Rares sont les constructeurs à rester aussi fidèles à leur ADN que Ferrari. La marque italienne n'a que très rarement changé ses plans et, dans 90 % des cas, ça a toujours été pour le mieux. Aujourd'hui, Maranello vient de dévoiler la nouvelle 12 Cilindri. L'occasion parfaite pour revenir sur une lignée vieille de plus de 60 ans : celle des grandes GT à moteur V12 ! Lorsque l'on évoque l'illustre lignée des GT à moteur V12, chez Ferrari, la plupart des personnes citent immédiatement la 812 Superfast et la F12 Berlinetta. Mais on peut remonter le temps sur plusieurs décennies, la marque italienne a quasiment toujours proposé ce genre de modèles, tout en haut de sa gamme, bien au-dessus des coupés à moteur V8. Certaines sont devenues de véritables légendes roulantes, comme la Testarossa, emblème de toute une époque, ou encore la 365 Daytona qui a d'ailleurs inspiré le designer de la nouvelle 12 Cilindri. Vous avez besoin d'un petit rafraîchissement de mémoire ? Voici quelques unes des plus importantes GT V12 de Ferrari !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Severn Valley Motorsport a fabriqué un improbable mélange des genres en 2014. Inspiré par le succès du Nissan Juke-R, le préparateur britannique a transposé la même recette sur le Qashqai, avec le Nissan Qashqai-R, devenant ainsi le SUV le plus rapide du monde. Est-ce que vous connaissez le proverbe « Avoir les yeux plus gros que le ventre » ? En automobile, cela se traduit généralement par la présence d'un énorme moteur dans la baie moteur d'un petit véhicule. L'idée nait dans les années 30, avec les fameux hot-rods américains. Puis la période des customs des années 60 a fait exploser cette tendance, jusqu'à devenir culturelle. Aujourd'hui, cela correspondrait à une Aston Martin V12 Vantage ou une Renault Clio V6.  Une petite officine du Midlands, en Angleterre, a dépoussiéré cette pratique : Severn Valley Motorsport. Non contents d'observer la réussite du Nissan Juke-R, SVM décide d'appliquer le même procédé sur un véhicule encore plus populaire et à peine plus gros. Après neuf mois de mise au point, le Nissan Qashqai-R sort des ateliers en 2014. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Qui se souvient du Nissan Juke-R ?

SVM a mis au point le grand frère du Nissan Juke-R il y a dix ans, le Nissan Qashqai-R. L'entreprise britannique a greffé le plancher, le moteur, l'intérieur et les atours extérieurs d'une Nissan GT-R R35 sur le SUV japonais. Sa puissance revendiquée de 1.000 ch fait de lui le SUV le plus rapide de tous les temps.  La face avant arbore un bouclier de GT-R adapté au style du Qashqai. Le capot possède deux prises d'air NACA. Les jantes de 20 pouces proviennent aussi de la supercar nippone. A l'arrière, deux énormes sorties d'échappement semblables à des canons débordent du bouclier. Le faux diffuseur est peint en noir.  Le cockpit est aussi transfiguré. Le pilote et son passager prennent place dans des sièges baquets Recaro. L'instrumentation complète de la R35 a été reprise et installée en lieu et place de la planche de bord du Qashqai original.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Qui se souvient du Nissan Qashqai-R, la GT-R pour la famille ? Sous le capot, le V6 biturbo 3.8 de la R35 est réalésé à 4.1 et a reçu deux turbos plus gros, de pistons et bielles forgées, ou encore d'arbre-à-cames de compétition. Il développe désormais la puissance stratosphérique de 1.000 ch. Et même 1.200 ch, une fois nourri à l'E85 ! Le 0 à 100 km/h est abattu en 2,4 s. Les 200 km/h sont atteints en 7,5 s. Le 400 m départ arrêté est même négocié sous les 10 secondes, à 9,8 s. SVM annonce une vitesse maxi de 322 km/h.

Le nombre de PV dressés via les radars automatiques parisiens, implantés là où la vitesse limite autorisée a été abaissée à 30 km/h à l'été 2021, a été multiplié par 10 en moyenne. C'est ce que révèlent les statistiques jusque-là tenues secrètes par le ministère de l'Intérieur, et que Caradisiac a pu obtenir grâce à un recours en justice.

Comment parler d'Ayrton Senna sans penser à la vidéo légendaire de son tour à Suzuka, aux commandes d'une Honda NSX-R. Au volant de cette Ferrari japonaise, le pilote brésilien prouvera au monde entier pourquoi il mérite sa réputation. Considéré comme l'un des meilleurs pilotes de formule 1 de tous les temps, Ayrton Senna a marqué l'histoire de la catégorie reine des monoplaces au volant de sa McLaren-Honda. Il ira même jusqu'à remporter trois titres de champion du monde avec l'écurie en 1988, 1990 et 1991. C'est pourquoi en 1992 Honda lui offre une NSX-R rouge, qu'il a ensuite utilisé fréquemment, notamment lors de ses voyages au Portugal. Mais le constructeur japonais ne s'attendait pas à tel coup de communication, lorsqu'il mandate le pilote pour tester son dernier modèle : la Honda NSX-R. Car la vidéo de son tour à Suzuka, vieille de 30 ans maintenant, est devenue virale et est considérée encore aujourd'hui comme une véritable bible du pilotage. Dans cette dernière, on assiste à une masterclass de la part du triple champion du monde, qui emmène sans effort cette voiture dans ses derniers retranchements.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Honda NSX de Ayrton Senna est à vendre à un prix stratosphérique !

Alfa Romeo vient de communiquer les tarifs pour son nouveau Junior. Lors de sa présentation, il avait été confirmé que la version de lancement serait affichée à 31.500 euros en motorisation hybride, contre 40.500 euros pour l'électrique. Les prix pour la gamme classique débutent plus bas que ce que l'on aurait pu croire, à partir de 29.500 euros ! Outre sa présentation chaotique émaillée par une polémique dont Alfa Romeo se serait bien passé, qui a d'ailleurs valu à ce SUV un changement de nom, on aurait surtout pu croire que le Junior s'afficherait à des prix relativement élevés. On sait que la marque italienne se positionne parmi les constructeurs premiums, au sein du groupe Stellantis. Pourtant, le Junior parvient à contenir ses tarifs et à rester sous la barre des 30.000 euros, pour ce qui est de la version d'entrée de gamme en tout cas. L'Alfa Romeo Junior est décliné en deux versions, à savoir Ibrida et Elettrica. La première s'affiche à partir de 29.500 euros, tandis que la seconde voit son prix passer à 38.500 euros. Attention toutefois, ces prix ne concernent que la finition d'accès « Junior ». En plus de la série spéciale de lancement, quatre niveaux de finition sont proposés, ainsi qu'une version sportive réservée au Junior 100 % électrique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

Oui, il existe encore des voitures de série capable d'embarquer un moteur V12 atmosphérique sans électrification. La preuve avec la bien nommée Ferrari 12Cilindri dotée d'un bloc central avant de 830 chevaux.

Ces derniers jours, plusieurs annonces et nouveautés ont retenu notre attention. À commencer par un étonnant concept-car Skoda, l'Enyaq RS Race, dont les premiers croquis ont été dévoilés. D'autre part, BMW a annoncé un changement de taille dans son système d'appellation. Les modèles à essence n'arboreront bientôt plus la lettre i, désormais réservée aux voitures électriques. Enfin, Tesla a donné le coup d'envoi de la tournée Cyber Odyssey, au cours de laquelle le Cybertruck parcourra les routes européennes. L'actualité ne se résume pas qu'aux sorties de nouveaux modèles. Heureusement d'ailleurs, sinon certaines périodes seraient bien calmes ! Cette semaine, plusieurs annonces ont été faites par des constructeurs, dont certaines très intéressantes. D'une part, Skoda vient de dévoiler les premières esquisses d'un tout nouveau concept, dérivé de l'Enyaq, baptisé RS Race. Du côté de chez BMW, l'heure est au changement d'appellation pour certains modèles de la gamme, plus particulièrement ceux équipés de moteurs à essence. Enfin, bien qu'il ne soit pas homologué pour nos routes européennes, le Tesla Cybertruck pose ses roues sur le Vieux Continent jusqu'au 7 juillet, dans le cadre de sa Cyber Odyssey. On fait le point. Lire aussi : Skoda fait son entrée dans le programme « Vision Gran Turismo » Le Skoda Enyaq se dévergonde

Nous aimerions tous pouvoir dire « Ma batterie et moi, c’est pour la vie ». Malheureusement, l’expérience prouve qu’une batterie dans un véhicule n’est qu’un consommable qui a une durée de vie de 10 à 15 ans pour les plus performantes. Il n’est pas rare par ailleurs que cette dernière vous lâche lorsque le compteur de votre véhicule avoisine les 150 000 km.

MST Cars a récemment travaillé sur un mythe de l'automobile, la Ford Escort Mk1. Le préparateur britannique vient de dévoiler un superbe restomod : l'Escort Mk1 Evolution.  Au Royaume-Uni, la Ford Escort était une institution dans les années 70. Sur la route, en rallye ou sur circuit, la berlinette américaine était plébiscitée par tous les apprentis pilotes voulant se faire la main avec une voiture peu puissante, mais bien construite.  Cinquante ans plus tard, la Ford Escort a disparu des routes. Peu importe les générations (il y en a eu 6 en tout), elle ne fait son apparition que lors des rassemblements de voitures anciennes. MST Cars remédie à ce problème en produisant un splendide restomod de la Ford Escort de première génération : l'Escort Mk1 Evolution. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Escort XR3 Tolman Edition : Encore plus belle qu'en sortie d'usine

Elle est lointaine l'époque où on retrouvait des moteurs V12 en dessous des capots de voitures de grande production. Encore moins dans un SUV familial… Si Ferrari en a récemment équipé son Purosangue, saviez-vous qu'Audi aussi l'avait fait, 16 ans avant la marque au cheval cabré, avec un V12 Diesel ?  Dans les années 2000, Audi a décidé de miser pleinement sur le Diesel, visant le marché américain qui lui était difficile d'accès. Pour crédibiliser cette stratégie, la marque s'est engagée dans la prestigieuse course des 24 Heures du Mans avec un prototype équipé d'un moteur Diesel, la R10 TDI, qu'elle a remportée en 2006. Sur ce marché, où le mazout n'était pas aussi mal perçu qu'en Europe, les ventes des voitures TDI se sont envolées. Mais cette période prospère a été rapidement écourtée par le scandale du Dieselgate. A son lancement, la première génération du Q7 embarquait donc un V12 TDI biturbo de 6,0 litres situé en position longitudinale avant. Il s'agissait ni plus ni moins du moteur Diesel le plus puissant de l'histoire à être produit en série. Il faut dire qu'à l'époque, en 2009, peu de SUV (voire aucun) ne pouvait se targuer de développer 500 chevaux et un couple monstrueux de 1.000 Nm. Le tout sublimé par une transmission intégrale permanente et une boîte automatique Tiptronic à 6 rapports. Ironie du sort, ce SUV ne sortira jamais aux Etats-Unis, la crise des subprimes rendant sa viabilité économique assez faible. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Audi SQ8 restylé (2024) : le V8 joue du Black Metal

Engler Automotive a livré les premiers clichés de son dernier engin, la V12. Ce "super-quad" se caractérise par son style très proche d'une supercar automobile et cache un impressionnant moteur V12 de 1.200 ch pour un poids de 1.200 kg. L'engin reçoit une robe bicolore vert anglais et noir mat. La face avant reçoit une large bouche noire qui intègre les optiques à LED. Le capot possède une casquette en cuir beige qui protège l'instrumentation. Cette dernière recouvre le réservoir et la selle biplace. De profil, le monstre est bien campé sur ses roues de 20 pouces. Les feux arrière adoptent un style qui évoque les dernières productions d'Aston Martin. Deux sorties d'échappement ovales sont dissimulées dans le bouclier arrière. Lire aussi : Engler V12 : cet hybride mi-quad, mi-voiture fonce jusqu'à 400 km/h L'Engler V12 est basé sur un châssis monocoque en fibre de carbone. Ce monstre roulant est motorisé par un 12 cylindres en V, placé en position centrale arrière. Il développe 1.200 ch et est associé à une boîte « microbox » à double embrayage et 8 rapports. L'Engler V12 promet un 0 à 100 km/h en 2,5 s et une vitesse maxi de 400 km/h. Avec 1.200 ch pour 1.200 kgs, il possède un rapport poids/puissance parfait de 1:1. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} 20 exemplaires seront produits à partir de la fin de l'année. 

Engler, un constructeur adepte des transformations auto et moto, a dévoilé sa toute dernière création : un « super-quad » au style directement inspiré de l'automobile et motorisé par un surpuissant V12 ! Est-ce une voiture ? Un quad ? Les deux ? Le dernier monstre roulant d'Engler Automotive retourne les têtes, tout en suscitant l'interrogation. Devant un tel engin, les anglophones diraient : « WTF ?! ». Quant à sa fiche technique, elle décoiffe autant qu'elle déclenche le fameux rire nerveux : voici l'Engler V12.  Lire aussi : Aston Martin dévoile un nouveau V12, apparemment pour une nouvelle Vanquish !

La large coupe dans les effectifs de Tesla concernerait l'unité chargée du développement du réseau de Superchargeurs, lequel constitue pourtant l'une de ses forces. Une perspective inquiétante pour la marque...et pour la filière électrique dans son ensemble.

Ferrari vient de présenter sa nouvelle grande GT, qui a la lourde responsabilité de succéder à la 812 Superfast. Baptisée 12 Cilindri, on n'a aucun mal à affirmer qu'elle s'en sortira avec brio, avec son V12 de 830 chevaux et son design truffé d'hommages au passé de la marque italienne. La Ferrari 12 Cilindri est une déclaration d'amour, en tous points. Visuellement déjà, avec de nombreux éléments renvoyant à d'anciens modèles iconiques de la marque. Les passionnés auront remarqué le large bandeau transversal, à l'avant, qui évoque la mythique Ferrari 365 Daytona. Mais l'ensemble n'est pas uniquement "réchauffé", les lignes évoluent nettement par rapport à la 812 Superfast qu'elle remplace, alors que cette dernière n'était qu'une évolution de la F12 Berlinetta. Un long capot avant, bardé d'extracteurs d'air subtilement intégrés... On sait tous ce qui se cache en dessous : un V12 bien sûr ! Avec 6,5 litres de cylindrée et toujours sans turbo ni hybridation, ce dernier crache 830 chevaux et 678 Nm de couple, avec une zone rouge perchée à 9.500 tr/min. Ferrari annonce des performances de premier plan, avec un 0 à 100 km/h avalé en 2,9 secondes et une vitesse de pointe culminant à 350 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Deux versions sont pour l'instant au programme, un coupé et un Spider. Le premier s'affiche à 395.000 euros, hors malus bien sûr... Si vous trouvez la fiche technique un peu trop timide, vous n'avez qu'à patienter quelques mois de plus. Ferrari devrait, logiquement, offrir à cette 12 Cilindri une version radicale, comme c'était le cas pour les 599 GTB, F12 Berlinetta et 812 Superfast avant elle.

Ferrari vient de lever le voile sur son dernier chef-d'œuvre, la 12 Cilindri. Un nom italien qui se passe de traduction, mais qui sonne surtout comme un dernier hommage, avant une disparition programmée… Mais haut les cœurs, cette cathédrale mécanique est toujours bien vivante, avec 830 chevaux et une zone rouge perchée à 9.500 tr/min ! La 12 Cilindri est disponible en version Coupé et en Spider. Les tarifs débutent à un peu moins de 400.000 euros. Cela fait maintenant plus de 10 ans que l'on entend les spécialistes rabâcher la même rengaine, à chaque sortie d'une nouvelle GT Ferrari : « Ce sera à coup sûr le dernier V12 atmosphérique de l'histoire de la marque ». On y avait eu droit pour la F12 Berlinetta et pour la 812 Superfast. Deux options sont alors envisageables. Soit ces gens n'ont de spécialistes que leurs noms, soit le constructeur italien est têtu. Quoiqu'il en soit, Ferrari vient de lever le voile sur la remplaçante de la 812, qui embarque à nouveau un V12. Quelle surprise ! Son nom ? La 12 Cilindri. Faîtes un effort, prononcez à l'Italienne : Dodici Cilindri, et pas Douze Cilindri. Un nom qui, au-delà de sa simplicité déconcertante, a une saveur amère de dernier hommage. Après tout, après plus de 10 ans à entendre les fameux spécialistes annoncer la fin du V12 chez Ferrari, il fallait bien que ça arrive un jour… Mais nous ne tomberons pas là-dedans et ne dirons donc pas qu'il s'agit certainement de la dernière GT V12 de Maranello.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Dans un marché B2B en hausse en avril, le groupe Stellantis, a vu ses ventes fortement ralentir. La marque Citroën quitte le trio de tête au profit de Volkswagen et Toyota.

Il en faut du courage pour conduire des bêtes pareilles. Qu'elles soient vieilles ou anciennes, toutes ces voitures sont très difficiles à conduire, car extrêmement puissantes. Et autant dire qu'une fois qu'elles ont décroché, personne ne peut les récupérer.  Il y a certaines voitures qui ne nécessitent pas d'avoir une avalanche de chevaux pour être difficiles à conduire. Le simple fait que le moteur soit situé en position avant peut jouer dans le comportement du véhicule, sans oublier toute la puissance transmise aux seules roues arrière. Alors attention à ne pas accélérer trop fort, voire freiner trop tard, avec ces 10 voitures presque impossibles à dompter, à cause de leur équilibre général ou leur puissance hallucinante.

Depuis le 25 avril et jusqu'à la fin de la semaine, se tient le Salon de l'Auto de Pékin. De nombreuses nouveautés y ont d'ailleurs été présentées car, à l'inverse des salons européens, toutes les marques ou presque ont fait le déplacement pour participer à l'événement. Alors, à l'approche de la fermeture, que faut-il retenir de ce Salon de Pékin 2024 ? Il y a encore quelques années, les salons automobiles européens étaient des rendez-vous incontournables réunissant chaque année des dizaines de milliers de passionnés. Mais la politique européenne concernant cet engin satanique qu'est la voiture a eu raison de ces salons, qui ne sont désormais plus que l'ombre d'eux-mêmes. Il n'y a qu'à regarder ce qu'est devenu le Salon de Genève, autrefois considéré comme le plus important des événements de ce genre, qu'aucune marque n'aurait voulu manquer.  On a donc commencé à se faire une raison en Europe, se résignant à n'avoir droit qu'à des événements fades, sans moquette, sans constructeurs et sans passion. Notons tout de même que les organisateurs du Mondial de l'Auto de Paris promettent une édition 2024 plus réjouissante, avec davantage de marques et plus d'exposants. Mais revenons-en à nos moutons, Pékin donc. En Asie, les salons automobiles semblent encore avoir la cote, puisque le Salon de Pékin s'apprête à fermer ses portes après 10 jours d'ouverture au public et surtout plus de 800.000 visiteurs recensés ! De nombreuses nouveautés y ont été présentées, on vous résume tout ce qu'il faut en retenir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Renault Symbioz : le Scénic E-Tech que les gens attendaient ? Une véritable armada de marques chinoises

Le Lexus UX s’offre les services d’une motorisation hybride plus puissante et promise plus sobre. Toujours disponible en deux ou 4 roues motrices, le modèle japonais demeure une offre unique sur le marché des SUV compacts premium.