
Vue normale
Les machines apprennent à sentir : la frontière entre vivant et artificiel s’efface peu à peu !
Pour la première fois, un homme parvient à utiliser le mot “vapoter” tout en restant viril
En se levant ce matin-là, Maxime, 37 ans, agent immobilier à Poitiers, ne s’attendait certainement pas à vivre une journée comme celle-ci. “C’est sûr que je m’en souviendrai de ce jour-là ! Franchement, je ne sais même pas comment j’ai fait ! Si je devais le refaire, je ne suis vraiment pas sûr que j’y arriverais”. L’événement s’est produit lors d’une simple discussion avec un collègue devant leur agence Orpi Poitou, alors que Maxime était interrogé sur son rapport au tabac. Il a alors répondu “J’ai commencé à vapoter il y a 2 mois et honnêtement, la clope ne me manque pas”, sans perdre une once de virilité.
Une première dans le monde de la e-cigarette, que même les scientifiques ne parviennent pas à expliquer. “C’est la première fois qu’on voit ça dans le monde, si des passants n’avaient pas filmé la scène, on ne l’aurait jamais cru. Logiquement, dès qu’on prononce le terme vapoter et ses dérivés, on perd immédiatement tout charisme et toute virilité ! Surtout que généralement, le terme est accompagné d’une fumée odeur barbe à papa ou fraise des bois” nous explique un médecin, spécialiste du monde de la cigarette électronique.
Des exceptions qui confirment les règles
Cet évènement avec le terme “vapoter” n’est pas sans rappeler d’autres exceptions qui ne sont jamais reproduites. Cette histoire rappelle celle de l’homme qui a réussi à séduire une fille en la sifflant depuis sa voiture, la réunion en visio où personne n’a eu de problème technique, ou la personne qui a regardé une publicité en entier avant une vidéo Youtube, sans cliquer sur « ignorer l’annonce”.
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Construire un chronomètre scolaire autonome avec Raspberry Pi Pico et écran OLED
Le 1/1000ème de seconde est sans doute superflu, mais il illustre bien la précision qu’il est possible d’obtenir avec un microcontrôleur moderne comme le Raspberry Pi Pico. Ce projet vous propose de réaliser un chronomètre autonome, pensé pour des jeux ou activités scolaires, doté d’un écran OLED bien lisible et alimenté par une batterie LiPo. […]
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Convoitise européenne sur le lithium serbe
Les trois meilleurs logiciels de facturation
Meilleur logiciel de facturation 2025, comparatif de trois outils pour TPE évalués sur cinq critères clairs ergonomie fonctionnalités conformité intégrations et support.
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Pironman 5 Mini : boîtier compact, SSD NVMe et contrôle RGB pour Raspberry Pi 5
SunFounder propose avec le Pironman 5 Mini une version plus compacte de son célèbre boîtier pour Raspberry Pi 5. SSD M.2, ventilateur RGB, bouton d’alimentation intégré, gestion thermique et indicateurs lumineux => tout y est, dans un format réduit et élégant. Pironman 5 Mini : un boîtier compact pour le Raspberry Pi 5 Présentation SunFounder […]
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Des neurones artificiels fabriqués avec des bactéries qui parlent enfin le langage de nos cellules
Sam Altman, Elon Musk et leurs copains courent après l’IA qui “pense” comme nous grâce notamment à des machines qui calculent plus vite que nos cerveaux, mais on n’a jamais vraiment réussi à créer des circuits électroniques qui parlent VRAIMENT à nos cellules. Enfin, jusqu’à maintenant.
Des chercheurs de l’Université du Massachusetts viennent de publier une étude dans Nature Communications qui explique un truc assez dingue. Ils ont fabriqué des neurones artificiels qui fonctionnent exactement comme les vrais. Ce qui est fou, c’est pas qu’ils imitent le cerveau, c’est qu’ils utilisent le même langage que nos cellules.
Leur super astuce ? Des nanofils protéiques extraits d’une bactérie qui s’appelle Geobacter sulfurreducens. C’est une bactérie qui vit dans les sédiments et les sols anaérobies (là où y’a pas d’oxygène) et elle a un super-pouvoir qui est de produire de l’électricité. Les chercheurs Shuai Fu et Jun Yao ont donc eu l’idée de prendre ces nanofils protéiques pour construire des “memristors” (une sorte de résistance à mémoire) qui fonctionnent pile-poil aux mêmes voltages que nos neurones biologiques.
Avant, les neurones artificiels fonctionnaient donc à 0,5 volt minimum alors que les vrais neurones dans notre corps tournaient entre 70 et 130 millivolts (soit environ 0,1 volt). C’était donc comme essayer de parler anglais avec quelqu’un qui parle français en gueulant plus fort… ça marchait pas terrible.
Du coup, grâce à cette découverte, Jun Yao et son équipe ont réussi à créer le premier composant électronique qui parle exactement la même langue électrique que nos cellules. Et pour le prouver, ils ont fait un truc de malade. Ils ont branché ces neurones artificiels sur de vraies cellules cardiaques humaines (des cardiomyocytes)… et ça a marché ! Les neurones artificiels ont détecté en temps réel les changements d’activité des cellules quand elles étaient exposées à de la noradrénaline.
Ça ouvre ainsi la voie par exemple à des capteurs corporels qui comprennent vraiment ce que disent nos cellules, à des prothèses intelligentes qui réagissent naturellement, à des interfaces cerveau-machine qui ne forcent plus la communication…etc. Le neuromorphic computing devient enfin biocompatible.
Bon, évidemment je vous vois venir avec vos questions sur les implants cérébraux et tout le tralala futuriste à la Elon Musk mais calmos. On en est pas encore là. Mais on vient peut-être de franchir une frontière un peu bizarre qui est celle où nos machines arrêtent d’imiter le vivant pour commencer à vraiment dialoguer avec lui.
Et tout ça grâce à une bactérie qui bouffe du métal dans la boue sans oxygène…
C’est beau la science, non ?

Famicom-OpenAV - Pour ajouter une sortie AV composite sur une Famicom
Bertrand, fidèle lecteur de mon site m’a envoyé un super projet ! Il a développé des PCB open source pour moderniser les Famicom japonaises et comme j’ai trouvé ça trop cool, je me suis dit que j’allais en faire un article.
Alors pour ceux qui ne connaissent pas, la Famicom c’est la version japonaise de la NES, sortie en 1983. C’est une petite console rouge et blanche avec les manettes intégrées, super mignonne mais avec un défaut majeur : elle sort uniquement en signal RF . Et le RF en 2025 sur nos télés modernes, c’est l’enfer… Image dégueulasse, interférences, et certaines télés refusent carrément de l’afficher parce que le signal RF japonais utilise les canaux 95-96 au lieu des canaux 3-4 occidentaux.
Bertrand a donc créé Famicom-OpenAV , deux petits PCB qui permettent d’ajouter une sortie AV composite à votre Famicom. Comme ça, exit le RF pourri, et bonjour l’image propre !
Bertrand propose donc deux versions selon vos préférences de soudure. La version DIP avec des composants traversants old school pour ceux qui ont appris à souder sur des kits Radio Shack dans les années 80. Et une version SMD avec des composants montés en surface, plus compacte et moderne pour les jeunes qui n’ont pas peur des pattes de mouche et qui maitrisent le flux ^^.
Ses PCB ont été testés sur les modèles de carte mère Famicom HVC-CPU-07 et HVC-CPU-GPM-02 et y’a pas besoin de percer la console ou de faire des modifications irréversibles… Ce sont juste quelques points de soudure bien placés et hop, votre Famicom crache du composite propre.
Ce mod est important car le signal RF de la Famicom génère souvent des “jailbars”, des lignes verticales bien chiantes qui gâchent l’image. Cela est dû à l’alimentation bruyante de la console et au fait que les traces du circuit imprimé qui transportent le signal vidéo passent juste à côté de lignes électriques parasitées. Les vieilles puces NMOS de l’époque émettent aussi pas mal d’interférences RF.
Avec le mod AV de Bertrand, on récupère donc directement le signal composite natif NTSC depuis la pin 21 du PPU (le processeur graphique de la Famicom). C’est le signal le plus propre qu’on puisse obtenir sans passer par des mods plus complexes comme le NESRGB qui coûte une fortune.
Maintenant pour créer ces PCB, c’est super simple. Bertrand fournit les fichiers Gerber sur son GitHub, vous les envoyez à un fabricant comme JLCPCB ou PCBWay , et pour quelques euros, vous recevrez 5 PCB. Après il faut acheter les composants électroniques (quelques résistances, condensateurs, transistors) mais au total, on s’en sort pour moins de 10 balle par console modifiée.
Bref, pour les collectionneurs et les joueurs, c’est vraiment un super mod car la Famicom a une bibliothèque exclusive au Japon avec des jeux qui ne sont jamais sortis sur la NES occidentale. Je pense par exemple aux Famicom Disk System exclusives, aux cartouches avec puces sonores supplémentaires comme Castlevania III japonais qui sonne différemment de la version US. Avec ce mod, vous pourrez enfin profiter de ces jeux dans de bonnes conditions sur une télé moderne ou via un upscaler type RetroTink .
Encore merci à Bertrand pour ce projet et pour m’avoir contacté et si vous aussi vous avez des projets DIY cools à partager, n’hésitez pas à m’envoyer un mail !

Clay PCB Tutorial - feministhackerspaces
Test Lampe rechargeable « Action » : Détecteur de présence + lampe de poche
Vous avez sûrement croisé cette petite lampe rechargeable 💡 en rayon chez Action. Vendue à prix mini, elle combine un détecteur de présence PIR et une fonction lampe de poche. De quoi intriguer les amateurs de gadgets pratiques… et de bidouille ! Nous l’avons testée, démontée et analysée pour voir ce qu’elle a vraiment dans […]
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- community/tech-concepts/e-id-key-management-batch-issuance-and-renewal.md at main · swiyu-admin-ch/community · GitHub
Bittele Electronics : fabrication et assemblage de PCB clé en main, du prototype à la grande série
Quand on cherche à faire fabriquer ses propres circuits imprimés, on pense souvent en premier aux plateformes asiatiques, notamment chinoises. Pourtant, il existe des alternatives fiables et performantes en Europe… mais aussi au Canada. Bittele Electronics, dont le siège est basé à Toronto, propose une solution clé en main pour la fabrication et l’assemblage de […]
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Control USB Powered Devices – Fun Tech Projects
sudo apt-get install libusb-1.0-0-dev
git clone https://github.com/mvp/uhubctl
cd uhubctl
make
sudo make install
Quelle est la capacité réelle d'une batterie externe ?
Voilà un article qu'il est bien !
C'est une astuce que toutes les marques et tous les vendeurs (ab)usent : parler de la capacité "interne" de la batterie et pas sa capacité nominale. Je suis heureux qu'ils en parlent de manière si vulgarisée ^^
Combien n'ont pas pesté parce que leur batterie externe ne tient pas ses promesses...
Par exemple, une batterie externe est donnée pour 10'000 mAh. Tu as un téléphone avec une batterie de 5000 mAh. Youpi, tu peux le charger deux fois complètement ?
Eh bien non : la capacité de la batterie est bien de 10'000 mAh, mais à la tension de 3.87 V (ou 3.7 V ou toute autre tension de sortie standard pour une batterie Lithium). Ainsi, la batterie possède une énergie de 38.7 Wh (10'000 mAh x 3.87 V / 1000).
Sauf que la tension de sortie sera au minimum de 5 V (norme USB), pas de 3.87 V.
Et pour 5 V, la capacité nominale n'est plus la même : 38.7 Wh / 5 V * 1000 = 7'740 mAh.
C'est même pire dans les faits, car le circuit de conversion n'est pas parfait et il y a des pertes (taux de conversion à prendre en compte) ! Selon la qualité de l'électronique, ces pertes peuvent être non-négligeables.
Par exemple, si une batterie a un taux de conversion de 77 % (exemple réaliste basée sur une véritable batterie), alors la capacité nominale réelle est de 7740 mAh * 0.77 ≃ 6000 mAh.
Soit une différence de près 40 % avec la capacité donnée par le fabricant, tout de même...
C'est sans compter les différentes tensions possibles en USB (jusqu'à 20 V je crois, ou 48 ?) ni les indications trompeuses données par certains vendeurs peu scrupuleux... Ou l'utilisation de batteries déjà usées et ayant perdu une partie de leur capacité.
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MINITEL + ESP32 | Hackaday.io
Test du Starter Kit “All-in-one” pour Micro:bit par Elecrow : un coffret complet pour bien débuter
Vous cherchez un starter kit Micro:bit pour débuter l’électronique et la programmation en toute simplicité ? Découvrez dans ce test le Starter Kit “All-in-one” proposé par Elecrow : une valise pratique, de nombreux modules, des leçons détaillées et tout le nécessaire pour explorer les possibilités de la carte Micro:bit, même si vous partez de zéro. Dans cet […]
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