Préparez-vous à une nouvelle vision de Westeros avec A Knight of the Seven Kingdoms, qui débute sur HBO en janvier. Contrairement à Game of Thrones et House of the Dragon, cette série offre une perspective narrative unique, axée sur les récits de ceux qui n’ont pas de sang royal. Bien que les luttes pour le […]
Google vient de publier son palmarès annuel des recherches pour 2025, révélant les tendances et sujets qui ont captivé les internautes cette année. Pourtant, le terme le plus recherché suscite déjà la stupeur et l’incrédulité parmi de nombreux observateurs.
Les campagnes politiques évoluent, et un nouvel acteur entre en jeu : des chatbots conçus pour influencer les opinions des électeurs. Une étude récente publiée dans le journal Nature révèle comment les chatbots alimentés par l’IA peuvent influencer les attitudes électorales, soulevant d’importantes préoccupations quant à l’avenir de la diffusion de l’information lors des élections. […]
Google a levé le voile sur les recherches que les internautes ont le plus effectué tout au long de l’année 2025 sur son moteur de recherche. Comme pour les années précédentes, Google propose différentes catégories. Ce que les internautes ont recherché sur Google en 2025 Les recherches les …
Tous les ans, Google publie ses « tendances de recherche » au début du mois de décembre. Il s'agit de plusieurs top 10 sur des catégories bien précises qui permettent de savoir ce que les habitants d'un pays ont recherché.
Sans être une pratique extrêmement courante, le clonage d'animaux de compagnie de célébrités est devenu aujourd'hui une réalité. Mais si le processus peut sembler attirant, il vient aussi avec de nombreux questionnements éthiques et techniques.
Des chercheurs affirment qu’en transformant leurs prompts en poèmes, ils sont parvenus à contourner les mesures de sécurité des chatbots IA pour obtenir des réponses à des questions interdites.
Coup dur pour Qwant. L’Autorité de la concurrence rejette sa plainte contre Microsoft. Le géant américain s’en sort sans sanction, tandis que le moteur français crie à l’injustice et prépare déjà sa riposte.
Bon alors là on atteint un niveau de chelou assez exceptionnel. Des chercheurs ont eu l’idée d’utiliser des trompes de moustiques morts comme buses pour faire de l’impression 3D haute résolution. Et ils ont baptisé ça le “necroprinting”… gloups !
Le principe c’est que la trompe du moustique (le proboscis pour les intimes) est une structure naturelle incroyablement fine, optimisée par des millions d’années d’évolution pour pénétrer la peau et aspirer le sang. Niveau précision, c’est donc du costaud et cette buse biologique serait 100% plus fine que les meilleures buses fabriquées par l’homme.
Du coup, l’avantage est triple : c’est ultra-fin (donc impression haute résolution), c’est pas cher (les moustiques morts c’est gratuit), et c’est biodégradable. Dans un monde où on cherche des alternatives durables aux composants industriels, recycler des insectes morts pour faire de l’impression 3D de précision, c’est créatif, je trouve.
Les chercheurs affirment ainsi obtenir des résultats extrêmement fins avec cette technique. Ce sont des résolutions difficiles à atteindre avec les équipements conventionnels et même si c’est cool, niveau production industrielle, je vois mal comment ça pourrait scaler. Faudrait élever des moustiques pour les tuer et récupérer leurs trompes, et ça me paraît un peu fastidieux comme chaîne d’approvisionnement. Mais bon, pour de la recherche en labo ou des applications très spécifiques nécessitant une précision extrême, pourquoi pas…
Voilà, la prochaine fois que vous éclaterez un moustique qui s’approche trop près de votre oreille, pensez à tout ce que vous pourriez imprimer avec son petit corps sans vie. Snif.
C’était inévitable et c’est désormais une réalité : Google commence à afficher des publicités au niveau de son Mode IA. Il s’agit de l’interface de recherche nouvelle génération qui s’appuie sur Gemini. Jusqu’ici préservé, cet espace rejoint le modèle économique historique du géant du web, marquant la fin …
Hé bien les amis, on savait déjà que les LLM avaient quelques petites failles de sécurité, mais celle-là est quand même assez… poétique. En effet, des chercheurs de DEXAI et de l’Université Sapienza de Rome viennent de découvrir que reformuler une requête malveillante sous la forme d’un poème permet de contourner les sécurités dans plus de 90% des cas chez certains fournisseurs d’IA.
L’équipe a ainsi testé la robustesse de 25 modèles de langage provenant de 9 fournisseurs majeurs : Google, OpenAI, Anthropic, DeepSeek, Qwen, Mistral, Meta, xAI et Moonshot et ils ont pour cela converti 1 200 requêtes potentiellement dangereuses en vers et comparé les résultats avec les mêmes demandes mais en prose classique.
Et là surprise ! Le taux de succès des attaques passe de 8% en prose à 43% en formulation poétique. 5x plus de succès, c’est pas rien ! Je me suis demandé comment c’était possible et d’après le doc de recherche, c’est parce que les filtres de sécurité des LLM fonctionnent principalement par pattern-matching sur des formulations classiques.
Ainsi, quand vous demandez en prose comment fabriquer un truc dangereux, le modèle reconnaît la structure et refuse. Mais quand la même demande est enrobée de métaphores condensées, de rythme stylisé et de tournures narratives inhabituelles, les heuristiques de détection passent à côté.
En gros, les garde-fous sont entraînés à repérer des formes de surface mais pas l’intention sous-jacente, qui elle est nuisible. Voici le tableau. Plus c’est rouge plus le modèle est sensible à l’attaque par poème.
ASR c’est le taux de succès de l’attaque.
Bizarrement, les modèles plus petits refusent plus souvent que les gros. GPT-5-Nano (0% de taux de succès d’attaque) fait mieux que GPT-5 (10%)par exemple. Les chercheurs n’expliquent pas vraiment pourquoi, mais ça suggère que la taille du modèle n’est pas forcément synonyme de meilleure sécurité. C’est peut-être aussi parce que les gros modèles sont tellement doués pour comprendre le contexte qu’ils comprennent aussi mieux ce qu’on leur demande de faire, même quand c’est caché dans des alexandrins.
Au niveau des domaines testés, c’est l’injection de code et les attaques cyber qui passent le mieux avec 84% de réussite. Le contenu sexuel reste le plus résistant avec seulement 24% de taux de succès. Les autres domaines comme le CBRN (chimique, biologique, radiologique, nucléaire), la manipulation psychologique et la perte de contrôle se situent entre les deux…
Bon, après faut quand même nuancer un peu car l’étude se limite aux interactions single-turn (c’est à dire en une seule requête, sans réelle conversation), utilise un seul méta-prompt pour la conversion poétique, et n’a testé que l’anglais et l’italien. Les chercheurs reconnaissent aussi que leurs mesures sont conservatives, donc les vrais taux de succès sont probablement plus élevés. Mais cela n’enlève rien au fait que les implications sont quand même sérieuses.
Prochainement, l’équipe prévoit d’analyser précisément quels éléments poétiques provoquent cet effet (la métaphore ? le rythme ? la rime ?), d’étendre les tests à d’autres langues et d’autres styles, et de développer des méthodes d’évaluation plus robustes face à ces “variations linguistiques”.
Bref, si vous voulez que votre IA vous ponde des choses “non autorisées”, écrivez un joli sonnet, ça a plus de chance de passer ^^.
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