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Une étude sur les risques et protections pour les mineurs en ligne publiée le 25 septembre 2025 révèle que 62 % d'entre eux ont menti pour s'inscrire sur les réseaux sociaux. Et ce n'est pas le seul problème.
Google has introduced Mixboard, an experimental tool available through Google Labs, aimed at enhancing visual brainstorming and moodboard creation with the help of artificial intelligence. Currently in public beta and limited to users in the United States, the platform functions just like Pinterest, as a digital canvas for exploring and organizing design-related ideas.Mixboard is powered by Gemini 2.5 Flash, Google’s AI model, which enables users to build boards starting from […]
Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender
Délivrer à son adolescent son premier smartphone est un cap important. Pour s’assurer qu’il en fera bon usage, quelques précautions s’imposent. En voici les principales.
Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender
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Figma vient d’annoncer une mise à jour majeure qui rapproche encore plus la conception et l’intelligence artificielle. Sa technologie Model Context Protocol (MCP) — qui permet aux modèles d’IA de dialoguer directement avec ses outils — s’étend désormais à Figma Make, la solution de prototypage et de génération d’applications par prompts. MCP + Figma Make : […]
Le site de référence Have I Been Pwned, qui sert à voir si ses données personnelles figurent dans une fuite, a été mis à jour pour inclure l'incident qui a touché Bouygues Telecom cet été. Des millions de clients de l'opérateur sont concernés.
Les bannières de consentement pour accepter ou refuser les cookies sont au centre de la navigation web en Europe. Des bandeaux qui sont omniprésents, mais vis-à-vis desquels les internautes ne prêteraient plus guère attention. Un projet de réforme existe pour moderniser ces bannières, mais soulève d'autres enjeux pour les sites web.
Vous connaissez sans doute ce petit moment de haine, quand Google vous balance pour la 50ème fois ce même site de merde qui diffuse la doc Python mal traduite avec ChatGPT ? Ou alors quand vous cherchez une recette de cuisine tout simple et que Pinterest squatte la moitié des résultats avec ses images floues et ses popups de connexion obligatoire ?
Bon bah aujourd’hui, ça c’est fini, car on va faire le ménage là-dedans.
Et comment on va faire ? Et bien je vous le donne en mille Emile, on va utiliser pour cela uBlacklist, une extension
créée par un certain Iorate
qui permet de faire le ménage dans les résultats de recherche.
uBlacklist, c’est la Marie Kondo du web. L’objectif c’est de garder uniquement les sites qui nous procurent de la joie ? Vous allez pouvoir virer les sites qui pourrissent vos recherches Google et croyez-moi, ça fait un bien fou !!
Ce truc fonctionne sur Chrome, Firefox et même Safari. Pour l’installer, direction le
Chrome Web Store
ou les
add-ons Firefox
et une fois en place, vous allez voir apparaître des petites icones “Bloquer ce site” directement dans vos résultats Google.
Un clic et pouf, le site disparaît à jamais de vos recherches. C’est le kiff non ?
Mais là où ça devient vraiment intéressant, c’est avec les listes publiques. Parce que oui, des gens ont déjà fait le boulot pour vous. Il existe en effet des
listes pour bloquer les sites générés par IA
, des listes anti-Pinterest, des listes contre les fermes de contenu SEO… C’est un peu comme les listes de blocage pour uBlock Origin, mais pour les résultats de recherche. Bref, la communauté s’organise pour nettoyer collectivement le web de ses parasites.
Et cette extension ne se contente pas de Google. Elle fonctionne aussi avec Bing, DuckDuckGo, Brave, Ecosia, et même Yandex pour nos amis de l’Est. Et cerise sur le gâteau, vous pouvez aussi synchroniser vos listes de blocage entre tous vos appareils via Google Drive ou autres service de stockage dans le cloud. Comme ça, le ménage que vous faites sur votre PC, vous le retrouvez automatiquement sur votre téléphone.
Pour les power users, uBlacklist permet même d’utiliser des patterns avancés et même des expressions régulières. Vous pouvez ainsi bloquer *://*.pinterest.*/* d’un coup pour dire adieu à toutes les variantes de Pinterest. Ou créer des règles complexes qui bloquent seulement certaines sections de sites. Faire du sur-mesure, quoi…
Google, l’entreprise qui était censée “organiser” l’information mondiale, est de toute façon devenue tellement polluée par le spam SEO, les sites IA et les fermes de contenu, qu’on ne peut plus s’en sortir sans cette extension… Tu m’étonnes que les gens lui préfèrent de plus en plus Perplexity…
L’arrivée de cette extension me rappelle un peu cette époque où les gens ont commencé à bloquer massivement les pubs… ça a forcé tout l’écosystème publicitaire à évoluer et aujourd’hui avec uBlacklist et ses copains, on fait passer un peu le même message en disant aux moteurs de recherche : “non, on ne veut plus de ces sites de merde dans nos recherches”.
C’est triste d’en arriver là, mais au moins, on n’est plus obligés de subir les algos Google ou d’autres moteurs…
Bref, si vous en avez marre de tomber sur les mêmes sites pourris à chaque recherche, foncez installer uBlacklist et n’hésitez pas à partager vos listes de blocage sur le
Discord
. Et pour ceux qui veulent aller plus loin, il y a aussi le
Super-SEO-Spam-Suppressor
sur GitHub qui propose une approche très “Anticapitaliste” du blocage de spam.
Hé oui, même le blocage de sites devient politique maintenant. On vit vraiment une époque formidable !
Les bannières de consentement pour accepter ou refuser les cookies sont au centre de la navigation web en Europe. Des bandeaux qui sont omniprésents, mais vis-à-vis desquels les internautes ne prêteraient plus guère attention. Un projet de réforme existe pour moderniser ces bannières, mais soulève d'autres enjeux pour les sites web.
De plus en plus ont recours à l’IA non seulement pour augmenter leur productivité, mais aussi pour faire des économies. Mais, selon des chercheurs de Stanford, une telle initiative ne…
Attention, si vous laissez tourner WebGoat sur votre machine, elle sera “extrêmement vulnérable aux attaques”. C’est en tout cas ce qui est écrit en gros sur
la page de ce projet OWASP
, et c’est pas pour faire joli car WebGoat est une application web délibérément pourrie, truffée de failles de sécurité, créée exprès pour que cous appreniez à les exploiter.
Et c’est génial !!
Car on a enfin un truc qui nous permet d’apprendre vraiment comment les hackers s’infiltrent dans les sites web, sans risquer de finir au tribunal. Parce que bon, scanner le site de votre voisin pour “apprendre”, c’est direct trois ans de prison et 100 000 euros d’amende. Alors qu’avec WebGoat, vous pouvez tout péter tranquille depuis chez vous.
WebGoat
, c’est donc un projet open source maintenu par l’OWASP depuis des années qui vous propose uune application web qui ressemble à n’importe quel site lambda, sauf qu’elle est bourrée de vulnérabilités volontaires telles que des injections SQL, XSS, CSRF, contrôle d’accès défaillant… bref, toutes les saloperies du Top 10 OWASP sont là, prêtes à être exploitées.
Et WebGoat fonctionne comme un cours interactif car pour chaque vulnérabilité, vous avez trois étapes : d’abord on vous explique comment ça marche, ensuite vous devez l’exploiter vous-même via des exercices pratiques, et enfin on vous montre comment corriger le problème. On apprend en faisant !
D’après la doc officielle
, WebGoat couvre presque toutes les vulnérabilités du Top 10 OWASP. Pour ceux qui ne savent pas, le Top 10 OWASP c’est LA référence mondiale des failles de sécurité web.
Au sein de WebGoat se cache aussi WebWolf, une application séparée qui simule la machine de l’attaquant. Ça tourne sur le port 9090 pendant que WebGoat tourne sur le 8080, comme ça, vous avez vraiment la séparation entre ce qui se passe côté victime et côté attaquant. WebWolf vous permet également d’uploader vos payloads ou outils, de recevoir des données exfiltrées, et même de simuler un serveur mail pour les attaques de phishing.
Et pour installer tout ça, le plus simple c’est Docker :
docker run -it -p 127.0.0.1:8080:8080 -p 127.0.0.1:9090:9090 webgoat/webgoat
Ou si vous préférez la version standalone avec Java :
Une fois lancé, vous accédez à WebGoat sur http://localhost:8080/WebGoat et WebWolf sur http://localhost:9090/WebWolf. Vous vous créez un compte (c’est juste en local, pas de panique) et c’est parti pour les exercices !
Les leçons sont vraiment bien foutues. Prenez l’injection SQL par exemple. D’abord on vous montre comment une requête SQL mal protégée peut être détournée. Ensuite vous devez exploiter la faille pour voler des numéros de cartes bancaires (fausses, hein), et à la fin, on vous explique comment utiliser les
prepared statements
pour éviter ce genre de conneries.
Et n’allez pas croire que ça s’adresse uniquement aux pro. Non, les débutants ont des exercices guidés avec des indices, et les plus avancés ont des “challenges” sans aucune aide semblables à des CTF (Capture The Flag).
Et pour les développeurs, c’est vraiment un super outil pour comprendre pourquoi votre chef de projet vous casse encore les pieds avec la sécurité ! Car, croyez-moi, une fois que vous avez réussi à dumper toute une base de données avec une simple apostrophe dans un formulaire, vous ne regardez plus jamais les entrées utilisateur de la même façon.
Attention quand même, WebGoat n’est pas un jouet. Les techniques que vous apprenez sont réelles et fonctionneront sur de vrais sites mal sécurisés. D’ailleurs, l’OWASP est très clair là-dessus : “Si vous tentez ces techniques sans autorisation, vous allez très probablement vous faire choper”. Et n’oubliez pas, comme vous ne faites partie d’aucun parti politique, pour vous y’aura vraiment de la zonzon.
D’ailleurs, petite conseil, quand vous faites tourner WebGoat, coupez votre connexion internet ou au moins assurez-vous qu’il n’écoute que sur localhost, parce que si quelqu’un d’autre sur votre réseau découvre que vous avez une application volontairement vulnérable qui tourne… Disons que ça pourrait mal finir ;-).
Ah et WebGoat s’intègre super bien avec d’autres outils de sécurité. Ça permet du coup de se former aussi dans la foulée sur Burp Suite, OWASP ZAP, ou SQLMap.
Bref, installez WebGoat ce weekend et amusez-vous à tout casser. Vous m’en direz des nouvelles !!
La Ligue de Football Professionnel a annoncé en ce début de semaine avoir obtenu une injonction Tribunal judiciaire de Paris qui va lui permettre de continuer son combat contre les IPTV.
Sous le coude : Un framework javascript *léger* (~10 ko) qui s'accomode de divers backends (Python, php, GO...). Et ça supporte même SSE (Server-Side Events) et donc permet de faire des pages très dynamiques sans se coltiner des usines à gaz en Javascript. Le but, c'est vraiment de faire des applications très dynamiques, mais de faire le gros du boulot côté serveur.
Absents en France, les résumés IA (AI Overviews) de Google sont mal perçus en Allemagne par la presse et les éditeurs. Ceux-ci ont décidé de déposer une plainte contre cette fonctionnalité, en mobilisant la récente réglementation européenne du DSA sur les services numériques.
Vous en avez marre de cliquer sur “Accepter les cookies” à chaque fois que vous visitez un site web ? Du genre vraiment marre, au point de parfois renoncer à lire un article plutôt que de devoir encore cliquer sur ces bannières ? Et bien si j’en crois
Mashable
, la Commission européenne envisage sérieusement de revoir la directive e-Privacy de 2009 qui nous a imposé cette avalanche de bandeaux moches.
Enfin !!
Il était temps qu’ils se réveillent à Bruxelles, parce que bon, l’intention de départ était louable c’est sûr… Il s’agissait de protéger notre vie privée en nous demandant notre consentement avant de nous traquer. Sauf que dans les faits, on s’est tous retrouvés à cliquer frénétiquement sur “Accepter tout” juste pour pouvoir lire tranquillement notre article. C’est ce qu’on appelle la “cookie fatigue”, et elle a complètement détourné l’objectif initial de la loi, en plus de faire perdre des heures de travail
à toute l’économie européenne
.
La Commission européenne explore donc plusieurs pistes pour simplifier tout ça. L’idée principale de leurs réflexions, ce serait de permettre aux utilisateurs de définir leurs préférences une bonne fois pour toutes dans les paramètres de leur navigateur. Fini les popups sur chaque site et vos navigateurs Chrome, Firefox, Safari et consorts deviendraient les gardiens de vos préférences cookies. Techniquement, c’est déjà possible avec le Do Not Track, mais personne ne l’utilise vraiment.
Ça m’énerve vraiment de lire ça, car ces bandeaux cookies, c’était vraiment la pire implémentation qu’ils pouvaient mettre en place alors que depuis J-0 tout le monde leur gueule fort dans les oreilles “Mais bande de nazes, faut l’implémenter dans le navigateur”.
Enfin, j’imagine qu’il vaut mieux tard que jamais.
Bref, bientôt les affreux bandeaux cookies qui faisaient mouiller les ayatollahs du RGPD vont disparaitre… quelle bonne nouvelle ! Pour ma part, en ce qui concerne mon site, j’ai écrit à la CNIL (en recommandé svp !) en début d’année pour leur demander leur avis, afin de savoir si je respectais bien le RGPD. Je n’ai jamais eu de réponse de leur part (snif), mais de mon point de vue, de celui de lecteurs dont c’est le métier, de
CookieViz
, et de ma régie pub, j’étais pas trop mal.
Après, depuis mon courrier à la CNIL y’a eu pas mal de changements quand même. J’sais pas si vous avez suivi mon actu, mais cet été, j’ai notamment retiré le bandeau des cookies.
What ??? Suis-je un vil criminel ?
Non, en fait c’est parce que j’ai supprimé tout ce qui était scripts de stats (Google analytics / Matomo) parce qu’elles n’avaient plus aucun sens vu que tout le monde les bloque… J’utilise également uniquement le player “no-cookies” de Youtube, et j’ai aussi enlevé toutes les bannières de pubs parce que c’est quelque chose que je voulais faire depuis loooongtemps. Ça me fait des revenus en moins c’est sûr (ouille), mais je compte
sur mon Patreon
pour contrebalancer ça.
C’était pas une décision simple puisqu’un peu risqué, et j’espère que l’avenir me donnera raison. En plus, comme j’ai aussi totalement
arrêté de partager mes articles sur mes comptes de réseaux sociaux
, ça a provoqué également une jolie petite baisse de trafic. Après, contrairement à mes confrères de la presse tech, je ne suis pas équipé pour faire la course à l’audience vu que je suis à 99% tout seul à écrire, à gérer la technique, le code du site, faire rentrer la thune, et la gestion de ma boite…etc., donc bon, ça ne change pas grand-chose, toutefois ne plus avoir de publicités programmatiques, ça renforce encore cette absence d’enjeux liés au trafic et ça me fait un truc en moins à gérer.
Par conséquent, le site est plus rapide à charger, il est visuellement plus joli (à mon goût), bref, j’en suis très content ! Et ça se ressent sur mes dernières stats (réalisées sans tracking car générées à partir des logs de mon serveur web), puisque mon site a enregistré au mois d’août (le pire mois de l’année à cause des vacances), 1,4 million de visiteurs uniques ! Du coup, je suis assez content et fier parce que ça veut dire que ce que j’écris vous intéresse et ça c’est cool !
Voilà, je referme cette parenthèse sur le meilleur site Tech de France (hein, quoi ?? ^^) pour revenir à cette réforme européenne. Histoire d’avancer un peu, le Danemark a suggéré que les cookies “techniquement nécessaires” ou pour des “statistiques simples” ne devraient plus nécessiter de consentement. Ça paraît logique, mais faut pas oublier quand même que malgré tout, les données s’envolent aux États-Unis la plupart du temps (je pense à Google Analytics) et ça, c’est pas cool, donc j’espère qu’ils resteront vigilants là-dessus, même pour de simples stats.
De leur côté, les lobbyistes de l’industrie Tech poussent fort pour avoir plus de marge de manœuvre afin de décider eux-mêmes de ce qui nécessite un consentement ou pas (lol, tu m’étonnes), mais forcément, les défenseurs de la vie privée tirent la sonnette d’alarme et je les rejoins là-dessus ! En effet, ces derniers craignent qu’on donne trop de pouvoir aux entreprises et qu’on se retrouve avec encore plus de tracking qu’avant, mais cette fois, sans qu’on le sache.
Du coup, la vraie question pour le régulateur c’est de trouver l’équilibre entre une bonne protection de la vie privée et une expérience utilisateur fonctionnelle. Pas simple, mais le Do Not Track (ou un équivalent) pourra aider.
Bref, est-ce qu’on verra disparaître ces satanées bannières RGPD ? Peut-être pas complètement, mais on pourrait au moins avoir quelque chose de plus intelligent qui permettrait de configurer une seule fois vos préférences dans Firefox ou Chrome, et hop, tous les sites respecteront automatiquement vos choix. Comme ça, plus besoin de cliquer sur quoi que ce soit… Les cookies strictement nécessaires passeront alors directement et les cookies marketing seront bloqués si vous l’avez décidé.
Comme ça tout le monde sera content… enfin, j’imagine ?
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