Add Grav scheduler as a php script - General - Grav Community Forum
Un moyen simple d'exécuter le scheduler de Grav sur un serveur Web mutualisé sur lequel il n'est pas possible d'exécuter des requêtes CRON
— Permalink
Un moyen simple d'exécuter le scheduler de Grav sur un serveur Web mutualisé sur lequel il n'est pas possible d'exécuter des requêtes CRON
La technique que j'ai indiqué dans une précédente note[0] ne fonctionne pas d'emblée pour moi.
Pour que cela fonctionne, et comme indiqué dans cette page[1], j'ai du rajouter NoNewPrivileges=false
dans la section [Service]
du service à partir duquel je souhaite envoyer un mail en cas d'erreur.
Entre temps, j'ai trouvé une meilleure solution plus facile à administrer : https://wiki.archlinux.org/title/Systemd#Notifying_with_e-mail
Une fois mise en place, il suffit de rajouter OnFailure=status_email_user@%n.service
dans la section [Unit]
du service à partir duquel on souhaite envoyer un mail en cas d'erreur.
D'autres ressources :
[0] : Renouvellement automatisé de certificats Letsencrypt avec certbot sur Debian
[1] : snapwebsites postfix/postdrop[18189]: warning: mail_queue_enter: create file maildrop/259373.18189: Permission denied https://linux.m2osw.com/snapwebsites-postfixpostdrop18189-warning-mailqueueenter-create-file-maildrop25937318189-permission
Je découvre que le cron /etc/cron.d/certbot
n'est en fait pas utilisé sur mon serveur Debian.
Dans ce fichier, il est précisé que c'est le timer certbot.timer
de systemd qui est utilisé (si on utilise systemd comme init, comme c'est le cas par défaut).
C'est donc pour cela que je ne recevais jamais de mail pour les renouvellements foirés de certificats Letsencrypt.
Oui, car par défaut, et contrairement au fonctionnement par défaut de cron, aucun mail n'est envoyé en cas d'erreur à l'exécution de la tâche planifiée. ¯_(ツ)_/¯
Voici une solution pour changer cela.
Micron et Astera Labs se sont associés à l’occasion de la DesignCon 2025 pour présenter le premier SSD PCIe 6.0 au monde.
Cet article SSD PCIe 6.0, Micron décroche un débit de 27,14 Go/s a été publié en premier par GinjFo.
Il n'y a qu'une seule chose à faire : déclarer collectivement la guerre à Macron ! Et quand je parle de déclarer la guerre, je parle bien d'un vraie guerre, avec un soulèvement, des armes et une ambiance propice à la guillotine en cas de victoire.
Permettez-moi d'argumenter cette idée folle.
Si vous ne faites rien, vous serrez réquisitionnés pour une guerre que nous n'avez pas souhaité, pour laquelle vous ne voulez sûrement pas combattre, et qui a démarré pour des raisons et des intérêts qui ne sont pas les vôtres.
Bref, vous irez au casse-pipe.
Alors que si tout le monde se soulève unanimement pour faire la guerre à l’Élysée, les risques de mourir sont bien moins grands et nous pourrons en profiter pour récupérer la démocratie, instaurer le RIC, sortir de l'UE (qui veut la guerre) et surtout, SURTOUT, nous débarrasser de cette masse pourrie de corrompus.
Cela fait des années que mes amis qu'ils soient anarcho-communistes ou libertariens parle de ce grand soir, et les deux camps s'accordent à dire qu'il manque un électrochoc, un truc qui ne laisse pas le choix. La réquisition, aller crever pour la grandeur d'un taré, si ça n'est pas un bon argument alors je ne sais pas ce qu'il faut.
Macron en parle à demi-mot, la stratégie du pied dans la porte a déjà commencé. La gauche et la droite ont pour la première fois depuis, et depuis dès années, une TRÈS bonne raison de s'allier : se débarrasser des parasites et empêcher nos gosses d'aller crever dans un conflit qui n'est pas le notre.
Diffusez ce message, pensez à cette idée et finissons le travail des Gilets Jaunes.
— Liens directs
Si les deux hommes ont donné l’impression de vieux amis heureux de se retrouver et ont multiplié les flatteries, cette camaraderie de façade ne peut masquer la rupture de plus en plus nette entre alliés. En effet, au même moment, au siège des Nations unies à New York, les Américains rompaient avec les Européens pour rejoindre les rangs de la Russie et de la Chine.
Vous vous rappelez ce que j'écrivais il y a 4 jours ? Trump est pro-Poutine. Nous sommes en train d'assister à un retournement d'alliance, d'un basculement Est/Ouest à une entente USA-Russie-Chine, qui désormais votent de concert à l'ONU.
Ça implique pas mal de choses, notamment, à moyen-terme, l'explosion de l'OTAN, et la fin du "parapluie nucléaire" américain en Europe.
Des bons de la défense nationale.
Comme avant chacune des précédentes guerres mondiales.
« Je vais lui dire : 'Au fond, tu ne peux pas être faible face au président Poutine. Ce n'est pas toi, pas ta marque de fabrique, ce n'est pas ton intérêt' », a expliqué le président français. « Comment ensuite être crédible face à la Chine si tu es faible face à Poutine ? », a-t-il encore fait valoir. « La deuxième chose à dire : 'Si tu laisses l'Ukraine prise par Poutine, la Russie sera inarrêtable pour les Européens', car elle 'va récupérer l'Ukraine et son armée, qui est l'une des plus grandes d'Europe, avec tous nos équipements, y compris les équipements américains. C'est une faute stratégique énorme' », a encore plaidé le chef de l'État, qui veut convaincre Donald Trump que « c'est son intérêt de travailler avec les Européens en ce moment ».
Ah, merde. Je n'avais pas vu les choses comme ça. Cela étant, je ne pense pas que l'argumentaire de Macron, ou des autres dirigeants européens, soit de nature à faire changer Trump d'avis. Déjà parce qu'on ne peut pas raisonner un rhinocéros. Ensuite parce que je suis profondément convaincu, pour dire les choses rapidement, que Trump est pro-Poutine, qu'il ait été élu avec son soutien (Cf. le procès avorté des malversations russes lors de l'élection de 2016) ou pas.
Si les deux hommes ont donné l’impression de vieux amis heureux de se retrouver et ont multiplié les flatteries, cette camaraderie de façade ne peut masquer la rupture de plus en plus nette entre alliés. En effet, au même moment, au siège des Nations unies à New York, les Américains rompaient avec les Européens pour rejoindre les rangs de la Russie et de la Chine.
Vous vous rappelez ce que j'écrivais il y a 4 jours ? Trump est pro-Poutine. Nous sommes en train d'assister à un retournement d'alliance, d'un basculement Est/Ouest à une entente USA-Russie-Chine, qui désormais votent de concert à l'ONU.
Ça implique pas mal de choses, notamment, à moyen-terme, l'explosion de l'OTAN, et la fin du "parapluie nucléaire" américain en Europe.
Des bons de la défense nationale.
Comme avant chacune des précédentes guerres mondiales.
« Je vais lui dire : 'Au fond, tu ne peux pas être faible face au président Poutine. Ce n'est pas toi, pas ta marque de fabrique, ce n'est pas ton intérêt' », a expliqué le président français. « Comment ensuite être crédible face à la Chine si tu es faible face à Poutine ? », a-t-il encore fait valoir. « La deuxième chose à dire : 'Si tu laisses l'Ukraine prise par Poutine, la Russie sera inarrêtable pour les Européens', car elle 'va récupérer l'Ukraine et son armée, qui est l'une des plus grandes d'Europe, avec tous nos équipements, y compris les équipements américains. C'est une faute stratégique énorme' », a encore plaidé le chef de l'État, qui veut convaincre Donald Trump que « c'est son intérêt de travailler avec les Européens en ce moment ».
Ah, merde. Je n'avais pas vu les choses comme ça. Cela étant, je ne pense pas que l'argumentaire de Macron, ou des autres dirigeants européens, soit de nature à faire changer Trump d'avis. Déjà parce qu'on ne peut pas raisonner un rhinocéros. Ensuite parce que je suis profondément convaincu, pour dire les choses rapidement, que Trump est pro-Poutine, qu'il ait été élu avec son soutien (Cf. le procès avorté des malversations russes lors de l'élection de 2016) ou pas.