Comparatif : quelles sont les meilleures liseuses électroniques en 2025 ?
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Google dévoile Gemini Enterprise, une nouvelle plateforme d’intelligence artificielle dédiée aux clients professionnels.
Gemini Enterprise est conçu pour offrir aux employés une interface de type conversationnelle, via laquelle ils peuvent interagir avec les données, les documents et les applications de leur entreprise.
En pratique, la plateforme combine plusieurs composantes :
des agents pré-configurés (par Google) pour des tâches comme la recherche approfondie ou l’analyse de données ;
la possibilité pour les entreprises de créer et déployer leurs propres agents personnalisés ;
une connexion sécurisée aux données de l’entreprise, qu’elles résident dans Google Workspace, Microsoft 365 ou des applications professionnelles (Salesforce, SAP, etc.)
un cadre centralisé de gouvernance pour surveiller et auditer les agents déployés.
Google présente Gemini Enterprise comme une « porte d’entrée » unique pour l’IA au sein du lieu de travail — une interface unifiée destinée à connecter les différents outils, données et processus.
Google annonce que certaines entreprises ont déjà adopté Gemini Enterprise ou sont engagées dans cette démarche. Parmi elles figurent Gap (distribution de vêtements), Figma (logiciel de design) et Klarna (service de paiement différé, BNPL)
D’autres partenariats sont également évoqués : par exemple, Accenture prévoit d’intégrer Gemini Enterprise dans ses propres opérations pour faciliter le partage des connaissances et l’automatisation de processus.
Google mentionne que le réseau de partenaires (éditeurs de logiciels et prestataires) pourra proposer des agents compatibles avec la plateforme, ce qui élargirait l’écosystème utilisable par les entreprises clientes.
Cette nouvelle plateforme s’appuie sur les acquis de Google dans le secteur professionnel, notamment Google Workspace, qui depuis quelque temps intègre des fonctionnalités d’IA basées sur Gemini.
Cependant, il ne s’agit pas simplement d’une extension ou d’un rebranding de l’offre IA de Workspace : Gemini Enterprise est déployé comme une plateforme distincte, sous l’égide de Google Cloud, avec des capacités plus larges et plus spécialisées pour l’agentique d’entreprise.
Quelques points à surveiller ou à approfondir :
Sécurité et gouvernance : connecter des agents à des données sensibles d’entreprise implique des besoins élevés en contrôle d’accès, auditabilité et protection des données. Google met en avant un cadre de gouvernance centralisé, mais la mise en œuvre pratique à grande échelle restera un défi.
Adoption interne : convaincre des équipes non techniques de construire et d’utiliser des agents personnalisés suppose une interface accessible (par exemple sans codage) et un accompagnement. Google évoque un « no-code workbench ».
Interopérabilité et intégration : les entreprises ont déjà des systèmes variés (ERP, CRM, bases de données internes). La capacité de Gemini Enterprise à s’intégrer à ces environnements sera déterminante.
Compétition et différenciation : Microsoft, OpenAI et d’autres acteurs multiplient leurs offres pour entreprises. Le succès dépendra de la valeur ajoutée offerte (modèles, agents, intégration, coût) comparée à ce que proposent les concurrents.
Évolutivité et robustesse : pour remplacer ou compléter des processus métiers critiques, la plateforme devra garantir stabilité, performances et capacité à monter en charge.
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Nomios annonce l’acquisition d’Intragen, pour un montant non commuiqué, pour consolider sa position sur le marché européen.
Intragen apporte à Nomios une expertise spécifique dans la gestion des identités numériques et des accès à privilèges (PAM). L’entreprise collabore notamment avec les éditeurs CyberArk, SailPoint, One Identity et Okta. Elle a reçu plusieurs distinctions, dont le titre de « partenaire mondial de l’année » de One Identity en 2023 et celui de « partenaire européen de l’année » d’Okta en 2025. Ses 250 experts gèrent aujourd’hui la sécurité de millions d’identités à travers l’Europe.
L’intégration d’Intragen permettra à Nomios d’élargir son offre, couvrant désormais l’ensemble des domaines de la cybersécurité, du réseau à la gestion des identités.
Nomios structure ses activités autour de trois pôles : la Gouvernance, Risque et Conformité (GRC), qui assure l’accompagnement stratégique et la gestion des risques ; les Professional Services, dédiés à l’intégration et au déploiement de solutions de sécurité ; et les Services managés, qui garantissent la supervision et la maintenance des systèmes via les centres SOC (Security Operations Centre), NOC (Network Operations Centre) et VOC (Vulnerability Operation Centre).
Le groupe tire aujourd’hui environ 75 % de son chiffre d’affaires de la cybersécurité, contre 25 % pour les activités réseau. Plus de la moitié (55 %) de son chiffre d’affaires net provient de ses services propres, ce qui contribue à la stabilité et à la prévisibilité de son activité.
Sur le plan géographique, 60 % de l’EBITDA de Nomios est généré hors de France, principalement aux Pays-Bas, en Italie et au Royaume-Uni.
Avec cette acquisition, Nomios vise un chiffre d’affaires de 650 millions d’euros et un EBITDA de 75 millions € en 2026. L’intégration d’Intragen doit permettre d’accélérer la croissance du groupe, d’élargir son portefeuille de clients et de renforcer son offre en services récurrents, notamment dans les domaines de la gestion des identités et de la cybersécurité managée.
Intragen opérera dans un premier temps comme entité distincte sous la marque Intragen by Nomios, avant d’être intégrée comme segment autonome au sein du groupe. Les équipes existantes seront conservées, et la direction actuelle d’Intragen continuera de piloter l’activité.
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Face à la pénurie persistante de talents, les DSI jonglent entre conformité, modernisation et résilience. En France, 75 % des organisations manquent de compétences cyber et plus d’un tiers subissent déjà un impact « grave » ou « significatif ». La statistique claque comme une alarme : 64 % des entreprises de la zone EMEA reconnaissent avoir recours à des solutions temporaires […]
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C’est dans son cabinet, rue de Belleville, que nous retrouvons Romano Bianchi, sexologue professionnel. Après nous avoir proposé un thé, un café et un Pornstar Martini, celui que la profession surnomme affectueusement “Docteur Love” s’assoit confortablement dans un grand sofa en cuir vêtu d’une robe de chambre léopard à brassières. “Vous savez, un homme sur quatre est éjaculateur précoce. Il n’y a rien de honteux et il existe des solutions très simples pour inverser la tendance” explique-t-il, avant de sortir d’un tiroir un carnet sobrement intitulé “1001 astuces pour durer plus de 14 secondes”.
À l’intérieur, Romano se met à nous lister les conseils indispensables à ses yeux pour aider les éjaculateurs précoces à vaincre leur handicap. “J’avais un patient particulièrement précoce, Donovan.” raconte-t-il. “Mais depuis que je lui ai conseillé de réciter l’annuaire à voix haute pendant l’acte, il m’a avoué avoir réussi à tenir plusieurs fois jusqu’à Jérôme Charbouin” poursuit-il, ému. “Un autre patient, Robert, était un cas dramatique. Aujourd’hui, il a réussi à résoudre pour de bon son problème de précocité simplement en devenant Pape.” explique-t-il, fier de lui. Quand on lui demande si ce problème peut toucher tous les hommes, Romano marque un temps.; “Bien sûr. Il m’arrivait moi-même d’être précoce lors de mes ébats avec Sylvie, ma mère. Aujourd’hui, tout ça c’est du passé grâce à une astuce simple : je pense à Sigmund Freud pendant tous mes rapports” nous confie-t-il goguenard, avant d’envoyer un bisou en direction d’un portrait du psychiatre, la barbe hirsute et l’œil hagard, accroché sur son mur.
Des solutions “faciles à appliquer, simples à mémoriser et terriblement efficaces” que le docteur Bianchi continuera à nous détailler pendant près de 2h30. Un moment inconfortable et particulièrement déplaisant que nous aurions largement préféré abréger en moins de trois minutes.
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La question taraude de nombreux Français, et on les comprend. Pour donner rendez-vous à un ami, faut-il dire “On se voit mardi en huit” ou est-il préférable de dire “On se revoit dans deux gouvernements Macron” ? Avant de répondre à cette épineuse question, il semble important de revenir sur le sens de l’expression “mardi en huit”, que seules 17 personnes utilisent correctement en France (source : Ipsos 2023).
“Mardi en huit” désigne le mardi à venir, à partir du 8ème jour à partir d’aujourd’hui. Concrètement, si nous sommes lundi 6 octobre, mardi en 8 correspond au mardi 14 octobre : jusqu’ici, rien de bien compliqué. Mais si nous sommes mercredi 8 octobre, ça se corse : “mardi en 8” correspond alors au mardi 21 octobre, soit 13 jours plus tard, c’est-à-dire 22,3 gouvernements Lecornu environ.
Une langue qui doit évoluer avec son temps
Dans les faits, il est donc incorrect de dire “On se revoit dans deux gouvernements Macron” si vous souhaitez évoquer une période de plus de 28 heures : Emmanuel Macron aura déjà eu le temps de recevoir au moins 4 démissions de Premiers ministres. En revanche, l’Académie française autorise l’utilisation de l’expression “Quand on aura un gouvernement” à la place de “Quand les poules auront des dents”, jugée trop désuète. De même, “gros comme un camion” pourrait rapidement être remplacé par “gros comme l’ego de Retailleau”, si l’on en croit Muriel Pasquier, linguiste : “La rime en “o” sonne bien, et l’ego de Bruno Retailleau est bien plus gros qu’un camion, donnant encore plus de poids à l’expression”. À défaut d’une ligne politique stable, Emmanuel Macron peut au moins se targuer d’avoir offert aux Français des expressions truculentes.
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Après le « lieu totem », la « station d’appairage ». Ainsi doit évoluer le Campus Cyber, selon son président Joffrey Célestin-Urbain.
L’intéressé parle aussi de « plate-forme de connexion multiprises ». L’idée est la même : créer du liant entre l’écosystème cyber français et les écosystèmes européens. Il en résulterait ainsi davantage de confiance… notamment au plan économique. « Derrière, si vous avez cette confiance, vous pouvez développer des mécanismes d’achats croisés. Ça ne marchera pas si nous n’avons pas un sentiment d’appartenance commune. Et ça, ça se bâtit à partir d’écosystèmes comme le Campus. »
Au niveau national, il faudra compter sur les campus régionaux. « Depuis quelques mois, on a vraiment redynamisé les échanges, assure Joffrey Célestin-Urbain. La cabine de pilotage assurée par le [campus national] avait été un peu désertée, on l’a réinvestie. » Le plan d’action commun reste néanmoins en cours de définition. Tout au plus nous fait-on une promesse : « Peu importe la porte d’entrée dans le réseau des campus, [un accès] à un contenu de qualité qui vous apporte un certain nombre de services en partie harmonisés. »
La notion d’écosystème devra constituer le « complément non immobilier » à la location d’espaces, qui représente actuellement 78 % des revenus. En toile de fond, le départ de certains locataires. « La communauté a eu raison de se questionner sur ce qui était en train de se passer avec le Campus Cyber, […] une belle endormie qui vivait sur l’impulsion politique des débuts« , admet Joffrey Célestin-Urbain. Et de se projeter, en parallèle, sur ce qu’il appelle une « couche de services méta-écosystémique ». Dit autrement, un ensemble de services pour accompagner les entreprises qui veulent se créer en cybersécurité. Une « couche non marchande » s’y ajoutera. En d’autres termes, la production d’externalités positives, d’activités d’intérêt général. « Ce sera une discussion à avoir avec l’État » avec, en tête, les contraintes politiques et sur les finances publiques… « On peut se dire qu’à court et à moyen terme, il n’y a qu’un KPI : la satisfaction des résidents« , avance cependant le président du Campus Cyber.
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Les makers ont ouvert la voie, les industriels s’en emparent : les cartes de développement passent à l’échelle. Entre edge computing, cybersécurité et souveraineté numérique, ces plateformes low-cost redéfinissent les fondations technologiques de la production connectée. Initialement conçues pour l’éducation ou le prototypage, les cartes de développement comme le Raspberry Pi, l’Odroid ou le BeagleBone […]
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La polémique autour de son coup au thorax sur un enfant de 6 ans à écorné l’image de Nawell Madani qui a été contrainte d’annuler sa tournée. Cependant, l’humoriste a entamé une reconversion étonnante : « Elle rejoint l’équipe pédagogique de Notre-Dame de Bétharram. C’est une très belle recrue qui saura mettre du sourire sur le visage des élèves. Ils pleureront toujours, mais de rire ! » s’exclame l’ancien Premier ministre François Bayrou, qui aurait fait les entremetteurs. « S’il nous augmente pas, le prochain ministre de l’Education, je le défonce ! » a écrit Nawell sur Instagram.
Pour en savoir plus sur l’incident, nous avons rencontré Nawell Madani dans les loges du King Comedy à Bruxelles. La star tente d’abord de nous expliquer qu’elle préparait « Un film de kung-fu pour enfants. Encore une daube que j’ai vendu une fortune à Netflix ». Mais très vite, la comédienne fend l’armure : « La vérité c’est que je suis tendue par la situation politique. Ne pas avoir de gouvernement c’est stressant, pourtant je suis Belge, je devrais être habituée ! » nous dit-elle avant de nous virer de sa loge d’un grand coup au thorax puis de nous étrangler avec une prise de jiu-jitsu.
Illustration Comédie +
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Monaco – Envoyé spécial – « Le message est simple : winter is coming. »
Loin de la satisfaction qu’il avait affichée l’an dernier au sortir des JO, Vincent Strubel a ouvert les Assises de la sécurité 2025 sur une perspective pour le moins pessimiste. En l’occurrence, l’engagement de nos armées dans un conflit d’intensité à l’horizon 2030 ; avec, simultanément, une hausse massive des attaques hybrides sur le territoire français.
Le directeur général de l’ANSSI reprend en fait une hypothèse formulée dans la dernière Revue nationale stratégique, publiée en juillet. Il ne manque par d’affirmer que cet horizon « donne d’autant plus de sens à notre travail collectif de construction de la cyberrésilience ».
Ce travail conduit à fixer des règles et à préparer la gestion de crise. Il implique aussi une notion dont l’agence a fait son mantra : « changer d’échelle ». En d’autres termes, diffuser la cybersécurité dans le tissu économique. Dans cette optique, elle mobilise, entre autres, le levier de l’entraînement, illustré par l’organisation, le mois dernier, de l’exercice REMPAR25.
Dans le même esprit, l’ANSSI a fait évoluer ses référentiels PASSI (audit) et PRIS (réponse aux incidents) pour étendre leur champ d’application. Au niveau d’exigence « élevé » (cœur historique du besoin) s’est ainsi ajouté le niveau « substantiel », axé sur le besoin des plus petits acteurs.
Dans les prochains mois, l’agence devrait finaliser des travaux portant sur les solutions de détection. Ils concernent aussi bien les prestataires que les produits. L’occasion pour Vincent Strubel de rappeler, comme il l’avait déjà fait voilà quelques semaines, qu’il n’est pas question de rogner sur l’exigence de souveraineté qui s’applique aux OIV. « Ce serait un contresens historique. On cherche en revanche à ouvrir le champ des possibles, à ne pas rester sur une réglementation figée qui vieillit forcément mal dans notre domaine. » Il s’agit, poursuit-il, de « se donner la chance d’avoir le meilleur résultat pour chaque type d’architecture« . En ligne de mire, notamment, les EDR et les NDR actifs.
Au niveau européen s’ouvre un autre chantier : la révision du Cybersecurity Act. Après l’avoir étendu aux services managés (en plus des produits, services et processus TIC), la Commission européenne cherche, en particulier, à simplifier les exigences de reporting et à intégrer davantage l’aspect chaîne d’approvisionnement logicielle. Le DG de l’ANSSI y voit l’occasion de « prendre en compte des risques qualifiés de non techniques, liés à nos dépendances techniques« . Il évoque les besoins de protection contre les « accès aux données qui échappent à notre droit » comme contre « la possibilité de voir un service coupé par une décision dans laquelle on n’a pas voix au chapitre ».
Autre source d’inquiétude : les « mouvements de fond dans le paysage numérique qui nous forcent à changer nos approches dans tous les domaines », de la certification à la remédiation. « On ne peut pas faire un dump de la mémoire d’un cloud, patcher une IA, faire sans le dépositaire unique d’une technologie-clé« . Ces évolutions s’inscrivent toutefois dans une durée qui permet de s’ajuster, tempère Vincent Strubel.
Le discours est différent au sujet de la menace quantique : « Si on ne prend pas en compte ce risque maintenant, on sera dans une situation ou tout s’effondrera d’un coup« . Un obstacle est aujourd’hui levé, affirme-t-il : l’évaluation des algorithmes post-quantiques. L’agence a prononcé, il y a quelques jours, ses deux premières certifications, pour Thales et Samsung. En 2027, elle n’acceptera plus, en entrée de qualification, des produits ce sécurité qui n’intègrent pas une cryptographie résistante à l’ordinateur post-quantique. Elle recommande déjà de ne pus acquérir de telles solutions, mais pourrait, « si besoins dans certains cas », l’imposer à l’horizon 2030.
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L’opérateur français ITS Integra a entamé le processus de qualification SecNumCloud pour ses solutions ITSecureCloud et ITSecureKube. Cette double démarche s’inscrit dans le mouvement de souveraineté numérique impulsé par l’État et pourrait marquer un tournant pour le marché du Cloud sécurisé en France. L’opérateur français ITS Integra, spécialisé dans les services managés et les infrastructures […]
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Avec ShowPilot, Videlio introduit une plateforme de supervision des équipements audiovisuels et des espaces de travail intégrant les enjeux de performance énergétique et de transformation des environnements collaboratifs. Un outil qui place la donnée au cœur de la gestion des bâtiments connectés. Videlio, spécialiste français de l’intégration audiovisuelle, dévoile ShowPilot, une plateforme de supervision destinée […]
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Face à des clients coincés entre l’inflation et la dette publique, les commerçants ont dû trouver de nouvelles solutions pour séduire des Français, de moins en moins enclins à dépenser : “On a pensé à ce nouveau système de vente qui nous vient directement des US. Là-bas, ils font ça depuis des années, ils ont toujours une longueur d’avance sur nous, surtout quand il s’agit de faire consommer des pauvres” nous déclare Philippe, dirigeant d’un Chauss’Tout des Hauts-de-France.
Une nouvelle mesure plutôt bien reçue de la part des clients qui y voient de nombreux avantages : “Parfois, on use une chaussure plus que l’autre, surtout quand on a une hanche mal soignée comme moi. C’est alors plus logique et économique de racheter qu’une seule chaussure !” déclare Roger de Nangis. C’est le cas aussi pour Véronique, mère de famille à Surgères : “Graĉe à la prime de rentrée, j’ai pu acheter les affaires scolaires des enfants, mais pour les nouvelles chaussures, il ne me restait plus assez. Grâce à ça, je peux leur acheter une première chaussure maintenant, et puis leur offrir la seconde pour Noël, si j’arrive à économiser!”.
Des mesures pour faciliter la vie des Français
La vente des chaussures à l’unité n’est qu’une des nouvelles façons de permettre aux plus démunis de dépenser leur argent autrement. Ainsi, les supermarchés vont de leur côté proposer la vente de confiture à la cuillère. Concernant les voitures, les modèles de base seront à des prix bien plus accessibles, mais les portières, les roues, le volant, le liquide de frein, ou encore les sièges seront en option. Et enfin, pour ceux qui ont des dépenses urgentes, l’État proposera des prêts, sans dossier préalable nécessaire, allant jusqu’à 1000€ à un taux d’intérêt de 45%.
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Costume noir Celio Club, chemise blanche Uniqlo, chaussures en cuir de chez Bexley et after-shave Acqua di Parma, c’est sous cette nouvelle forme que Samsa, une blatte germanique, s’est réveillée ce matin dans sa chambre praguoise. Au prix d’un effort surhumain, Samsa parvient à s’extraire de son lit et découvre dans le miroir de la salle de bain l’image d’un homme brun d’une trentaine d’années rasé de près, les cheveux fortement gominés et 32 dents définitives blanchies au peroxyde. Une vision d’horreur qui la pousse immédiatement à se barricader dans sa chambre en feignant de ne pas entendre les appels de son père, de sa mère, de sa sœur, et de ImmoStores, sa toute nouvelle entreprise de Vélux.
Terrorisée, Samsa décide finalement d’expliquer la situation à ses proches à travers la porte mais les mots qui sortent de sa bouche la clouent aussitôt sur place : “Alors petit point rapidos : je suis en train d’expérimenter un process de transformation full-stack totalement disruptif. Il faut absolument que vous vous positionniez comme des facilitateurs pour orchestrer un écosystème de résilience framework parce que là ma lifetime value est limite border et j’ai zéro visibilité sur ma capacité à penser transverse face à ce nouveau challenge”. Une explication qui entraînera aussitôt l’explosion en sanglots de sa mère de l’autre côté du mur ainsi que plusieurs coups de hache dans la porte par son père, bien décidé à le faire taire pour de bon.
Pointé du doigt, ostracisé, et perçu comme un monstre par ses semblables, Samsa décidera finalement de se laisser mourir à petit feu dans sa chambre. Un destin tragique qui n’est pas sans rappeler celui d’Ulysse, roi d’Ithaque, contraint à fuir son propre foyer pendant 20 ans après que sa femme s’était lancée dans la broderie.
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Coup de tonnerre dans le monde du prototypage : Le géant des puces Qualcomm met la main sur Arduino, icône du DIY technologique. Une fusion plutôt explosive qui propulse les makers et chercheurs R&D au cœur de l’IA embarquée et de l’edge computing. L’open hardware entre dans une nouvelle ère où l’IA s’intègre jusque dans […]
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Le cloud ne se revend plus, il se pilote. TD SYNNEX embarque ses partenaires dans une logique MSP où automatisation, multicloud et revenus récurrents deviennent les nouveaux moteurs de croissance. Le mot d’ordre : fluidité et agilité. Interrogé à l’occasion de Cloud Week 2025, Thomas Mazin, directeur de la Business Unit Cloud de TD SYNNEX, […]
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Alors que la France traverse une grave crise politique certaines entreprises y voient des opportunités. C’est le cas de la célèbre marque de cartes à collectionner Panini, qui n’a pas hésité à annoncer le lancement de l’album Premiers ministres sous Emmanuel Macron. “Cela peut même être une série, car d’ici Noël, ça sera sûrement au moins dix albums pour avoir la collection entière ” nous confie l’un des membres du service marketing.
Une collection qui va ravir les fans de la première heure qui, comme d’habitude proposera “des cartes rares” comme Michel Barnier et des moins sexy comme François Bayrou ou Jean Castex. “ On a essayé sur un échantillon test, la collection a été très bien reçue. Seul problème, c’est qu’ils ont tous demandé : mais qui est ce “Sébastien Lecornu “?” nous confie Patrick, un membre du bureau.
Dans les écoles, cela risque en tout cas d’être LE gros tube de cet hiver où, l’on imagine très bien les élèves s’échanger leur double ainsi que leur mine déchue, lorsqu’ils tomberont sur la carte Elisabeth Borne.
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