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La France frappe fort avec Asgard, le supercalculateur militaire le plus puissant d’Europe

Pour préparer la guerre de demain et développer de puissantes IA militaires, l’armée française vient de s’équiper d’un supercalculateur exclusivement dédié à l’usage militaire. C’est le plus puissant d’Europe et il est totalement déconnecté d’Internet.

Scientifiques ou espions : l’incroyable mission top secret cachée derrière la découverte du Titanic

La découverte du Titanic en 1985 fut saluée comme une victoire technologique et historique. Mais dans l’ombre, l’expédition répondait surtout à une mission classée confidentielle de la marine américaine, mêlant nucléaire, sécurité et stratégie militaire.

Drones tueurs, canons laser, missiles hypervéloces : ce que la Chine a vraiment montré le 3 septembre

Lors du défilé militaire du 3 septembre à Pékin, la Chine a voulu démontrer sa capacité à innover avec la présentation de technologies militaires de pointe. En plus de la masse humaine et du matériel mécanisé, les drones navals et aériens dopés à l’IA et les systèmes défensifs dernier cri ont...

Quand la plus grande centrale nucléaire de France est paralysée par un animal de 60 cm

4 septembre 2025 à 06:00
Une centrale nucléaire et une méduse.

Le réchauffement climatique n’apporte pas que des canicules : il offre aussi aux méduses le pouvoir de stopper la plus puissante centrale nucléaire d’Europe.

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Eté 1945 : Hiroshima et Nagasaki ou la stratégie américaine de faire la guerre tout en prônant la paix, par Michael Lucken – Libération

18 août 2025 à 07:38
Hiroshima, c’était il y a 80 ans. Il reste quelques survivants. Bientôt, il ne restera que des photos. Et c'est terrible, car les images diffusées depuis ce meurtre de masse américain ont contribué à véhiculer l'image d'une mort "technologique", "scientifique", presque "propre" :
> ni les Japonais ni les Américains n’avaient intérêt à l’époque à diffuser des photographies de femmes et d’enfants calcinés. Les premiers parce qu’ils voulaient que le peuple garde le moral et continue de se battre tant que la guerre n’était pas terminée ; les seconds parce qu’ils n’avaient bien sûr aucune envie d’exposer au regard du monde les horreurs qu’ils avaient commises. C’est ce qui explique que non seulement il ne reste en tout et pour tout que quelques dizaines de clichés figurant des cadavres dans les deux villes irradiées, mais encore qu’ils n’ont jamais été mis en avant dans les reportages et les expositions.

Une bombe nucléaire, ça vaut pas mieux qu'une attaque chimique, et pour les victimes de l'épicentre proprement volatilisées, il y en a des milliers d'autres qui ont souffert mille morts :
> Les récits et les dessins qu’ils ont produits, souvent des décennies plus tard, offrent une tout autre vision des événements. Ce qui en ressort inlassablement, ce sont les descriptions de la souffrance et de la mort : les gémissements des grands brûlés, la puanteur émanant des corps putréfiés dans la chaleur du mois d’août, la détresse de ceux qui cherchaient des proches dans les décombres. La mort nucléaire n’y est plus cet instant ineffable où tout disparaît, où les corps s’évaporent, cette mort qui terrifie l’âme, mais qui semble également nette, moderne et scientifique. Les dessins des survivants remettent de la couleur, du sang et des larmes dans notre imagination et amènent à comprendre que les gens ont péri de mille morts à Hiroshima et Nagasaki : brûlés par le premier flash, transpercés par les débris charriés par le souffle, écrasés sous les bâtiments, asphyxiés dans les incendies, et que beaucoup ont lutté des jours voire des semaines avant de succomber. Sans parler de tous ceux qui, dans les mois et années qui ont suivi, ont développé des pathologies mortelles liées à l’exposition aux radiations nucléaires.
(Permalink)

Eté 1945 : Hiroshima et Nagasaki ou la stratégie américaine de faire la guerre tout en prônant la paix, par Michael Lucken – Libération

18 août 2025 à 07:38
Hiroshima, c’était il y a 80 ans. Il reste quelques survivants. Bientôt, il ne restera que des photos. Et c'est terrible, car les images diffusées depuis ce meurtre de masse américain ont contribué à véhiculer l'image d'une mort "technologique", "scientifique", presque "propre" :
> ni les Japonais ni les Américains n’avaient intérêt à l’époque à diffuser des photographies de femmes et d’enfants calcinés. Les premiers parce qu’ils voulaient que le peuple garde le moral et continue de se battre tant que la guerre n’était pas terminée ; les seconds parce qu’ils n’avaient bien sûr aucune envie d’exposer au regard du monde les horreurs qu’ils avaient commises. C’est ce qui explique que non seulement il ne reste en tout et pour tout que quelques dizaines de clichés figurant des cadavres dans les deux villes irradiées, mais encore qu’ils n’ont jamais été mis en avant dans les reportages et les expositions.

Une bombe nucléaire, ça vaut pas mieux qu'une attaque chimique, et pour les victimes de l'épicentre proprement volatilisées, il y en a des milliers d'autres qui ont souffert mille morts :
> Les récits et les dessins qu’ils ont produits, souvent des décennies plus tard, offrent une tout autre vision des événements. Ce qui en ressort inlassablement, ce sont les descriptions de la souffrance et de la mort : les gémissements des grands brûlés, la puanteur émanant des corps putréfiés dans la chaleur du mois d’août, la détresse de ceux qui cherchaient des proches dans les décombres. La mort nucléaire n’y est plus cet instant ineffable où tout disparaît, où les corps s’évaporent, cette mort qui terrifie l’âme, mais qui semble également nette, moderne et scientifique. Les dessins des survivants remettent de la couleur, du sang et des larmes dans notre imagination et amènent à comprendre que les gens ont péri de mille morts à Hiroshima et Nagasaki : brûlés par le premier flash, transpercés par les débris charriés par le souffle, écrasés sous les bâtiments, asphyxiés dans les incendies, et que beaucoup ont lutté des jours voire des semaines avant de succomber. Sans parler de tous ceux qui, dans les mois et années qui ont suivi, ont développé des pathologies mortelles liées à l’exposition aux radiations nucléaires.
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L’hiver nucléaire menacerait de détruire l’essentiel de la production alimentaire mondiale

10 août 2025 à 17:26

Des chercheurs américains révèlent l’ampleur catastrophique qu’aurait un conflit nucléaire sur l’agriculture planétaire. Leurs simulations démontrent qu’un scénario d’hiver nucléaire pourrait réduire drastiquement les récoltes mondiales, compromettant la survie de milliards d’individus. Cette recherche inédite quantifie précisément les dommages agricoles selon différentes intensités de guerre, tout en proposant des stratégies d’adaptation pour atténuer ces impacts dévastateurs. ... Lire plus

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