bien pensée pour les utilisateurs d’iPhone récents, mais aussi rétrocompatible avec les modèles Qi2 et Qi standards (charge à 15W max dans ces cas-là).

2 – Un chargeur sans fil 2-en-1, pour recharger 2 appareils en simultané : UGREEN MagFlow Chargeur Sans Fil Magnétique 2-en-1 25 W

chargeur sans fil 2-en-1 ugreen
@Meilleure-Innovation
chargeur sans fil 2-en-1 ugreen
@Meilleure-Innovation
chargeur sans fil 2-en-1 ugreen
@Meilleure-Innovation
chargeur sans fil 2-en-1 ugreen
Pratique, compacte, design : efficace finalement. @Meilleure-Innovation

Deuxième accessoire : une station d’accueil 2-en-1, idéale pour la table de nuit ou le bureau. Le socle magnétique accueille l’iPhone en position verticale, tandis qu’un second point de charge est prévu pour les AirPods (ou tout autre appareil compatible Qi).

La recharge monte ici aussi jusqu’à 22W sur les iPhone 16, et 15W sur les autres. Le format reste compact et discret, avec un design pliable pensé pour le transport. UGREEN vise clairement les utilisateurs Apple et Google Pixel souhaitant remplacer les stations MagSafe plus onéreuses… ou simplement fatigués des câbles emmêlés.

3 – Un chargeur 3-en-1 plus complet pour recharger jusqu’à 3 appareils : UGREEN MagFlow Chargeur de Bureau Sans Fil Magnétique 3-en-1 25 W

chargeur 3-en-1 ugreen
@Meilleure-Innovation
chargeur 3-en-1 ugreen
@Meilleure-Innovation
chargeur 3-en-1 ugreen
@Meilleure-Innovation
chargeur 3-en-1 ugreen
Rien à redire du côté du design ni du fait qu’il ne prenne pas de place ! @Meilleure-Innovation

Enfin, UGREEN propose une version 3-en-1 plus ambitieuse, capable de recharger simultanément un iPhone, une Apple Watch et des AirPods. Le tout en sans-fil, sans surchauffe, et avec la promesse de performances constantes grâce à la technologie PowerBoost intégrée.

Le support pour iPhone est inclinable, celui pour l’Apple Watch escamotable. L’ensemble reste sobre, avec une base antidérapante et un système d’aimants puissant pour assurer la stabilité. Sur le papier, c’est le produit le plus complet de la gamme MagFlow et le plus susceptible de rivaliser avec les stations de marques premium, à un tarif souvent plus doux.

Notre avis sur ces produits UGREEN MagFlow

Avec cette gamme MagFlow, UGREEN tape dans le mille. La marque anticipe bien le virage Qi2, en misant sur une compatibilité maximale et une montée en puissance bienvenue (jusqu’à 25W). Les trois produits ne cherchent pas à révolutionner le marché, mais à offrir des alternatives accessibles, bien pensées et compatibles avec l’écosystème Apple. On apprécie particulièrement le souci du détail dans le design, la compacité des formats et le bon rapport puissance/prix.

Et vous, vous attendez quoi d’un chargeur sans fil en 2025 ? Puissance, compacité, design, prix… dites-nous ce qui compte vraiment pour vous en commentaire.

Reçu — 11 septembre 2025

10 produits High-Tech 2025 beaucoup trop chers que je n’achèterai jamais

11 septembre 2025 à 17:01

On adore la technologie, mais soyons clairs : parfois, les prix atteignent un niveau complètement délirant. En 2025, certaines marques nous proposent des joujoux incroyables, mais qui coûtent l’équivalent d’un bon salaire annuel (voire plus). Alors oui, c’est beau, c’est puissant, c’est luxueux… mais faut pas pousser non plus. Voici une sélection de gadgets de rêve, que je ne verrai probablement jamais autrement qu’en photo.

Samsung 115″ Micro-RGB Vision AI Smart TV

Prix : ~28 000 €

Une télé gigantesque de 115 pouces avec une technologie micro-RGB de dernière génération. Qualité d’image bluffante, IA intégrée, design ultra-fin… mais sérieusement, qui a un salon de 50 m² juste pour coller un écran ?

Samsung MICRO-LED MS1C 114″

Prix : ~140 000 €

Là, on entre dans la stratosphère. Cet écran MicroLED, c’est le top du top. Netteté absolue, couleurs parfaites, taille démesurée. Le genre de télé qui coûte plus cher qu’un appartement.

Sennheiser Orpheus HE-1

Prix : ~55 000 €

Des écouteurs ? Non. Une expérience sensorielle ultime. Ce casque audiophile électrostatique avec ampli en marbre est une œuvre d’art. Mais à ce prix-là, je préfère un concert privé de mon groupe préféré.

Nvidia GeForce RTX 5090

Prix : ~1 900 €

La carte graphique la plus puissante jamais conçue. Capable de faire tourner n’importe quel jeu en 16K (oui oui). Problème : tu dois vendre un rein pour l’acheter.

Samsung Galaxy Z Fold 7

Prix : ~2 200 €

Encore plus fin, encore plus puissant, et toujours pliable. Oui, c’est futuriste. Mais à plus de 2 000 €, c’est un peu comme plier ton portefeuille en deux… pour ne plus jamais le rouvrir.

iPhone pliable (rumeur)

Prix estimé : ~2 600 €

Apple n’a pas encore confirmé, mais on sait déjà que si un iPhone pliable sort, il coûtera un bras. Et un bras Apple, c’est plus cher qu’un bras normal.

Hisense 116″ MiniLED RGB « 116UX »

Prix : ~28 000 €

Un écran énorme qui fait presque passer la Samsung pour une télé d’étudiant. Clairement pensé pour les milliardaires fans de sport ou de cinéma.

Razer Blade 18 (2025, config max)

Prix : ~4 800 €

Le PC portable gamer le plus puissant (et le plus cher) de 2025. Carte graphique dernier cri, écran 18 pouces, design premium… C’est un avion de chasse.

iPhone 17 Pro Max 2 To

Prix : ~1 900 €

Apple a eu une super idée : doubler le stockage et presque doubler le prix. Voilà donc un iPhone qui coûte deux fois plus qu’un bon ordinateur portable.

Samsung Galaxy Tab S11 Ultra (édition luxe)

Prix : estimation très salée

C’est la tablette Android ultime de 2025. Mais certaines éditions limitées avec accessoires premium peuvent facilement faire grimper la facture.


FAQ

Quel est le produit High-Tech le plus cher de 2025 ?
Le téléviseur Samsung MICRO-LED MS1C 114″, avec un prix autour de 140 000 €, bat tous les records.

Est-ce que ça vaut la peine d’acheter ces produits ?
Honnêtement ? Non. À moins d’être ultra-riche, la différence avec des modèles plus abordables ne justifie pas l’écart de prix.

Quel smartphone 2025 est le plus cher ?
Probablement l’iPhone pliable, estimé à plus de 2 500 €.

Y a-t-il des alternatives plus raisonnables ?
Oui. Tous ces produits ont des versions “standard” beaucoup plus accessibles. On paie ici le luxe, pas seulement la technologie.

Cet article original intitulé 10 produits High-Tech 2025 beaucoup trop chers que je n’achèterai jamais a été publié la première sur SysKB.

Reçu — 10 septembre 2025

RGB Mini-LED : La révolution de l’affichage qui veut détrôner l’OLED

10 septembre 2025 à 08:56

On pensait que l’OLED était le graal des téléviseurs, mais une nouvelle technologie arrive pour rebattre les cartes : le RGB Mini LED. Dévoilée par Hisense lors des salons CES et IFA, cette innovation promet une luminosité record, une colorimétrie jamais vue et des téléviseurs plus fins et plus économes en énergie. De quoi changer durablement le marché des écrans dès 2025.

Qu’est-ce que le rétroéclairage LCD et pourquoi le Mini LED a marqué une évolution ?

Contrairement aux téléviseurs OLED qui produisent leur propre lumière pixel par pixel, les écrans LCD nécessitent un rétroéclairage. Sans lui, la dalle LCD resterait noire.

Le rétroéclairage LCD classique

Les téléviseurs LCD ne produisent pas de lumière par eux-mêmes, contrairement aux OLED. Ils ont donc besoin d’un rétroéclairage placé derrière ou sur les côtés de la dalle pour afficher une image. Ce rétroéclairage est composé de LEDs blanches qui diffusent une lumière uniforme à travers plusieurs filtres pour créer les couleurs visibles.

Deux grandes méthodes de rétroéclairage

  • Edge LED (LED sur les bords) : les LEDs sont placées uniquement sur les côtés de l’écran. La lumière est ensuite diffusée sur toute la dalle à l’aide de plaques optiques.
    • Avantage : fabrication moins coûteuse, écrans plus fins.
    • Inconvénient : luminosité moins homogène, fuites de lumière fréquentes.
  • Direct LED (ou Direct Dimming) : les LEDs sont installées directement derrière la dalle LCD.
    • Avantage : meilleure répartition de la lumière, gestion possible par zones.
    • Inconvénient : téléviseurs plus épais, noirs encore imparfaits.

Le principe du rétroéclairage par zones

Avec le Direct LED, les constructeurs ont introduit le local dimming, c’est-à-dire un rétroéclairage par zones indépendantes. Cela permet d’éteindre une partie des LEDs dans les zones sombres de l’image et de laisser les autres allumées dans les zones lumineuses.
Résultat : un contraste plus élevé qu’avec un rétroéclairage uniforme. Mais comme les zones restent relativement larges, on observe souvent un phénomène de halo lumineux (blooming) autour des objets clairs sur fond noir.

Limites de ce système

  • Les noirs ne sont jamais totalement profonds, car une LED allumée derrière la dalle laisse passer un peu de lumière.
  • Les angles de vision sont limités : les couleurs et la luminosité se dégradent lorsqu’on n’est pas en face de l’écran.
  • La colorimétrie dépend fortement de filtres et de films optiques qui transforment la lumière blanche en rouge, vert et bleu, ce qui entraîne une perte de précision et de luminosité.

En résumé, le rétroéclairage LCD classique a permis la démocratisation des grands téléviseurs abordables, mais il reste limité dès qu’il s’agit de rivaliser avec des technologies plus avancées comme l’OLED ou, plus récemment, le Mini LED.

L’arrivée du Mini LED (2018)

En 2018, le Mini LED a marqué une véritable rupture dans le domaine du rétroéclairage LCD. Il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie d’écran à proprement parler, mais d’une évolution majeure du rétroéclairage, qui améliore considérablement les performances des téléviseurs LCD traditionnels.

Des LEDs beaucoup plus petites et plus nombreuses

La principale différence vient de la taille des diodes. Les Mini LEDs mesurent entre 100 et 200 micromètres, soit bien plus petites que les LEDs classiques. Cette miniaturisation permet d’en placer des milliers derrière une dalle, contre seulement quelques centaines auparavant.
Résultat : le téléviseur peut contrôler la lumière de manière beaucoup plus fine et précise.

Une gestion plus granulaire des zones de rétroéclairage

Avec les anciennes générations de LED, le rétroéclairage fonctionnait par grandes zones, parfois limitées à quelques dizaines. Cela entraînait souvent un problème de blooming (halo lumineux autour des objets clairs sur fond sombre).
Avec le Mini LED, on parle désormais de plusieurs centaines, voire milliers de zones de contrôle. Chaque zone peut être allumée ou éteinte indépendamment, ce qui améliore nettement la qualité d’image, notamment dans les scènes sombres ou à fort contraste.

Des noirs plus profonds et un contraste renforcé

Grâce à ce contrôle par zones plus précis, les téléviseurs Mini LED offrent des noirs plus profonds que les LCD classiques. Bien sûr, ils ne rivalisent pas encore totalement avec l’OLED (où chaque pixel peut s’éteindre individuellement), mais ils s’en rapprochent nettement tout en conservant une luminosité supérieure.
Le contraste global est donc beaucoup plus élevé, un point essentiel pour profiter des contenus HDR.

Une meilleure compatibilité avec le HDR

Le HDR (High Dynamic Range) repose sur deux éléments : un fort contraste et une luminosité maximale élevée. Les Mini LEDs, plus nombreuses et plus puissantes, permettent d’atteindre des pics lumineux impressionnants (jusqu’à 2000 nits sur certains modèles).
Associé à un meilleur contrôle des zones sombres, cela rend les images beaucoup plus réalistes, avec des détails visibles aussi bien dans les zones claires que dans les zones d’ombre.

Mais une limite persistante : la lumière bleue initiale

Malgré tous ces progrès, les Mini LED conservent une caractéristique fondamentale : elles émettent une lumière initialement bleue.
Pour obtenir une image en couleur, cette lumière doit passer par des filtres et des quantum dots (nanocristaux qui transforment la lumière bleue en rouge ou en vert).
Ce processus fonctionne bien, mais il absorbe une partie de la luminosité et limite la fidélité des couleurs, ce qui laisse encore une marge d’amélioration.

Comment le RGB Mini LED change la donne

Le RGB Mini LED pousse encore plus loin le principe en intégrant directement la gestion des couleurs dans le rétroéclairage.

1. Gestion directe des couleurs

  • Chaque diode émet déjà du Rouge, Vert ou Bleu, supprimant l’étape de conversion via quantum dots.
  • Résultat : un rétroéclairage qui « prépare » déjà l’image avant même d’arriver à la dalle.

2. Filtres allégés

  • Plus besoin de filtres lourds et coûteux.
  • Seul un filtre léger subsiste pour sublimer les couleurs, sans bloquer la lumière.

3. Colorimétrie inégalée

  • Atteint 100 % de l’espace colorimétrique BT2020.
  • Couleurs naturelles, vives et fidèles, jamais vues sur LCD.

Performances visuelles : des chiffres qui impressionnent

Le RGB Mini LED ne se contente pas d’améliorer la qualité d’image, il pulvérise certains records techniques.

CaractéristiqueMini LED classiqueRGB Mini LED
Gestion des couleursLumière bleue + quantum dotsDirectement RGB
Pic de luminosité≈ 4000 nitsJusqu’à 8000 nits
Espace colorimétriqueDCI-P3 étendu100 % BT2020
Consommation d’énergieStandard-40 %
Lumière bleueNormale-42 %
Épaisseur TVStandardPlus fin

Luminosité hors norme

  • Jusqu’à 8000 nits en pic de luminosité, soit près du double du Mini LED classique.
  • De quoi gérer sans effort le HDR et les environnements très lumineux.

Contraste renforcé

  • Noirs plus profonds grâce à un contrôle ultra-précis des zones de rétroéclairage.
  • Rapport de contraste encore plus élevé que sur le Mini LED.

Plus de confort visuel

  • 42 % de lumière bleue en moins, limitant la fatigue oculaire.
  • Consommation énergétique réduite de 40 %, un atout écologique et économique.

Avantages pratiques

La technologie RGB Mini LED n’est pas qu’une prouesse technique : elle apporte des bénéfices concrets pour les utilisateurs au quotidien. Voici les principaux atouts :

Une qualité d’image jamais vue sur LCD

Le RGB Mini LED redéfinit ce qu’un téléviseur LCD peut offrir.

  • Les couleurs sont plus riches, plus naturelles et mieux équilibrées, grâce à la gestion directe des diodes rouges, vertes et bleues.
  • L’espace colorimétrique atteint 100 % du BT2020, un standard que même l’OLED peine à couvrir complètement.
  • L’image gagne en profondeur et en réalisme, ce qui rapproche fortement le LCD des performances visuelles de l’OLED, tout en conservant les points forts propres aux technologies à rétroéclairage.

Une luminosité extrême pour le HDR et Dolby Vision 2

L’un des points forts du RGB Mini LED est sa luminosité record : jusqu’à 8000 nits en pic, soit quasiment le double de ce que propose le Mini LED classique.

  • Cette puissance lumineuse est idéale pour les contenus HDR (High Dynamic Range), où les zones claires et sombres doivent coexister sans perte de détails.
  • Dolby a même choisi cette technologie pour son Dolby Vision 2, qui promet d’aller au-delà des normes HDR actuelles.
    En pratique, cela veut dire que les scènes de films très contrastées (feu d’artifice, couchers de soleil, sports en plein jour) seront plus réalistes et éclatantes.

Moins énergivore et plus respectueux de la vue

Le RGB Mini LED n’est pas seulement plus puissant, il est aussi plus efficace :

  • La consommation d’énergie est réduite d’environ 40 % par rapport à un Mini LED classique.
  • L’émission de lumière bleue est réduite de 42 %, ce qui limite la fatigue oculaire, un point crucial pour ceux qui regardent la télévision plusieurs heures par jour.
    Cela en fait une technologie à la fois plus écologique et plus confortable pour l’utilisateur.

Des téléviseurs plus fins et élégants

En supprimant une partie des filtres lourds nécessaires sur les anciens systèmes, le RGB Mini LED permet de concevoir des téléviseurs plus fins et mieux « designés ».

  • Moins de couches optiques signifie une épaisseur réduite.
  • Les constructeurs peuvent ainsi proposer des modèles plus élégants, adaptés à des intérieurs modernes, sans compromis sur la qualité d’image.
  • Cela rapproche aussi ces TV du style minimaliste des OLED, tout en gardant les avantages du LCD.

Enjeux commerciaux et stratégie de Hisense

Le RGB Mini LED de chez HiSense

Avec le RGB Mini LED, Hisense s’impose comme le premier constructeur à miser sérieusement sur cette technologie. La marque a profité du CES de Las Vegas puis de l’IFA de Berlin 2025 pour présenter ses premiers modèles et démontrer concrètement le potentiel de ce nouveau type de rétroéclairage.

Le calendrier de lancement est désormais clair. Le très grand modèle Hisense 116 UX (116 pouces) est déjà disponible depuis août 2025, mais il s’agit d’un téléviseur vitrine, vendu autour de 30 000 €, destiné à marquer les esprits plus qu’à inonder le marché.

Les modèles plus accessibles, en 55, 65, 75, 85 et 100 pouces, arriveront eux en 2026, avec des tarifs annoncés comme étant comparables à ceux des téléviseurs OLED actuels. Cela positionnera le RGB Mini LED comme une alternative premium mais compétitive, capable de séduire un public large et pas seulement une élite technophile.

L’autre atout stratégique, c’est l’association avec Dolby Vision 2, qui profitera pleinement de la luminosité extrême et de la colorimétrie étendue du RGB Mini LED. Dolby voit dans cette technologie un support idéal pour dépasser les standards HDR actuels, ce qui confère aux modèles Hisense une crédibilité renforcée auprès des amateurs d’image haut de gamme.


FAQ sur la technologie RGB Mini LED

Le RGB Mini LED va-t-il remplacer l’OLED ?

Pas forcément. L’OLED garde l’avantage des noirs parfaits pixel par pixel, mais le RGB Mini LED offre une luminosité bien supérieure et un coût plus accessible.

Quelle est la différence avec le Mini LED classique ?

Le Mini LED classique utilise des diodes bleues et des quantum dots, tandis que le RGB Mini LED gère directement les couleurs au niveau du rétroéclairage.

À partir de quand pourra-t-on acheter des TV RGB Mini LED ?

Hisense prévoit une commercialisation dès 2025 en Europe.

Les téléviseurs seront-ils beaucoup plus chers ?

Non. Les grands modèles serviront de vitrine technologique, mais les tailles courantes devraient rester au prix des OLED actuels.

Le RGB Mini LED consomme-t-il plus d’énergie ?

Au contraire : la suppression des filtres lourds réduit la consommation d’environ 40 %.

Cet article original intitulé RGB Mini-LED : La révolution de l’affichage qui veut détrôner l’OLED a été publié la première sur SysKB.

Reçu — 22 août 2025

Les 7 meilleure lunettes intelligentes en 2025

22 août 2025 à 15:43
Trois personnes testent des modèles de lunettes intelligentes.

En 2025, la grande famille des lunettes intelligentes (ou lunettes connectées) est rentrée dans les mœurs. Entre audio connecté, réalité augmentée et assistants vocaux intégrés, elles s’imposent comme les accessoires high-tech du futur. Découvrez notre sélection des meilleurs modèles du moment, leurs usages et leurs limites.

Le marché des lunettes intelligentes connaît une accélération en 2025. Qu’il s’agisse de modèles audio discrets, de lunettes lifestyle orientées réseaux sociaux ou encore d’expériences immersives XR/AR pensées pour le jeu et la productivité, chaque marque tente de se positionner sur ce futur segment clé. Voici ci dessous une analyse complète par ordre de prix croissant, des principaux modèles annoncés ou déjà disponibles.

  • Les meilleures lunettes intelligentes pour les gamers : Razer Anzu,
  • Les meilleures lunettes intelligentes pour le quotidien : Vue Lite 2,
  • Les meilleures lunettes intelligentes pour l’immersion professionnelle : HTC Vive Eagle,
  • Les meilleures lunettes intelligentes pour la photo : Ray ban Wayfarer,
  • Les meilleures lunettes intelligentes pour les créateurs de contenu : Snap Spectacle 5,
  • Les meilleures lunettes intelligentes pour le jeu et le cinéma : Viture XR Pro,
  • Les meilleures lunettes intelligentes pour l’immersion en réalité augmentée : Rokid AR Spatial.

Razer Anzu : les meilleures pour les gamers

Les Razer Anzu sont des lunettes connectées audio pensées pour les joueurs et les utilisateurs multitâches. Équipées de haut-parleurs open-ear, elles permettent d’écouter de la musique, de répondre à des appels ou de profiter du son d’un jeu sans casque, avec une latence réduite à 60 ms en mode gaming grâce au Bluetooth 5.1. Pour protéger la vue, elles intègrent des verres interchangeables avec un filtre anti-lumière bleue contre la fatigue numérique et une paire solaire pour l’extérieur. Leur autonomie atteint jusqu’à 5 heures, rechargeable en USB-C. Plus proches de lunettes audio comme les Bose Frames que de véritables lunettes AR, elles misent sur confort et praticité plutôt que sur l’immersion visuelle.Légères et proposées en deux tailles, elles disposent de commandes tactiles sur les branches et d’une résistance IPX4 contre les éclaboussures. Pour en savoir plus sur ce que signifie chaque indice d’étanchéité, consultez notre guide.

Caractéristique Techniques
PoidsEnviron 45 grammes
EtanchéitéIPX4
Méthode de commande Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)5 heures
ConnexionBluetooth

Vue Lite 2 : les meilleures compagnon connecté du quotidien

Les Vue Lite 2 misent sur la simplicité plutôt que sur l’immersion AR. Elles permettent de passer et recevoir des appels, d’écouter de la musique, de consulter ses notifications et de suivre son activité via l’application compagnon. Leur design sobre les rapproche de lunettes classiques, favorisant une adoption naturelle aussi bien au bureau qu’à la maison.

Côté autonomie, elles offrent jusqu’à 6 heures d’écoute en continu et tiennent jusqu’à 3 jours en veille. Compatibles avec iOS et Android grâce au Bluetooth, elles intègrent des commandes tactiles sur les branches et des microphones pour les appels mains-libres. Résistantes aux éclaboussures (IPX4), elles se positionnent comme une alternative accessible aux Bose Frames ou Razer Anzu, pour découvrir l’univers des lunettes connectées sans se ruiner.

Caractéristique Techniques
Poids25 grammes
EtanchéitéIPX4
Méthode de commande Tactile
Autonomie (en utilisation continue)6 heures
Connexion Bluetooth

HTC Vive Eagle : les meilleures pour l’immersion professionnelle

HTC a dévoilé le Vive Eagle, une paire de lunettes intelligentes alimentées par IA, conçue pour allier productivité et usages du quotidien. Avec un design très léger, elles embarquent une caméra ultra-grand-angle 12 MP, des haut-parleurs open-ear, et surtout l’assistant Vive AI, compatible avec Google Gemini ou ChatGPT. Les utilisateurs bénéficient ainsi de la traduction instantanée dans 13 langues, d’une autonomie allant jusqu’à 36 h en veille (4,5 h d’écoute musicale ou 3 h d’appels en continu), et d’une charge rapide (50 % en 10 min).

HTC mise aussi sur la confidentialité : données stockées localement, chiffrement AES-256, et enregistrements bloqués si l’indicateur LED est masqué. Les lunettes sont livrées avec des verres solaires ZEISS UV400, et disponibles en 4 coloris. Positionnées comme un concurrent direct des Ray-Ban Meta, elles inaugurent une nouvelle génération de smart glasses axées sur l’IA plutôt que sur l’immersion XR. Les précommandes sont ouvertes à Taïwan, avec une sortie prévue le 1er septembre 2025. Aucune date internationale n’a encore été communiquée. Avec le lancement des Vive Eagle ce n’est pas la première fois que HTC se présente comme un concurrent de Meta puisque la marque est le fabricant du fameux HTC Vive, concurrent principal du casque VR de Meta.

Caractéristique Techniques
Poids49 grammes
EtanchéitéIP54
Méthode de commande Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)4h30
Connexion WiFi et Bluetooth

Ray ban Wayfarer : les meilleures pour la photo

Successeures des Ray-Ban Stories de 2021, les Ray-Ban Meta Wayfarer conservent la célèbre monture tout en intégrant des fonctions connectées avancées. Elles embarquent une caméra ultra-grand-angle 12 MP (contre 5 MP sur la génération précédente), avec une version double capteur, capable de filmer en 1080p à 30 fps, de capturer des photos et même de diffuser en direct sur Facebook et Instagram.

Pour l’audio, Meta a intégré des haut-parleurs discrets et pas moins de cinq microphones, accompagnés de l’assistant vocal Meta AI. De quoi passer des appels, contrôler sa musique ou obtenir des infos à la voix, sans sortir son smartphone. L’autonomie atteint environ 4 heures en usage continu, extensible jusqu’à 36 heures grâce au boîtier de recharge fourni. En ce qui concerne l’étanchéité, elles disposent de l’indice IPX4. Légères et compatibles avec iOS et Android via l’application Meta View, elles s’imposent comme l’accessoire social idéal pour celles et ceux qui aiment capturer et partager chaque instant.

Caractéristique Techniques
PoidsEnviron 49 grammes
EtanchéitéIPX4
Méthode de commande Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)4 heures
Connexion Wifi et Bluetooth

Snap Spectacles 5 : les meilleures pour les créateurs de contenus

Avec les Spectacles 5, Snap poursuit son ambition de démocratiser la réalité augmentée créative. Ces lunettes intègrent deux écrans micro-OLED transparents (luminosité jusqu’à 2000 nits) et des caméras frontales binoculaires, capables de superposer en temps réel des effets et filtres AR dans le champ de vision d’environ 46°. Les créateurs peuvent aussi enregistrer jusqu’à 60 secondes de vidéo en mains libres, puis les éditer et les partager via Snapchat.

Conçues pour les créateurs et développeurs AR, elles s’intègrent nativement à Lens Studio, la plateforme de Snap pour concevoir, tester et diffuser des expériences immersives. Leur design futuriste séduit les passionnés de tech, mais leur autonomie reste limitée à environ 30 minutes. Pour l’instant, elles ne sont pas commercialisées en direction du grand public. Snap les distribue uniquement via des programmes développeurs sur invitation.

Caractéristique Techniques
Poids226 grammes
EtanchéitéAucune mention officielle à ce jour
Méthode de commande Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)Environ 30 minutes
ConnexionWiFi et Bluetooth

VITURE XR/AR Pro : les meilleures pour le jeu et le cinéma XXL

Les Viture XR/AR Pro transforment vos yeux en véritable salle de cinéma portable. Dotées d’écrans micro-OLED Full HD (1080p par œil) avec un taux de rafraîchissement de 60 Hz, elles projettent une image équivalente à 120 à 150 pouces. Un format idéal pour le jeu, le streaming ou le travail en mobilité. Compatibles avec PC, smartphones Android et iPhone (via adaptateur), Nintendo Switch et PS5 via Remote Play, elles s’adressent autant aux gamers qu’aux cinéphiles.

Légères, elles intègrent des haut-parleurs directionnels et des verres électrochromiques ajustables pour une utilisation confortable en extérieur. Positionnées sur le segment premium, elles privilégient l’immersion vidéo XR mais n’offrent pas de fonctions AR interactives (pas de spatial mapping ni d’objets virtuels ancrés dans l’environnement). Les VITURE XR/AR Pro ne possèdent pas de batterie intégrée et fonctionnent en connexion filaire via USB-C. Leur endurance dépend donc de l’appareil source (smartphone, PC, console). Proposées à partir de 500 €, elles sont déjà disponibles aux États-Unis et en Europe, et se présentent comme une des alternatives les plus abouties aux casques VR pour un usage quotidien.

Caractéristique Techniques
Poids77 grammes
EtanchéitéAucun indice d’étanchéité connu
Méthode de commande Tactile
Autonomie (en utilisation continue)Pas de batterie, donc pas d’autonomie
ConnexionConnexion filaire uniquement, USB-C

Rokid AR Spatial : les meilleures pour une immersion en réalité augmentée

Avec les AR Spatial, Rokid confirme son ambition de rivaliser avec les géants occidentaux de la réalité augmentée. Ces lunettes reposent sur des écrans micro-OLED Full HD (1920 × 1080 par œil), un rafraîchissement jusqu’à 120 Hz et un suivi de tête 6DoF, permettant d’afficher et manipuler plusieurs fenêtres virtuelles dans l’espace. Idéales pour la productivité (bureautique, visioconférences), l’éducation ou le divertissement multimédia, elles offrent une expérience AR immersive sans pour autant atteindre les capacités de spatial mapping d’un HoloLens.

Légères, elles intègrent des verres électrochromiques pour s’adapter à la luminosité et sont compatibles avec smartphones, PC et consoles via connexion filaire ou sans-fil. Leur autonomie atteint environ 5 heures d’utilisation continue, rechargeable en USB-C. Si leur écosystème applicatif reste limité hors de Chine, malgré plus de 10 000 développeurs déjà inscrits, les AR Spatial apparaissent comme une alternative crédible aux Xreal Air 2 Pro ou aux projets de Meta, en misant sur un design pratique.

Caractéristique Techniques
PoidsEnviron 75 grammes
EtanchéitéPas d’indice d’étanchéité connu
Méthode de commande Tactile et vocale
AutonomieEnviron 5 heures
CompatibilitéWiFi et Bluetooth

Comment fonctionnent les lunettes intelligentes ?

Leur fonctionnement dépend du type de lunettes et des usages visés :

  • Contrôle : la plupart des modèles intègrent des commandes tactiles sur les branches pour gérer la musique, prendre un appel ou activer certaines fonctions. Certains ajoutent le contrôle vocal via un assistant intégré ou connecté (Meta AI, Siri, Google Assistant…).
  • Connectivité : pour les modèles audio et sociaux comme Ray-Ban Meta Wayfarer), la liaison se fait généralement en Bluetooth avec un smartphone.
    Pour les lunettes immersives orientées AR/XR comme Rokid AR Spatial et Viture XR Glasses, la connexion principale passe plutôt par un câble USB-C compatible DisplayPort Alt Mode vers un smartphone, un PC ou une console. Certaines disposent aussi d’une connexion Wi-Fi pour le streaming ou les mises à jour.
  • Autonomie : quelques modèles offrent des fonctions semi-autonomes comme par exemple, les Ray-Ban Meta qui peuvent prendre une photo ou lancer un enregistrement sans sortir le téléphone. Mais la plupart restent dépendants d’un appareil compagnon pour les calculs graphiques et les traitements IA.

Quel est le meilleur modèle de lunettes intelligentes ?

Il n’existe pas de “meilleur” modèle universel : tout dépend de vos usages.

  • Pour l’audio au quotidien : les Vue Lite 2 offrent un design léger, une autonomie d’environ 4 h, une recharge rapide et la possibilité d’intégrer des verres correcteurs. Discrètes et confortables, elles sont adaptées à l’écoute musicale, aux appels mains libres et à l’usage d’assistants vocaux.
  • Pour un usage social et l’IA : les Ray-Ban Meta Wayfarer permettent de capturer photos et vidéos, de partager instantanément et d’interagir avec Meta AI, capable de traduire ou de décrire une scène en temps réel.
  • Pour l’immersion AR/XR : les Rokid AR Spatial et les Viture XR Glasses transforment un smartphone, un PC ou une console en écran géant portable. Grâce à leurs écrans Micro-OLED, elles sont idéales pour le multimédia, le streaming et le gaming immersif.

Avant de choisir, définissez vos priorités :

  • Confort audio discret,
  • Capture sociale et IA intégrée,
  • Immersion multimédia et réalité augmentée.

Quelle est la différence entre des lunettes intelligentes et des lunettes IA ?

  • Lunettes intelligentes (smart glasses) : elles intègrent des composants électroniques comme des haut-parleurs, des micros, des capteurs et parfois de petits écrans. Elles permettent d’écouter de la musique, de passer des appels, de prendre des photos ou d’afficher des informations de base.
  • Lunettes IA : elles vont plus loin en embarquant directement des fonctionnalités d’intelligence artificielle. Cela peut inclure la traduction instantanée, la description d’une scène, ou encore des réponses vocales personnalisées en temps réel. Les Ray-Ban Meta Wayfarer illustrent cette évolution avec l’intégration de Meta AI.

En pratique, les lunettes IA ne constituent pas une catégorie totalement distincte : ce sont une nouvelle génération de smart glasses, enrichies par l’IA pour offrir des usages plus interactifs et contextuels.

En 2025, les lunettes connectées ne se limitent plus à un gadget pour passionnés. De l’audio discret avec les Razer Anzu, aux usages sociaux et IA des Ray-Ban Meta Wayfarer, jusqu’aux expériences immersives offertes par les Rokid AR Spatial ou les Viture XR Glasses, chaque acteur cherche à séduire son public. La technologie n’est pas encore parfaite : autonomie limitée, écosystèmes fermés et poids parfois élevé freinent encore leur adoption massive. Mais une tendance claire se dessine et les smart glasses s’imposent peu à peu comme un possible relais au smartphone dans notre quotidien. Les prochains mois seront sûrement décisifs, puisque Meta, Snap, HT et Rokid affûtent déjà leurs armes pour démocratiser la réalité augmentée auprès du grand public.Et vous, avez-vous déjà testé des lunettes intelligentes ? Partagez votre expérience en commentaire.

Reçu — 12 juillet 2025

L’IA va-t-elle tuer les sites comme framboise314 ?

L’Intelligence Artificielle a-t-elle décidé de scier la branche sur laquelle elle est assise ?Aujourd’hui, Google et les IA puisent sans vergogne dans les blogs comme framboise314.fr pour fournir des réponses instantanées… mais sans renvoyer les lecteurs vers les sites d’origine. Résultat : des visites qui s’effondrent, des revenus en berne, et des passionnés qui risquent de jeter […]

Cet article L’IA va-t-elle tuer les sites comme framboise314 ? a été publié en premier sur Framboise 314, le Raspberry Pi à la sauce française.....

Reçu — 1 juillet 2025

Android TV : Le Guide Complet pour Transformer votre Télévision

1 juillet 2025 à 05:25

On a décidé de répondre à toutes vos questions concernant Android TV en 2025. Un système qui évolue rapidement, qui s’améliore de jour en jour, alors on vous donne notre avis.

Android TV, c’est quoi exactement ?

Android TV est le système d’exploitation développé par Google spécifiquement conçu pour les téléviseurs et les dispositifs de streaming. Basé sur Android, il offre une interface optimisée pour les grands écrans avec une navigation au pavé directionnel et une intégration poussée des services Google. Contrairement à Android mobile, Android TV privilégie l’affichage horizontal et les contenus multimédia.

Cette plateforme transforme n’importe quel téléviseur en véritable centre de divertissement intelligent, permettant d’accéder à des milliers d’applications, services de streaming, jeux et fonctionnalités connectées directement depuis votre salon.

https://youtube.com/watch?v=ef0l8gkcDUw%3Fsi%3DDxh0MLvLoj2CitCN

C’est quoi une Box Android TV ?

Une Android TV box est un boîtier externe qui se connecte à votre téléviseur via HDMI pour lui apporter les fonctionnalités d’Android TV. Ces dispositifs compacts intègrent un processeur, de la mémoire RAM, du stockage et une connectivité Wi-Fi/Ethernet pour transformer n’importe quel écran en Smart TV.

Les Android TV boîtiers existent dans diverses gammes de prix et performances, depuis les modèles d’entrée de gamme Android TV pas cher aux solutions premium supportant la 4K HDR. Ils constituent une excellente solution pour moderniser un ancien téléviseur sans avoir à le remplacer.

Quelle différence entre Smart TV et Android TV ?

La distinction est fondamentale : Smart TV est un terme générique désignant tout téléviseur connecté à Internet, tandis qu’Android TV est un système d’exploitation spécifique. Une Smart TV peut fonctionner sous différents OS (Tizen de Samsung, webOS de LG, Fire TV d’Amazon), chacun avec ses propres applications et interfaces.

Android TV offre plusieurs avantages distinctifs :

  • Accès au Google Play Store avec des milliers d’applications
  • Intégration native avec l’écosystème Google (Assistant, Photos, Drive)
  • Mises à jour régulières du système
  • Interface cohérente entre différents fabricants
  • Support des formats multimédias étendus

Comment ça marche Android TV ?

Android TV fonctionne selon une architecture en couches. Le système d’exploitation gère les ressources matérielles (processeur, RAM, stockage) tout en proposant une interface utilisateur intuitive. L’écran d’accueil présente des rangées de contenus recommandés provenant de vos applications installées.

La navigation s’effectue principalement avec une télécommande équipée d’un pavé directionnel, bien que de nombreux modèles supportent également les commandes vocales via Google Assistant. Les applications s’installent depuis le Play Store, exactement comme sur un smartphone Android, mais dans des versions optimisées pour la télévision.

Comment installer Android TV ?

Installation sur Smart TV existante

Installer Android TV sur smart TV nécessite généralement un boîtier externe, car la plupart des téléviseurs ne permettent pas de changer leur système d’exploitation natif. Cependant, certains téléviseurs Android TV Samsung ou d’autres marques proposent des mises à jour firmware vers Android TV.

Procédure avec un boîtier Android TV

  1. Connexion physique : Reliez le boîtier à votre TV via HDMI
  2. Configuration réseau : Connectez-vous au Wi-Fi ou Ethernet
  3. Compte Google : Associez votre compte pour accéder au Play Store
  4. Android TV setup : Suivez l’assistant de configuration
  5. Installation d’applications : Téléchargez vos apps depuis le Play Store

Quelle est la dernière version d’Android TV ?

La dernière version majeure est Android TV 10, bien que Google ait progressivement migré vers Google TV (basé sur Android TV 10) pour les nouveaux appareils. Android TV 10 apporte des améliorations significatives :

  • Interface utilisateur repensée
  • Performances optimisées
  • Nouvelles fonctionnalités de confidentialité
  • Support amélioré pour les codecs vidéo modernes
  • Intégration renforcée avec Google Assistant

Les fabricants déploient ces mises à jour à des rythmes variables, certains modèles restant sur des versions antérieures comme Android TV 9.

Pourquoi choisir Android TV ? Quel intérêt ?

Android TV présente de nombreux avantages qui justifient son adoption :

Écosystème unifié : Si vous utilisez déjà des services Google (Gmail, Photos, Drive), l’intégration est transparente. Vos contenus personnels sont accessibles directement sur votre téléviseur.

Catalogue d’applications étendu : Le Google Play Store propose des milliers d’applications optimisées TV, des services de streaming aux jeux en passant par les outils de productivité.

Commande vocale avancée : Google Assistant permet de contrôler votre téléviseur, rechercher des contenus, obtenir des informations et piloter vos objets connectés compatibles.

Mises à jour régulières : Contrairement à certains systèmes propriétaires, Android TV bénéficie de mises à jour de sécurité et de fonctionnalités régulières.

Quelles sont les meilleures Android TV ?

Téléviseurs intégrés

Les Android TV Xiaomi se distinguent par leur excellent rapport qualité-prix, proposant des modèles 4K HDR à des tarifs compétitifs. Sony propose également une gamme premium avec Android TV, offrant une qualité d’image exceptionnelle.

Boîtiers dédiés

Nvidia Shield TV : Référence absolue pour les utilisateurs exigeants, supportant la 4K HDR, le gaming et l’IA upscaling.

Xiaomi Mi Box S : Solution Android TV 4K abordable et performante.

Chromecast avec Google TV : Alternative moderne intégrant Google TV.

Modèles X96

Pour répondre à “Quel X96 choisir ?”, ces boîtiers Android populaires se déclinent en plusieurs versions :

  • X96 Mini : Entrée de gamme, parfait pour les usages basiques
  • X96 Max : Version 4K avec plus de RAM et stockage
  • X96 Air : Modèle compact avec performances équilibrées

Applications et contenu sur Android TV

Quelles applications sur Android TV ?

L’Android TV application store propose une sélection étendue :

Streaming vidéo : Netflix, YouTube, Prime Video, Disney+, Plex, Kodi Streaming audio : Spotify, YouTube Music, Deezer, Tidal Jeux : Une sélection de jeux optimisés pour la télévision Utilitaires : Gestionnaires de fichiers, navigateurs, VPN

Quelle application pour regarder la TV sur Android ?

Pour remplacer la télévision traditionnelle, plusieurs options s’offrent à vous :

Molotov TV : Service français populaire offrant de nombreuses chaînes gratuites et payantes. Pour ceux cherchant une alternative molotov tv android, citons Pluto TV, Tubi ou les applications spécifiques des chaînes.

Applications des chaînes : France TV, 6play, MyTF1, etc. Services IPTV : Selon votre fournisseur d’accès Internet Applications de replay : Pour rattraper vos programmes préférés

Installation et téléchargement

Télécharger Android TV

Le système s’obtient généralement pré-installé sur les appareils compatibles. Pour les installations personnalisées, il faut récupérer les images firmware officielles ou utiliser des distributions comme LineageOS Android TV.

Android TV APK

Bien qu’il soit possible d’installer des APK Android classiques, il est recommandé d’utiliser les versions TV optimisées disponibles sur le Play Store. L’installation d’APK non-officiels peut compromettre la sécurité et les performances.

Comparaison avec la concurrence

Concurrent Apple TV et équivalents

Android TV se positionne comme une alternative directe à Apple TV, avec plusieurs avantages :

Prix : Solutions généralement plus abordables Ouverture : Écosystème moins fermé qu’Apple Choix matériel : Nombreux fabricants et gammes de prix

Pour comprendre “comment voir Apple TV sur ma télé” ou “comment fonctionne apple tv gratuit”, sachez qu’Apple TV+ est accessible via l’application dédiée sur Android TV, permettant d’accéder au contenu Apple sans boîtier Apple TV.

Apple TV comment ça marche

Apple TV fonctionne selon un principe similaire à Android TV mais dans l’écosystème Apple. L’avantage d’Android TV réside dans sa flexibilité et son ouverture à différents services et fabricants.

Quelle alternative à Chromecast ?

Android TV constitue une excellente alternative au Chromecast classique, notamment avec le Chromecast avec Google TV qui intègre directement l’interface. Les boîtiers Android TV offrent plus d’autonomie et de fonctionnalités que le simple casting.


Quelle est la meilleure passerelle multimédia ?

Le choix dépend de vos besoins spécifiques :

Usage polyvalent : Nvidia Shield TV pour les performances maximales Budget serré : Xiaomi Mi Box S ou équivalents Android TV pas cher Écosystème Google : Chromecast avec Google TV Gaming : Shield TV avec support GeForce Now

Quelle est la meilleure box TV ?

En 2024, plusieurs solutions se distinguent :

Haut de gamme : Nvidia Shield TV Pro Milieu de gamme : Xiaomi Mi Box S, Amazon Fire TV Stick 4K Max Économique : Modèles X96, Android TV box génériques

Le choix dépend de votre budget, de vos besoins en performances et de l’écosystème privilégié.

Google TV : comment ça marche ?

Google TV est l’évolution d’Android TV, proposant une interface repensée centrée sur la découverte de contenus. Plutôt que d’organiser par applications, Google TV agrège les contenus de différents services en suggestions personnalisées.

Cette approche facilite la découverte de nouveaux programmes tout en conservant la flexibilité d’Android TV. L’interface s’adapte à vos habitudes de visionnage pour proposer des recommandations pertinentes.

L’avis des youtubers

L’avis du YouTuber Superboki sur cette box TV Android AliExpress peut se résumer ainsi :

  • ✅ Très bon rapport qualité/prix : pour 28 €, la box remplit parfaitement son rôle de lecteur multimédia, surtout pour une TV secondaire.
  • ✅ Interface propre et personnalisable : pas de pollution visuelle avec des contenus imposés comme sur Firestick ou les box des FAI.
  • ✅ Compatible avec de nombreux usages : Netflix, YouTube, Plex, Jellyfin, IPTV (légale), etc. Fonctionne bien même en 4K (si les fichiers ne sont pas trop lourds).
  • ❌ Matériaux bas de gamme : coque en plastique très léger, télécommande peu qualitative.
  • ❌ Hardware daté : processeur peu puissant, Ethernet limité à 100 M, donc pas adapté à des usages gourmands comme le remote play ou le transcodage lourd.
  • ⚠ Vieille version d’Android : possible que certaines applis deviennent incompatibles avec le temps.

Et comment transformer mon Raspberry Pi en Android TV?

transformer un Raspberry Pi en Android TV :

  • 🔧 Matériel requis :
    • Raspberry Pi 4 (minimum recommandé)
    • Carte microSD (32 Go ou +, classe 10)
    • Alimentation officielle
    • Clavier/souris ou télécommande compatible
    • Connexion HDMI à une TV
  • 💾 Télécharger un système Android adapté :
    • Utiliser une image LineageOS pour Raspberry Pi (Android TV basé sur AOSP)
    • Site recommandé : KonstaKANG
  • 🧰 Créer la carte SD :
    • Flasher l’image avec Balena Etcher ou Raspberry Pi Imager
    • Optionnel : partitionner la carte pour plus de stockage
  • 🚀 Premier démarrage :
    • Insérer la carte SD, brancher les périphériques, démarrer le Pi
    • Patience : le 1er boot peut prendre plusieurs minutes
  • 🌐 Configurer Android TV :
    • Connecter au Wi-Fi
    • Ajouter un compte Google (si GApps incluses ou flashées manuellement)
    • Installer vos applications préférées via APK ou Play Store
  • 🎮 Optimisation :
    • Utiliser un ventilateur pour éviter la surchauffe
    • Ajouter un dongle USB pour télécommande ou clavier sans fil
    • Installer Kodi ou Plex pour un usage multimédia fluide

💡 Note : ce n’est pas aussi fluide qu’une vraie Android TV box, mais ça fonctionne bien pour du streaming léger et des tests.

L’article Android TV : Le Guide Complet pour Transformer votre Télévision est apparu en premier sur Raspberry Pi France.

❌