Vue normale

Reçu hier — 5 décembre 2025

Comment ces caméras de « toilettes intelligentes » ont déclenché un scandale sur les données de santé

5 décembre 2025 à 13:20

La société américaine Kohler est accusée d'avoir présenté de façon trompeuse la sécurité de son nouveau dispositif « santé » pour toilettes, Dekoda, en parlant de « chiffrement de bout en bout » alors que l’entreprise peut accéder aux données et aux photos recueillies et les utiliser pour entraîner des modèles d’IA.

Vous avez raté le Black Friday ? Ce VPN premium mais pas cher est idéal pour sécuriser vos achats en ligne avant Noël [Sponso]

5 décembre 2025 à 06:30

Il est temps de préparer ses cadeaux de Noël. Mais avant de se lancer, il est essentiel de sécuriser sa connexion internet. Et en ce moment, le VPN premium CyberGhost est au prix très doux de 2,44 euros par mois.
 [Lire la suite]

Le saviez-vous ? Google News vous permet de choisir vos médias. Ne passez pas à côté de Frandroid et Numerama.

Reçu — 1 décembre 2025
Reçu — 25 novembre 2025

Google réfute catégoriquement les rumeurs d’utilisation de vos e-mails Gmail pour entraîner l’IA

25 novembre 2025 à 16:00
Google réfute catégoriquement les rumeurs d’utilisation de vos e-mails Gmail pour entraîner l’IA
De récentes rumeurs circulent en ligne concernant l’utilisation présumée des contenus Gmail pour entraîner l’intelligence artificielle de Google. Face à ces inquiétudes, la firme américaine affirme catégoriquement qu’aucune donnée issue des courriels n’est exploitée à cette fin.
Reçu — 19 novembre 2025

iMessage Exporter - Pour faire un backup de vos conversations iMessage

Par :Korben
19 novembre 2025 à 07:29

Vous avez combien de messages iMessage sur votre Mac ?

10 000 ? 50 000 ? Plus ????

Vous en avez des amis, dites moi ! Et maintenant, petite question piège : Combien de ces messages pouvez-vous réellement exploiter en dehors de l’app Messages d’Apple ?

Hé bien la réponse va vous surprendre (non) : zéro !

Hé oui, car vos conversations sont stockées dans une base SQLite quelque part sur votre disque dur , mais Apple a fait en sorte que vous ne puissiez rien en faire. Les pièces jointes sont planqués dans des dossiers obscurs avec des noms aléatoires, les métadonnées sont éclatées sur une quinzaine de tables, et les timestamps sont au format Apple (pas Unix). Vous pouvez donc ouvrir la base avec DB Browser si vous voulez, mais vous allez juste pleurer du sang devant votre écran et perdre votre joie de vivre.

Et le plus beau dans tout ça c’est qu’Apple ne propose AUCUN moyen d’exporter vos messages. Y’a rien. Y’a des boutons d’export pour vos photos, pour vos mails, pour vos contacts, mais pour vos SMS et iMessages, c’est podzob !

Donc si vous voulez quitter l’écosystème Apple et migrer vers Android (mais qui fait ça ??? lol), bonne chance pour récupérer ces 10 ans de conversations torrides avec Monique de la compta. Et si vous avez besoin d’archiver des échanges professionnels pour raisons légales, à part faire des centaines de captures écran ou de copier coller, j’vois pas.

Heureusement, un dev nommé ReagentX en a eu marre de cette situation et a créé imessage-exporter, un outil open source en Rust qui fait exactement ce qu’Apple refuse de faire à savoir vous donner accès à VOS propres données dans un format lisible et portable.

L’outil tourne sur macOS évidemment, mais aussi sur Linux et Windows. Comme ça, même si vous avez viré votre Mac depuis 3 ans, vous pouvez quand même récupérer votre ancienne base iMessage et l’exporter tranquillement depuis votre machine Ubuntu ou Windows.

Et au niveau des formats d’export, vous avez le choix entre du txt et du html. Le format html est particulièrement bien foutu parce qu’il recrée l’interface visuelle d’iMessage avec vos bulles bleues et grises, les heures d’envoi, et surtout il préserve tous les médias : photos, vidéos, audios, tout y passe. Vous vous retrouvez avec un site html statique que vous pouvez ouvrir dans n’importe quel navigateur et parcourir comme si vous étiez dans l’app Messages, sauf que là c’est rien qu’à vous et personne peut vous le reprendre (sauf le karma ^^).

Pour l’install, si vous êtes à l’aise avec Rust, hop, un simple cargo install imessage-exporter fera l’affaire. Sinon y’a un package Homebrew (brew install imessage-exporter) ou des binaires précompilés sur la page du projet pour Mac Intel et Apple Silicon.

Notez qu’il vous faudra aussi installer ImageMagick et ffmpeg pour la conversion des pièces jointes, mais rien de sorcier. Ensuite, côté utilisation, c’est de la ligne de commande pure et dure. Par exemple, pour exporter toutes vos conversations en html avec les médias dans votre dossier personnel, vous tapez :

imessage-exporter -f html -c clone

Si vous voulez exporter uniquement les conversations avec un contact spécifique, vous pouvez filtrer par numéro de téléphone :

imessage-exporter -f html -c clone -t "0612345678"

Et si votre base iMessage est corrompue ou que vous soupçonnez des problèmes, l’outil intègre aussi une fonction diagnostic qui va scanner la base et vous remonter les anomalies.

Et l’outil gère iMessage, RCS, SMS, MMS, les conversations de groupe, les messages formatés, les threads de réponse, les messages édités, les traductions, les sondages, les votes, et même les arrière-plans de chat custom. C’est ouf ! Et ça c’est parce que ReagentX maintient ce projet depuis des années et suit les updates Apple en temps réel, ce qui n’est franchement pas une mince affaire vu qu’Apple change régulièrement le schéma de leur base.

Normal que ce projet cartonne !

Voilà si vous tenez un minimum à vos données, allez faire un tour sur le repo GitHub d’imessage-exporter … çaa prend 10 minutes à installer, et vous dormirez mieux en sachant que vos échanges et autres souvenir seront conservés bien au chaud sur votre prochain backup.

Et un grand merci à Lorenper de m’avoir signalé ce projet.

Reçu — 12 novembre 2025
Reçu — 6 novembre 2025
Reçu — 4 novembre 2025
Reçu — 21 octobre 2025
Reçu — 20 octobre 2025

Pourquoi vous devez supprimer vos infos perso (et comment faire sans y passer 200 heures)

Par :Korben
20 octobre 2025 à 07:25
– Article en partenariat avec Incogni

On est bientôt en pleine Cybersecurity Week, et si vous avez encore votre numéro de téléphone, votre adresse ou pire – votre salaire estimé – qui traîne sur des dizaines de sites louches, c’est le moment ou jamais de passer à l’action. Parce que non, ce n’est pas juste “un peu gênant”. C’est une brèche béante dans votre vie privée, et elle coûte cher.

Laisser traîner ses données personnelles, c’est accepter d’être la cible d’hameçonnages, de publicités agressives ou pire, devenir une variable dans des scénarios de fraude. Les courtiers en données collectent et revendent tout ce qu’ils peuvent glaner en ligne — identité, préférences, historiques d’achat ou de navigation, parfois même des données sensibles. Une fois ces infos répandues, les conséquences sont imprévisibles.

Rappelez-vous TikTok, qui vient de se prendre 530 millions d’euros d’amende pour avoir baladé les données européennes vers la Chine comme si c’était un sachet de popcorn. Et ce n’est qu’un exemple parmi des centaines. Vos données, c’est de l’or. Un business à 434 milliards de dollars en 2025. Et vous, vous êtes le produit.

Vos infos sont partout. Vraiment partout

Faites le test : tapez votre nom complet sur Google. Ajoutez votre ville si besoin. Vous allez probablement tomber sur une partie ou l’ensemble des données suivantes :

  • Votre adresse postale (souvent ancienne, mais toujours visible)
  • Votre numéro de portable
  • Vos anciens boulots
  • Des photos que vous pensiez réservées à vos potes
  • Et parfois même une estimation de votre salaire ou de votre patrimoine

Tout ça, ce n’est pas Google qui l’a inventé. Ce sont des data brokers – ces boîtes de l’ombre qui rassemblent, croisent et revendent vos infos à qui veut bien payer. Et elles sont légion. Une étude d’Incogni montre que certaines personnes retrouvent leurs données sur plus de 200 sites différents. Oui, deux-cent.

Et le pire ? Ces données ne restent pas statiques. Elles circulent. Elles sont rachetées, enrichies, croisées avec d’autres sources… jusqu’à ce qu’un inconnu puisse vous appeler en connaissant votre prénom, votre quartier, votre fournisseur d’électricité, et le nom de votre chat.

Le RGPD, c’est bien… mais c’est pas magique

En Europe, on a el famoso RGPD, qui nous donne un droit à l’oubli. Super en théorie, mais en pratique … c’est autre chose. Parce que pour le faire valoir, il faut :

  • Identifier tous les sites qui détiennent vos données (“bon chance” comme dirait Liam Neeson)
  • Trouver leur formulaire de suppression (s’il existe)
  • Envoyer une demande conforme
  • Relancer s’ils ne répondent pas
  • Recommencer tous les 3 à 6 mois, parce qu’ils recollectent vos infos dès que vous avez le dos tourné

Bref, c’est chronophage, chiant, et peu efficace à grande échelle. Surtout quand on sait que 10 nouveaux data brokers récupèrent vos infos chaque jour.

Alors, comment s’en sortir ?

La bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas obligé de devenir un expert en droit de la vie privée ni annuler vos week-ends en famille pour remplir des formulaires à la pelle.

Incogni, le service de suppression automatisée de données personnelles , fait exactement ce boulot à votre place. Et franchement, vu le prix, c’est un deal.

Pour une dizaine d’euros par mois (ou moins de 6 €/mois avec le code KORBEN55, merci la Cybersecurity Week), Incogni :

  • Scanne en continu plus de 420 data brokers (y compris 150+ bases privées non accessibles au public)
  • Envoie des demandes de suppression conformes au RGPD, CCPA, et autres lois locales
  • Relance automatiquement tous les 60 à 90 jours pour éviter que vos données ne réapparaissent
  • Vous permet de demander la suppression sur n’importe quel site via la fonction “custom removals” (disponible sur le plan Illimité)

Résultat après 3 ans d’utilisation de mon côté ? 232 suppressions confirmées. Et ce n’est pas du flan : Incogni est la première entreprise du secteur à avoir fait auditer ses résultats par Deloitte. Oui, 245 millions de suppressions réussies à l’échelle mondiale, vérifiées par un tiers indépendant.

Attention aux apps gratuites – surtout si elles ne sont pas européennes

Pendant que vous vous demandez si vous avez vraiment besoin de ce service, sachez que 88 % des applis américaines et 92 % des applis chinoises partagent vos données avec des tiers. Contre seulement 54 % pour les applications européennes.

Et devinez qui est en tête du classement des plus gros collecteurs ? (on va voir si vous avez retenu la leçon)

  • Meta avec Threads & Instagram (37 types de données), WhatsApp (14)
  • TikTok est juste derrière avec 24 types
  • Les apps de streaming : Prime Vidéo (17), Netflix (12), Disney+ (9) etc.
  • ChatGPT (9)
  • Signal, lui, se contente de 3. La différence, elle est là.

Les apps de shopping comme Temu ou AliExpress ? Elles aspirent tout ce qu’elles peuvent. Les apps de fitness ou de santé mentale ? Elles vendent vos données les plus intimes sans sourciller.

Et on ne parle pas ici de votre simple adresse mail ou votre géolocalisation, mais bien de vos tendances politiques, orientations sexuelles, score de crédit, etc.

Selon l’étude (et pour donner des exemples concrets) : Netflix récolte vos enregistrements vocaux, Temu récupère la liste de toutes les applis que vous utilisez, Meta (en dehors de WhatsApp) récupère vos calendriers, vos photos et vos vidéos à des fins marketing, etc.

Donc non, “je ne poste rien de sensible” ne suffit plus. Vos données fuient de partout, souvent sans que vous le sachiez.

Et pour les entreprises ?

Incogni propose aussi le plan Ironwall360, une version dédiée aux entreprises, administrations, tribunaux ou forces de l’ordre. Parce que quand on est juge, avocat, ou travailleur social, voir ses coordonnées publiques peut vite devenir un problème de sécurité bien réel. Ironwall gère ça avec une approche sur mesure, des équipes dédiées, et un support 24/7 – y compris en urgence.

Mais pour nous, simples mortels, le plan perso suffit largement. Surtout avec la promo pour la Cybersecurity Week qui battra bientôt son plein (du 17 au 20 novembre à Rennes). Pour rappel la CW fédère pros et passionnés, avec pour leitmotiv la souveraineté numérique et la résilience. D’année en année, la cybersécurité évolue, mais l’exploitation des données personnelles y sera de nouveau présente. Surtout face à la montée croissante des menaces liées à l’intelligence artificielle et la manipulation automatisée de l’identité numérique.

Faut-il vraiment payer pour ça ?

Techniquement, non. Vous pouvez tout faire vous-même. Mais combien de temps ça va vous prendre ? Combien de fois allez-vous devoir relancer ? Et surtout : combien de fois allez-vous oublier de le faire (parce que la flemme quoi, y’a la dernière saison de Stranger Things à mater), avant que vos infos ne réapparaissent sur un nouveau site de merde pas top ? Un parcours éprouvant qui rebute le plus motivé des internautes.

Alors pendant cette Cybersecurity Week, faites-vous un cadeau : reprenez le contrôle.

👉 Profitez des -55 % avec le code KORBEN55

À moins de 6 €/mois (soit bien moins cher que ses concurrents directs), Incogni fait le sale boulot à votre place, en continu, sans que vous ayez à lever le petit doigt. C’est moins cher qu’un café par semaine. Et franchement, entre votre prochain café et votre tranquillité d’esprit, le choix est vite fait (cette phrase ne s’applique pas forcément entre 6h et 8h du matin).

Effacer complètement sa présence en ligne ? Impossible.
Mais la réduire drastiquement, limiter les fuites, couper les vivres aux data brokers ? Oui, c’est possible. Et avec Incogni, c’est même devenu accessible à tout le monde.

→ Cliquez ici pour en savoir plus sur Incogni ←

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