Assassin’s Creed: Shadows a fait ses débuts dans les dix matchs les plus joués les plus joués au cours de sa première semaine au milieu des ventes en évolution et du succès retentissant. Selon les nombres les plus à jour, Ombres était le jeu le plus vendu de la semaine aux États-Unis, tombant juste derrière […]

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C’est un geste conséquent qui risque de changer radicalement le destin de la guerre en Ukraine. À 6h00 GMT ce matin, le président Donald Trump a annoncé faire livrer « au plus vite » plus de 20 000 drapeaux blancs aux troupes ukrainiennes afin de les aider à se protéger face à l’invasion russe. « Nous voulons tous la même chose : que l’Ukraine puisse enfin redevenir une nation libre, heureuse et russe » a expliqué ce lundi Donald Trump en direct du tarmac de Fort Bragg.

Une aide que l’administration Trump a jugé « précieuse mais pas suffisante ». Ainsi, en plus des 20 000 drapeaux blancs promis, c’est un tapis rouge de 145 mètres, 30 000 pancartes « WE SURRENDER ! 🫶 » ainsi que 120 « costumes » qui seront largués au dessus de Kiev par près de 60 avions de chasse. 

Une opération d’ampleur historique qui devrait rebattre les cartes d’un conflit qui dure depuis trop longtemps avec pour seule condition d’exécution émise par JD Vance que le président Zelensky dise enfin “Merci” aux États-Unis. 

Crédits photo :Fuse/GettyImage

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Donald Trump lance une guerre commerciale d'ampleur mondiale en annonçant des barrières douanières inédites depuis plusieurs décennies. Les répercussions sur les consommateurs du monde entier, aux États-Unis comme en France, s'annoncent conséquentes.

Bien empêtrée dans le scandale du SignalGate, la Maison-Blanche est désormais face à une autre controverse : celle de l'emploi de Gmail au sein de l'équipe du conseiller à la sécurité nationale Michael Waltz. C'était déjà lui qui était à l'origine de l'affaire avec l'application de messagerie instantanée.

Selon les informations de Politico, Donald Trump a annoncé à son entourage qu’Elon Musk s’apprêtait à quitter DOGE, son semi-ministère fondé pour réduire les dépense des États-Unis. Le milliardaire dément l’information sur X, qu’il qualifie de « fake news ».

Informé de son erreur, Donald Trump a supprimé sa publication au bout de dix longues minutes. Une bévue grossière qu’il a immédiatement imputée à l’interface abominable de la plateforme X, avant de se souvenir qu’elle appartenait à Elon Musk. “Croyez-moi, tout ça, c’est principalement à cause des Mexicains transgenres”, a-t-il fini par conclure.

En quelques minutes, l’information a fait le tour du monde jusqu’à atteindre le feed de Kim Jong-Un, qui s’est délecté de cette énorme erreur des États-Unis. “Les États-Unis prouvent une nouvelle fois leur infériorité stratégique face à notre grande Nation. Notre meilleur ingénieur militaire est actuellement en train de pirater l’arme nucléaire américaine à distance grâce à notre technologie de pointe”. 

Très occupé à établir une connexion à l’aide d’un Minitel et d’un Nokia 3310, l’ingénieur en question n’a malheureusement pas pu répondre à nos questions quant à l’avancée des opérations.

Au-delà de cette incroyable faille sécuritaire, les spécialistes ont été surpris de constater que le code de l’arme nucléaire était “0000”. “C’est la seule suite de chiffres que Donald Trump est capable de mémoriser, confesse l’un de ses proches conseillers. On a essayé avec la date de la Déclaration d’indépendance, la date de son mariage et même sa propre date de naissance, mais c’est trop compliqué”. 

Suite à cet incident, Donald Trump a dû être placé sous haute surveillance et ses accès à Internet lui ont été retirés après qu’il a essayé de poster des photos de la zone 51 sur Facebook.

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Elon Musk est de plus en plus agacé par les actes de vandalisme que subissent les concessions Tesla. Le ton monte, mais les accusations du chef d’entreprise sont toujours plus fantaisistes.

Le fabricant chinois UNIS annonce l'arrivée à son catalogue de deux nouveaux SSD M.2. NVMe : le S5 et le S5 Ultra.

Souvent présentée comme l'équivalent de Tesla dans le transport routier, l’entreprise Nikola ne connaîtra pas le même destin. Son patron, condamné pour fraude, vient pourtant d’être gracié par le président américain Donald Trump.